karma x oc

Chapitre 17

C'est le dernier chapitre de cette fanfic 🤧
J'espère qu'il vous plaira parce que je suis pas douée pour faire les fins mais je vais quand même essayer de faire quelque chose de passable.
Je ferai une happy end  parce que sinon ça va me faire de la peine si les persos sont triste 🤧
Et comme la magie des fanfic existe ca ne se terminera pas comme dans assassination classroom (pas la peine d'inonder ma chambre une 2e fois ;~; ).
Bref je vous laisse avec l'histoire.

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Pdv omniscient :

Cela faisait maintenant six mois qu'Aria passait dans sa chambre blanche d'hôpital, au milieu des autres blessés et des infirmières.
Six mois que le temps semblait ralentir, six longs mois qu'elle attendait impatiemment de pouvoir sortir de cet endroit.

Elle qui n'avait jamais réellement apprécié d'aller en cours, elle en mourrait dorénavant d'envie.
L'ambiance de camaraderie de sa classe lui manquait. Et même si ils lui rendaient souvent visite ce n'était pas la même chose.

Si l'ennui ne la quittait pas une seconde, elle ne regrettait en aucun cas ses actes. Certes, elle aurait pu se battre à 100% mais au final ce passage à l'hôpital avait eu du bon. Il lui avait permis de mettre au point ses sentiments et elle doutait fortement qu'elle en aurait eu le temps si sa vie n'aurait pas eu une petite pause.

Sa vie allait prendre un nouveau tournant. La jeune fille meurtrie et bloquée dans le passé allait sortir de sa chrysalide (nda: ou de son sac de couchage jaune. Aizawa en sueur) pour devenir une jeune femme épanouie (nda: ou un magnifique pa-pi-llon !) et tournée vers l'avenir.

Son regard se dirigea vers la fenêtre pour voir arriver le jeune homme qui avait su la changer, faire disparaître la haine et la souffrance tapie en elle.
Un sourire sans joie se dessina sur ses lèvres.
Il était temps qu'il sache ce qu'il c'était passé...avant.
Elle avait besoin d'en parler pour avancer et il semblait être la meilleure personne à qui se confier.
Même si sa mère et son frère le savaient, elle ne leur avait raconté que les grandes lignes.

Il poussa la porte de la chambre et lui fit un grand sourire ce qui fit naître un feu de joie dans son cœur. Jamais un simple sourire ne lui avait fait tant plaisir.

Pdv Aria :

Aria : karma...il est temps que je te dise ce qu'il c'est passé...avant toi.

Karma: oh, de ton ex que ta mère déteste tant ?

Aria: hum...euh ouais..

Il s'assit sur un tabouret à côté du lit et plongea son regard dans le mien.

Karma: je t'écoute

Je le remercia en souriant.

Aria: bon...je suis sortie avec lui vers la fin de ma première année dans mon école d'assassinat. Il s'appelait kinju et c'était un excellent élève, très gentil, attentionné, beau, bref il avait tout pour plaire. Au début de l'année on ne se parlait pas spécialement et à vrai dire il ne m'intéressait vraiment pas. Mais alors pas du tout. Il pouvait clamser j'en avait rien a foutre.

Karma: mais alors pourquoi vous avez finit ensembles ?

Aria: peut être que si tu me laissait finir tu le saurai.
Bon. Les semaines passaient, les seules paroles qu'on s'échangeait étaient de simples "bonjou", "au revoir", " le prof t'appelle " etc...
Mais un jour, on s'entraînait au maniement du couteau quand il me dit que j'étais une excellente assassine pour pouvoir aussi bien cacher mes sentiments. Je l'ai remercié du compliment mais lui ai rétorqué que c'était parce que je n'en avait pas.
Il a dû être assez surpris par ma réponse car il s'est figé, ce qui,au passage, m'a permis de le mettre a terre. Apres l'entraînement il m'a entraînée à l'écart de mes amis et m'a dit " comment ça tu ne ressent rien pour moi ?" , j'ai été un peu choquée par sa question et a l'époque je ne le considerai que comme quelqu'un qui croiyait être le centre du monde. Je lui ai alors répondu qu'il n'était qu'un petit con prétentieux et je suis partie.
Plus les jours passaient et on se lançait des petits pics, des regards furtifs, on se parlait plus qu'avant.
Au bout de quelques mois, l'école a été attaquée par une guilde, l'homme qui est entré dans la classe en faisait partie. Ils étaient très puissants, à vrai dire c'était l'une des plus fortes. Certains élèves on été tués et moi j'ai été gravement blessée.
Lorque je me suis réveillée, la première chose que j'ai vu c'était son visage en pleurs.