-𝐉𝐮𝐬𝐪𝐮'𝐚 𝐦𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐞𝐫 𝐬𝐨𝐮𝐟𝐟𝐥𝐞-

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Kurapika et Leorio se retrouvèrent seul sur le canapé du salon.
La porte d'entrée venait de claquer, confirmant que Gon venait de quitter l'appartement.
« Peut être qu'il vont enfin mettre les choses au clair ? »
Le médecin haussa les épaules.
« Killua ressent forcément quelque chose pour Gon ça crève les yeux, seulement est-ce que Gon s'en est rendu compte et si oui est-ce que Killua abandonnera sa fierté pour lui avouer ? »
Ce fut au kuruta d'hausser les épaules, perplexe, il conclut :
« C'est bien compliqué, toutes ces histoires d'adolescents. Heureusement qu'on a plus cet âge nous. »
Il laissa échapper un rire qui, d'après Leorio, éclaira la pièce de part sa pureté.
Le plus vieux s'avançât pour déposer un baiser sur les lèvres de celui qu'il pouvait à présent considérer comme son copain.
Le blondinet jugea cet acte adorable et réitéra en approfondissant le baiser.

「Point de vu Killua」

A présent je courrai mais, pour aller où ? J'avais lâchement fuis devant une question digne d'un enfant de primaire. Ma réaction démesurée aura forcément éveiller plus de soupçons que si j'avais simplement tout nier en bloc. Mais avec tout mes questionnement du moment, ça avait été comme la goutte d'eau qui avait fait tout déborder.

J'aurai pu utiliser mon nen pour courir encore plus vite, m'enfuir encore plus loins. Mais c'était un combat entre moi et moi et mon nen n'avais pas à m'aider à fuir ce genre de problème.
Je m'arrêtais enfin en pleins centre-ville, légèrement essoufflé. Je pu distinguer des bruits de pas réguliers qui venaient de derrière moi.
Il y avait tellement de bruit dans ma tête que j'avais eu de la peine à les entendres. Pourtant, juste avant que je puisse prendre conscience de la personne auxquels ils appartenaient, ledit coureur me bondit dessus.
C'était Gon, évidement, qui d'autre ça aurait pu être hein ?

« ÇA VA KILLUA ?? »
Il avait l'air paniqué
« Hein, bah oui je prend l'air j'te dis »
« Tu prends l'air en fuyait et en courant de toute tes forces ? »
Je haussai les épaules : que pouvais-je dire de plus de toute manière ?
« Viens on va s'asseoir sur ce banc »
En même temps qu'il me pointait un banc du doigt, il m'entraînait vers celui ci en tenant fermement mon bras.

Mon meilleur ami pris un air grave.
« Explique moi Killua, qu'est ce qu'il se passe ? »
Il avait l'air si concerné et sérieux que s'en était presque drôle.
« Pas grand chose en fait. »
« Je connais ce regard, tu mens, pourquoi t'évites toujours ce genre de questions ? Me dit pas que t'es amoureux ? Mais de qui ? On vois pratiquement personne ? A moins que ce soit quelqu'un que tu avais rencontrer pendant ton voyages avec Alluka... »
J'écarquillai les yeux, il allait vraiment vite en besogne.
« Non, bien sûr que non, quand j'étais avec Alluka je veillais sur elle, j'avais autre chose à faire... »
Il fronça les sourcils.
« Donc tu ne nie pas le fait que tu aimes quelqu'un ?! »
Je laissai un rire s'échapper de ma bouche.
«  Tu ferrai un assez mauvais detective, idiot... ou pas ? »
« Eeeeeh ! Et tu m'as même pas dit ?? Mais qui elle pourrait être ? On vois personne d'autre que nous... a moins que.. »

Mon coeur battait à 100 à l'heure, alors c'était comme ça que mon secret si bien garder allais être découvert ? Parce que j'avais fuis mes responsabilités d'enfant de 15 ans ?
Gon me fixait avec des grands yeux.
« Non... impossible ? A moins que ? »
Il se re mit à réfléchir de la même manière que lorsque son cerveau est en surchauffe. Il hochait la tête pour désapprouvais ses pensées puis marmonnait des bribes de mots.
Je l'observait tandis qu'il se torturait l'esprit, jusqu'a ce qu'il sursaute et plante son regard dans le miens.

La situation était parfaitement similaire à celle de la dernière fois, excepté qu'étrangement, Gon semblait plus mature a mes yeux.
Pour une raison que je tentais d'ignorer je rougissait a vu d'œil tandis que le sourire de Gon s'agrandissait petit à petit.
« Killua, tu m'aimes ? »
Je sursautais.
« Oui ! Quoi ? Non ? Ahah, moi ? Jamais ! Enfin... euh ? Peut être un peu ? »
Je vis le sourire de mon ami devenir plus grand encore, c'était un niveau de joie qui semblait être incalculable chez lui.
Il me pris brusquement dans ses bras tandis que je retenais mes larmes. Pourquoi ? Je ne savais pas ? Sûrement que ça me soulageait d'un poids d'enfin lui dire après quelques années. Ce sentiments avait germé dans mon coeur et pris place dans tout mon corp quand une plante grimpante un peu trop envahissante.
« Moi aussi, vraiment beaucoup ! »

Suite à ça, Gon décida de nous traîner jusqu'à un café pour manger un goûter. La raison, je l'ignorait mais je ne disait jamais non à un peu de sucre. J'imagine qu'il l'avait compris.
J'envoyais tout de même un message aux vieux, histoire de pas les inquiètes. « On rentrera pas avant une heure ou deux. »
Nous hochions la tête tandis que le jeune garçon aux cheveux vert en face de moi appuyait sur envoyer.

「Point de vu externe」

Le blond, de plus en plus entreprenant, embrassait toujours son futur amant. Celui ci entendit son téléphone sonner et le pris afin de lire à voix haute le message qu'il venait de recevoir. Kurapika hocha la tête en entendant cette information.
« Je m'en doutais, ils vont parler »
Tandis que le médecin hochait la tête, un peu perdu dans ses pensés, le plus jeune s'approchât beaucoup plus de lui.

[ ⚠️ début scène explicite ⚠️ ]

     Assis à califourchon sur son amant Kurapika l'embrassait tendrement.
Tout défilais rapidement dans sa tête : il ne savais pas vraiment ce qu'il était en train de faire, néanmoins il appréciait cela. 
Leur bouche ce délièrent et le blond en profita pour enfouir sa tête sur le torse de Leorio, haletant un peu.
Surpris, Kurapika sentit une main passer sous son t-shirt et longer l'arrière de son corps, de ses hanches à son cou.
Au contact de cette main  plutôt froide, Kurapika se redressa, se rappelant qu'ils étaient sur le canapé du salon, à la vue de qui voudrait bien entrer dans l'appartement.
Toujours à califourchon sur le brun, Kurapika attrapa la cravate de celui ci, lui signalant de se redresser, ce qu'il fit.
Le plus jeune se dirigea vers son oreille avant de lui dire « Allons plutôt dans ta chambre », ce à quoi il répondit avec un grand sourire. 

       Il souleva le kuruta avec une grande facilité, mettant ses mains sur ses fesses, Kurapika enroula ses jambes autour de la taille du plus vieux et ils se dirigèrent dans ladite chambre.
Une fois arrivés, Leorio plaqua son petit ami sur le lit et l'embrassa langoureusement à nouveau, il se séparèrent et le médecin en profita pour capter son regard. Il voulait s'assurer que c'était ce que Kurapika souhaitait vraiment avant d'aller plus loins.
Le blond lui fit un grand sourire, surpris par cette manifestation d'une nouvelle joie de la part de son copain, le plus âgé le laissa échanger leur position dans la surprise et Kurapika se mis à déboutonner la chemise de l'homme en face de lui après lui avoir aussi retirer sa cravate.

        Suite à cela Kurapika parcourut le torse du brun des yeux.
Il semblait animé d'une énergie que son amant n'avais jamais vu auparavant, s'en étais presque effrayant, néanmoins tout aussi excitant.
Bien sûr Leorio n'étais pas un débutant en la matière, il avait maintenant du mal à l'avouer mais l'année des élections il s'était un peu laisser aller, mais jamais il n'avais ressentit une telle alchimie avec son partenaire, d'autant plus que cela venait à peine de commencer.
Le plus jeune se laissa aller à embrasser le torse de son beau médecin, il était déterminer et parcourrais chaque parcelle accessible de ses lèvres.
Leorio fut submerger d'une émotion toute nouvelle, il trouvait son amant tellement magnifique que son cœur aurait pu exploser. Il voulais l'embrasser, encore.
Il attendit que son petit blond remonte vers lui pour le prend dans ses bras et le couvrir de baiser à son tour.
Il ressentait ce besoin grandissant de le faire se perdre dans tout son amour, c'était un sentiment tellement vaste.
Le blondinet se surpris à rire, « C'est adorable venant de toi ». Ils ne se souciaient plus du reste de l'appartement, de l'immeuble, de la ville, du pays et même du monde. Ils étaient ensembles en osmose et la vie leur appartenait.
Ils découvraient le corps de l'un l'autre, s'explorant mutuellement. Il c'étaient si longtemps côtoyer et ne c'étaient jamais sentis aussi proche l'un de l'autre qu'à ce moment.

[ ⚠️ fin scène explicite ⚠️ ]

« Je te promets de ne jamais te quitter et ce, jusqu'à mon dernier souffle »

———- / FIN /———-
Bonjour bonjour ! J'ai longtemps penser à faire du angst pour la fin de cette histoire mais au final j'ai changer d'avis hihi !
J'espère que cette fanfic vous aura plus !
A plus dans l'bus ;)

「Jusqu'à mon dernier souffle」[Leopika] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant