Je me décallais en laissant passer la jeune femme. Elle ne put s'empêcher de me congner par l'épauler en passant. Elle n'a pas l'air de vouloir oublier ma faute qui risque de me couter beaucoups. Je lévais les yeux sur mon boss craignant sa réaction. Il avait les machoires sèrrés me fixant comme s'il vénait de voir un fantôme ou comme si des cornes m'étaient poussés sur la tête ou je ne sais quoi... Il semblait très surpris de me voir. Le voyant ravaler difficilement sa salive je compris sa réaction et m'avançais vers lui sans le là'âcher du régard.
Je lui tendis son café fumant alors qu'il ne cèssait de m'observer. Parfini se détourna de moi l'air hagard. Les mains de chaque côtés de ses hanches il lança :
_ Vous ête en rétard et puis de quel droit osez-vous rentrer dans mon bureau sans frapper ?
Sa voix était tranchante et sans appel. Il se rétourna pour souder nos régards et j'y vus passer un éclaire de colère. Je me démande des fois s'il est bipolaire ou quoi ?
_ Je pensais que....
_ Que quoi Ma démoisselle ? Que comme je vous ai laissé m'accompagner à la soirée de l'autre soir que vous ête tout permise ou peut-être parce que je vous ai donné un jour de congé que vous pensez être au déssus des lois que j'ai imposé ?
Je suis resté abassourdi l'observant n'arrivant toujours pas à y croire. Comment a-t-il pu sortir de tels propos à mon égard ? N'est-ce pas lui qui m'a obligé à l'accompagner à cette soirée ? Pourquoi parle-t-il donc comme si c'était moi qui l'a voulu ou l'a démandé de m'y améner ? Que me veut-il au juste ? Je ravalais ma colère et le prit sur moi.
_ C'est une érreur qui ne se réproduira plus jamais, Monsieur. Dis-je en baissant la tête.
Je crois qu'il vient de toucher à une martie de mon égaux. En un clin d'œil il vient de racler tout les bonnes choses qui se sont produit entre nous. J'ai aussi été naïve en dépassant le professionnalisme .
Je me dirigeais vers son bureau et déposais son café sans le regarder dans les yeux. Je finis par sortir de son bureau blèssé que jamais. Je m'enfermais dans la cabine de l'ascensseur et éssayais de réprendre conténance pour ne pas montrer une seule faille de fiablèsse. Lorsque l'ascensseur s'ouvrit j'affichais un régard impassible et marchais vers mon bureau qui au fond juste en face de celui de Jack. Je m'y enfermais en plongeant ma peine dans le travail.
Je ne sais combien de temps j'y ai passé mis mais quand j'enttendus des coups à la porte je lévais le nez des doccuments.
_ C'est ouverte.
_ Tu ne fais pas une pause déjeuné ? Lança jack.
Je sécouais la tête n'ayant pas envie. Mais je me rapélais tout à coup que dois l'envoyer son déjeuné à Mr Donovan.
_ J'arrive dans quelques minutes. Dis-je en affichant un sourire forcé.
Je soufflais quant il parti en me prénant la tête. Que m'arrive-t-il ?pourquoi je suis calé sur ce qu'il m'a dit ? Je me savais rencunière mais à ce point là à ne même pas pouvoir penser à autre chose? D'habitude dans ce genre de situation je passe très vite à autre chose, ou j'aurrai cherché à me venger. Là j'arrive pas à passer à autre chose. Je me lévais et partis servire le déjeuné du grand patron et frappais à sa porte. Son ton froid m'acceuilli. Il est tout bonnement de mauvaise humeure.
Poussant légèrement la porte je me faufilais à l'intérieur sans le regarder en déposant son mangé sur la table.
_ Encore en rétard. Commenta-t-il.
C'est pas vraie seulement deux minutes ? Je serre les dents m'empêchant de répliquer.
_ Désolé. Dis-je simplement.
_ Je pense que çà fait trop d'érreur pour la journée vous ne trouvez pas ? Si vous avez pas les competenses réquises Ma démoiselle Wilson je pense qu'il sérrai temps de vous trouver une remplaçante plus qualifiée.
Je ne rélévais pas car je le disais que c'est peut-être la meilleure des solutions. Mais aussi je craint, car je ne teouvérrai pas mieux ailleure.
_ J'éssayérrai de faire de mon mieux Mr Donovan.
_ Tend mieux pour vous.
_ Est-ce que je peux diposer maintenant ?
_ Allez-y mais n'oubliez pas de me rapporter les doccuments sur l'affaire.... Avant la fin de la journée.
Je me rétenais de lui dire que j'arrivérrai jamais à finir tous ceux-ci avant démain mais me rétiens. Je parti avec l'envie naissante de vouloir l'étrangler.
Le soir j'ai du faire des heures supplémentaires pour pouvoir finir le travail qu'il m'a donné. Quand je finis tard je saluais le gardien et m'arrêtais dévant l'humeuble. Plus aucun taxi ne roule à cette heure là. Tous le monde étaient rentré et moi je suis seule, pas de voiture. J'utilisais mon dernier tour en appélant Toni. Il répondit ay bout de deux sonnéries.
_ salut ma Joker.
A travers sa voie et les brouhaha que j'enttendus je sus qu'il était à une fête et qu'il était un peu bourré.
_ Tu peux vénir me chercher à mon lieux de travail s'il te plait ? Je t'assure que je t'en vaudrais çà .
_ D'accord fil moi l'adresse.
Je l'envoyais ma localisation et me frottais les épauls morte de froid. J'ai bien fais d'améner ma veste. Quelques temps après un motard se garra dévant moi. Je m'avançais et pris la casque qu'il me tendit avant de monter derrière lui.
_ Accroche toi bien ma belle.
Je l'enroulais la taille en posant ma tête contre son dos. Nous roulons au milieux de la nuit avec vigeur. J'avais oublié ce que çà faisait de rouler sur une bécane, cette sensation de se perdre dans la nuit. J'ai l'impression de voler dans les aires. Que c'est bon ; Je fermais les yeux pour en profiter d'avantage, étant donné que nous en avons pour un bon moment avant d'arriver à destination mieux fallait en profiter.
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Mon boss et moi ( En Pause )
RomanceL'histoire est entre la secrétaire et son patron. Je n'en dirais pas plus mais lisez vous ne serez pas déçu.