Mon boss et moi ( En Pause )

Chapitre 7

Alors que je me voyais m'étaler sur le sol mais ce ne fut pas le cas un bras puissant me retiens par la taille avant que je ne soit plaqué contre un torse dure.  Je rencontrais alors le regard bleu de mon patron. Oh la honte je suis sûr que je vais faire les gros titres des journaux de demain.  Pourquoi j'ai choisi de porter des talons aussi hauts d'ailleurs ?

Il passa son bras autour de ma taille et m'aidait à avancer à l'abri des paparazzis. Je pus enfin souffler un peu mais la honte se lisait toujours sur mon visage.

- Ne vous inquiètez pas c'était pas de votre faute,  j'espère juste que vous ne vous êtes pas faite mal. Dit-il en regardant mon pied.

J'avais très mal à celui-ci d'ailleurs et je voyais déjà un bleu apparente. Passer la journée à courir sur des talons ne m'a pas épargné.

- Je pense que je peux survivre. Dis-je sans osé le regarder.

J'avais trop honte, j'osais à peine le regarder dans les yeux et ses mots m'ont vraiment rassuré.

- Venez, je pense que vous avez besoin de vous asseoir. Dit-il en me conduisant dans la folle de personnes tous élégamment et richement habillé les uns et les autres.

Au passage il serait quelques mains et discutait un peu eut alors que son autre bras était toujours accroché à ma taille et se resserre un peu plus à chaque fois comme une main possessif. J'étais maintenant presque allongé sur son torse de pierre et ça ne me dérangeais pas puis qu'il m'aidait en me soutenant avec cette cheville en mauvais état. Pas seulement je me sentais bien ainsi comme un oiseau dans son ni . Je dû serrer quelques mains en retour et recevoir des compliments. Certains me prenaient pour sa petit amie et d'autres pour sa campagne d'une soir et parlaient de moi comme si j'étais pas là et çà m'agaçais. Mais il prenait toujours le temps de m'immiscer dans leurs conversations. Je pu enfin soupirer quand il m'amèna dans un coin reculé du hall.

- Vous êtes sûr que ça peut aller , si çà ne va pas on peut rentrer si vous le souhaitez ? Demanda-t-il inquiet.

- Non je ne veux surtout pas que vous soyez contraint de quitter la soirée aussi tôt par ma faute.

Il me prit le visage en coupe et M'obligea à le regarder dans les yeux avant de lancer avec colère :

- Écoutez moi bien Mlle Wilson, ce n'est pas de votre faute si vous vous êtes fait mal c'est la mienne j'aurais du faire plus attention à vous et de deux je ne suis pas contraint de rester, je pars quand j'en ai envis et personne ne doit me dicter ce que je dois faire est-ce que je me suis bien fais comprendre Mlle Wilson ? Dit-il sans me lâche des yeux jusqu'à ce que J'acquiesse. Alors dite moi en toute franchise vous voulez rentrer ou pas ?

Je déglutis péniblement sans le quitter des yeux.

- Je veux rester un petit moment. Répondis-je.

- Bien alors venez. Dit-il en me prenant la main.

Nous nous dirigeons vers la table du sénateur où étaient déjà installé plusieurs autres personnes. Il poussa la chaise à sa droite et m'invita à m'installer.  Ce que je fis alors qu'il s'installe sur celui à côté du sénateur juste à mes côtés.

Âpres le repas je lui murmurais que je voulais aller aux toilettes et il me les indiqua mais insista pour m'accompagner mais j'ai aussi insisté pour y aller toute seule. C'est pas ma cheville qui allait m'empêcher d'y aller seule. 

Une fois dans les toilettes je fis pipi et fis ce que j'avais à faire et m'arrêtais devant la glace pour parfaire mon maquillage. Au même moment la porte s'ouvrit sur une femme brune et élancé.  Elle était une de c'est top modèles à qui on voudrait ressembler. Je ne fais pas trop attention à elle et me retournais pour partir.

- Oh encore une autre pétasse sur sa longue liste de conquête d'une nuit.

Je m'arrêtais sachant bien que c'est moi qu'elle parle. Elle ne me connait pas je la connais pas et elle m'insulte. je me retournais pour lui faire face alors qu'elle était entraîne de se glosser les lèvres.

- De qui est-ce que tu parle là ?

- Toi bien sûr de qui d'autre ? Tu vois quelqu'un d'autre ici ? Dit-elle en se retournant pour me faire face.

- Comment as-tu osé m'appeler déjà ? Demandais-je en m'approchant Lentement d'elle.

Je pense que cette fille là ne sait pas à qui elle a affaire. 

- Oh ! La salle pétasse est peut être sourde ...

Je ne lui laisse pas le temps de terminer sa phrase que je lui ai déjà mis mon poing dans la figure. Le coup lui envoya contre la paroie où elle constata devant le miroir que je lui ai fais un beau maquillage . Puis comme une petite fille elle se met pleurer.

Je roulais des yeux et sortis de la salle de bain. Je me dirigeais vers ma table du sénateur où je rencontre le regard de mon employeur. Je compris qu'il regardait quelque chose derrière moi. Et à peine eus-je le temps de comprendre que quelqu'un m'empoingna Le chignon et me donna un coup de poing sur la figure. Je vacillais en me tenant le nez. Je pensais que du sang coulait mais non elle n'y était pas aller aussi fort. La foule s'ectait entassé autour de la scène.

Furieuse et humilié J'arrache mes chaussures que je jette avant de me retourner et lui assena un coup qu'elle n'était pas prête à oublier sous les cris horrifié des gens. 

Je ne pensais y être allé fort car elle était au sol inerte.  Je pris peur car je ne voulais surtout pas l'avoir tué. Quand soudain elle se mit à pleurer. Un homme venait comme pour l'aider alors que je sentais une mains se resserrer autour de ma taille et de m'amener loin. Nous sommes sortis par une autre porte. Alors que nous marchons dans la rue déserte sous la pleine lune.