Chapitre 11

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Je me cherche une bouteille de jus d'Orange dans le frigo et lui lançais un regard curieux pendant que confortablement installé sur le canapé il lisait les magasines. Depuis quant lui il lit le magasine ? De toute les façons ça ne me regarde



pas. Je sortis ce qu'il me faut pour faire un sandwich. Et de quoi faire du dessert. C'est difficile de me concentrer quant il se met à Hailé.

_ L'amazone du grand homme d'affaire Chris donovan.

A l'enttente de ce nom je lévais la tête vers lui. Il a du tomber sur l'article de ce qui s'etait passé la veille. J'étais currieuse sur ce qu'ils pouvaient bien dire de moi dans l'article mais aussi douteuse. Il me montra une image de moi mettant mon poing dans la figure de la jeune fille. Je me démande maintenant qui c'était?

_ T'es consciente qu'il y a une horde de journaliste campée en bas de ton humeuble maintenant ?

Je plisse les yeux et me précipite vers le balcon que j'ouvre. Je pose mes mains sur le rambard et jètte un œil en bas. Avec tous ceux-ci j'avais même pas enttendu leurs crits qu'ils faisaient. En éffèt il y avait une horde de paparrazy en bas de mon humeuble et dès qu'ils m'apperçuent ils laissaient échapper des crits de joies. Fasciné, je les fixais de longue sécondes avant de rétourner dans mon apparte tandisque Toni vénait lui aussi jètter un coup d'œil en bas.

_ T'es dévénus sacrément populaire en une nuit ma Joker.

Je rémis les rideaux à leur place et fermais les baies. Je tiquais quant j'apperçus Toni me piquer mon diné se hattant de mordre de d'en tandisque je courais pour le rattraper .

_ T'as pas honte de me piquer mon sandwich espèce de taré.

J'avais pas le temps de le rattraper car c'était maintenant trip tard. Le cœur bouillonnant je le foudroyait du régard impuissante ne sachant pas que faire ? Au final je le pris sur moi et partis pour me faire un autre. En ouvrant le frogot je me figeais voyant qu'il ne restait plus grand chose. J'avais pas eux le temps d'aller faire des course plutôt et avec tous ce qui se passe je ne sais pas Comment je pourais sortir. Je regardais Toni qui s'était positionné dans mon dos hésitante.

Je ne compte pas l'envoyer faire les courses au risque qu'il pique des choses. Mais est-ce que j'ai le choix ?

_ Puisque tu es là vas faire les courses toi.

Il semblait réffléchir puis fini par abdiquer avec un sourire diabolique. Je sais déjà ce qu'il a en tête.

_ N y pense même pas.

_ Le fric ? Dit-il en me tendant la main.

Je parti en prendre dans mon sac le lui donna avec la liste.

La minute qui a suivie je me suis rétrouvé seule et appaisé. Je mordais dans une pomme rouge et montais dans ma chambre. Consultant mes émails mon cœur ratta un battements lorsque je vus plus de cinq appelles manqués venant de mon patron. Je ne perdis pas de temps pour le rapéler à nouveau. A ma plus gande peine la combine ne passa pas. Mes pensées vrillaient vers lui. Il doit déjà être en avion à l'heure qu'il est.

Les jours qui ont suivi se sont passés dans la même humeure. Toni qui le rendait la vie impossible. Les journalistes continuant à trainer tous les jours en bas de mon humeuble inlassablement. Mon cœur battait à chaque pensée dirigée vers Monsieur donovan. Il me manquait à en mourire. J'avais l'imprèssion de manquer de l'air tellement il me manquait. C'est normale çà ? Pourquoi ces réactions pour lui ? Aujourd'hui je dois rétourner au bureau. Car aujourd'hui mes congés prennent fin. J'ai hate de le révoir tellement que je sortis le grand jeux. Perché sur mes hauts talons de 16cm, Je me suis légèrement maquillé et lâché mes chéveux. Je me suis habillé comme çà voulant changer un peu.

Lorsque je passais dans mon salon en direction de la sortie un sifflement me fit tourner la tête en direction Toni affalé sur le canapé lisant un magasine. Il était vêtu que d'un boxer. Je ne souhaiterais pas que quelqu'un le trouve ainsi dans mon apparte au risque de se faire des idées.

_ C'est le grand jeux ou quoi ? Avec ces fringues tu risque de mèttre le feu dans les pantalons ma belle crois moi, même ton grand boss ne pourrait te résister.

Il paraissait sincère. Sa dernière phrase me fit bêtement sourire. Je me répris assé vite.

_ Merci.

_ T'es méconnaissable quand tu t'y mets.

_ Je vais y aller pour pas être en rétard, mon boss n'aime pas les rétardateurs.

Je rémits mes lunèttes et un long manteau pour passer inapperçu avec les paparazy. Je marchais prèsque comme si j'avais le diable à mes trousses. Lorsque je rencontrais un paparazy je baissais la tête et fis semblant de teléphoner mais peine perdu. Il eu quelques doutes, le temps qu'il comprenne j'avais déjà fuis. Alors que d'autres sortaient de leurs troues. Je m'engouffrais dans le prémier taxi vénu alors que le client venant d'en sortir n'a même pas encore payé quand je lui dit de démarrer que je lui payérais le double. Il ne se fit pas prier roula et se perdu dans le trafic.

Je pus enfin souffler en retirant mon manteau puis mes lunettes. Je croisait le regard du chauffeur dans le rétroviseur.

_ Je vous reconnais, vous êtes la fille du magasine. La nça-t-il en tournant la tête en ma direction.

_ S'il vous plait regardez dévant vous. Dis-je pour pas être victime d'un accident de voiture.

Il semblait heureux soudain.

_ Vous êtes encore plus belle que sur les photos.

Mes joues s'échauffaient. Je pense vivre le moment le plus gênant de ma vie là. Je me contentais de lui sourire.

_ Vous sortez avec monsieur Donovan ?

Je lui fus comprendre ma perplexité à travers le regard.

_ C'est ce qui est écrit dans les journeaux. Ajouta-t-il. Attendez.

Le temps de comprendre le flash était parti.

_ Je me saurais bien passé d'un journaliste. Dis-je avec un ton sec.

Il se raidit et ne l'ouvrait plus jusqu'à l'arrivé. Je repris mon manteau, le paya ce que je lui ai promis et sorti. Dès que je sortis tous les regards se tournèrent sur moi. Est-ce que j'en ai fais trop ? J'enlévais mes lunettes et présentais mon badges aux gardiens avant de rentrer. Une fois à l'intérieur je retirait les lunettes et pris l'ascenseur.

Je partis en direction du bureau de mon patron son cassé en main. Un peu nerveuse en me demandant si j'en avais pas fais trop avec ma ténue. L'heure me fit comprendre que je devais vite me dépêcher. J'oubliais un instant de frapper et le regrettait à l'instant quand je levais les yeux sur lui. Je croisait ses yeux bleues. Instantanément mon regard dévia vers la femme à ses côtés. Celle-ci s'éloigna de lui ne manquant pas de me dévisager de la tête aux pieds. Je comprenais alors que je venais de faire une gaffe. Je venais d'interrompre un moment intime.

Mon boss et moi ( En Pause )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant