Mon premier amour : Ma vie

XVII

Ça y est je reprend du service avec ce mini chapitre. Désolé pour l'attente...

XVII (17)

Vendredi 3 novembre
J'ai eu une première semaine très chargé mes petits cousins sont aussi chez mes grands parents alors je les aident un peu. Toujours aucune nouvelle de Paul. Je ne comprends pas. Je ne l'ai pas harceler non plus. Je lui ai envoyé juste un message, un seul. Un coucou c'est tout. Bon il était sûrement occupé et n'a peut être pas eu le temps mais bon...

Lundi 13 novembre 6h50
Enfin la rentrée. J'aime pas les vacances de la toussaint. Mais en même temps aujourd'hui on est le 13 et ce chiffre me porte la poisse mais bon. En vous savez pas quoi? Aller je vous laisse devine.

Bon ok je vous le dis. Paul ne m'a envoyé AUCUN message durant ces vacances. Donc je suis légèrement (ironie) énervée contre lui.
Je m'habille en vitesse, prend un cookie pour la pause et sort de la maison. Je prend le bus en avance donc il n'y a personne que je connais et j'arrive enfin devant le lycée. J'attendis que les autres arrivent.

Lundi 13 novembre 7h50
Ça y est le voilà. Il marche tranquillement avec Quentin sans trop se presser. Lorsqu'ils arrivent a ma hauteur je dis bonjour a Quentin en le prenant dans mes bras et fait une simple bise a Paul. Il ne mérite pas plus.

Quentin: Ça va? On dirait que t'es énervée.

Moi: Oui je suis énervée.

Quentin: Il s'est passé quoi?

Moi: Demande a ton pote là.

Quentin: Oula je vais vous laisser ça va être animé je le sens.

Il part. Paul était devenu blanc et me regardait sans rien comprendre apparemment.

Moi: Ça s'est bien passé tes vacances tu as d'un être très occupé.

Paul: J'ai rien fait je suis resté chez moi.

Ok la c'est bon je vais le tuer.

Moi: Et tu n'a même pas répondu a mes messages?

Paul: Écoute je les ai vu mais je n'ai pas voulu répondre.

Moi: Et pourquoi ça?

Paul: Tu vois nous deux c'était juste pour le fun on est d'accord? On ne s'était rien promis.

Moi (les larmes aux yeux): Oui.

Paul: Donc je crois qu'on est arrivé a la fin de cette relation. Ok?

Moi: Oui.

Paul: Bon bah à plus.

Je recula jusqu'à rencontrer le mur violemment. C'était une blague. Il ne m'avait pas dit ça je rêvais. Je vais bientôt me réveiller. Je sentis mes larmes couler. Non ce n'était pas un rêve c'était la réalité et je devais l'affronter. J'essuya mes larmes et me releva.

Il va le regretter.