XIII

3.1K 94 2
                                    

NDA: Je poste ce chapitre un peu en retard, j'en suis vraiment désolé. Je tiens aussi à vous remercier de lire ma fanfiction. Joyeux Halloween et bonne lecture :)

J'étais en train de chercher ma mère sur le quai de la voie 9 3/4, aujourd'hui était le premier jour des vacances de Noël.

-Ellery, elle est là, m'informa Théodore en me prenant par le bras pour m'amener jusqu'à elle.

Elle était habillé d'une robe de sorcière noire. Notre mère était vraiment petite et je la dépassé depuis mon onzième anniversaire (Théodore l'a dépassé depuis ses 9 ans environ).

-Bonjour, les enfants. Vous avez passez un bon trimestre ? nous demanda-t-elle en nous voyant arriver.

-Très bon, lui répondis-je en lui souriant.

-J'ai eu de bonne note, lui dit Théodore.

-Je le sais ça Théodore, j'ai reçus ton bulletin par hiboux hier soir. Je te demande si tu t'es amusé avec tes amis.

-oui.

Elle nous sourit et nous partîmes du quai en empruntant le passage dans le mur. Puis elle nous emmena dans un recoin pour nous faire transplanter jusqu'à la maison. Notre maison était très grande. En fait, c'était carrément un manoir. Il avait été construit au treuzième siècle par mes ancêtres, Augustus et Mérinda Nott. Par le fait d'une longue lignée d'enfants aînés, mon père avait hérité de lui à la mort de notre grand-père.

Nous atterimes dans le jardin du manoir. C'était les elfes qui l'entretenait grâce à des sorts de jardinage. Il comprenait entre autre, un lac, un labyrinthe de roses (apparemment Mérinda Nott était une personne très romantique) dans lequel Théodore et moi adorions jouer quand nous étions enfants, une écurie (elle ne comportait plus qu'un seul abraxan, le transplanage étant un moyen de transport beaucoup plus commun que les chevaux ailées) et une véranda où ma mère avait l'habitude d'organiser des réceptions. Nous traversames l'allée bordé de chêne vieux de plusieurs siècles afin de rentrer dans le vestibule du manoir. Là, notre père nous attendait.

-Ah mon fils. Te voilà. dit-il en souriant d'un drôle d'air prétentieux.

-Bonjour père. Comment allez vous ? Lui demanda mon frère.

-Je vais très bien mon fils, les affaires fonctionnent bien en se moment.

Je fronçais les sourcils. Que signifiait donc le bon déroulement de ses "affaires" ? La seule chose qu'il est jamais faite est été d'hériter de mon grand-père et de se mettre au service du seigneur des Ténèbres. Il détourna son regard de Théodore et commença en m'observer, fixant avec dégout mon uniforme de Gryffondor.

-Et toi, ma fille, tu es toujours autant une déception qu'avant on dirait. Tu ne changera donc jamais, traître à ton sang. Si tu n'étais pas sa sœur jumelle, je penserais que ta mère m'aurait trompé. Je crois bien que je l'aurais préféré.

Il était comme ça mon père, il me critiquait dès qu'il poser les yeux sur moi et m'ignorer le reste du temps. Si ma mère n'insistai pas pour que j'accompagne mon frère, je resterais enfermer à la maison.

-Tu as vu tes notes aussi, on dirait que tu es une Sang-de-Bourbe.

Je doutais sérieusement qu'il est jeté ne serait-ce qu'un seul coup d'œil à ma copie mais il savait que j'étais une ratée.

-Je suis désolé, père.

Il ne m'écoutais pas. Il s'était remis à complimenter de toute les manières possibles Théodore. Je décidais alors de monter dans ma chambre. Je m'allongeais sur mon lit et me mettais à pleurer sur mon oreiller. Même si je savais depuis longtemps qu'il ne m'aimait cela faisait encore du mal de l'entendre.

Après un petit moment, je descendais voir ma mère dans le salon émeraude (nous en avions plusieurs et avons du nous adapter, le salon émeraude était le préféré de ma mère et aussi le mien, celui de mon père était le salon d'argent, je n'y étais pas entré depuis plusieurs années). Elle était assise sur un vieux fauteuil en cuir noir recouvert d'un plaid vert sapin. Dans un coin, il y avait un sapin et une caisse remplis de décoration de Noël à l'intérieur. Elle avait été mis là à mon attention, c'était une tradition entre ma mère et moi. Je faisais le sapin pendant qu'elle me ragardait tout simplement faire. Je commençais par enrouler les guirlandes autour de l'arbre, puis j'accrochais les boules, ma préféré était celle que j'avais peinte avec mon frère alors que nous avions six ans.

J'appelais ensuite Trixie, une elfe de maison assez âgée qui travaillait dans le jardin mais qui avait aidé ma mère à m'élever avant Poudlard. Je lui demandais de nous apporter un escabeau afin que ma mère puisse accrocher l'étoile en haut du sapin. Une fois le sapin finit, nous prîmes ensemble un chocolat chaud.

You were my enemy...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant