The Mafia- 마피아 |BTS|

Chapitre 1: L'emménagement

Le jour de mon emménagement :

Moi: Il a l'air bien. Et le loyer c'est combien ?

Propriétaire:  450€ tous les mois.

Moi: Très bien, je le prends.

Propriétaire: Bien, j'espère que j'aurais le loyer à temps, sinon ne soit pas surprise si je t'expulse.

Moi: D'accord, merci monsieur.

Bon, bah pour une première impression, il m'a l'air d'être un vrai connard.

Une fois les papiers signés et les clefs en main, je décide de prendre tout mes cartons pour commencé à m'installer. 

J'ai du boulot alors autant m'y mettre tout de suite étant donné que l'appartement est au deuxième étage et que l'ascenseur est très petit. Ça promet d'être long. Mais quand j'appuya sur le bouton, celui-ci ne répond pas.

OK, là, ça commence vraiment mal, l'ascenseur tombe en panne au mauvais moment sans que personne ne puisse m'aider. La chance n'est pas avec moi.

Je me décourage rapidement en pensant au temps que tout ça va prendre rien que pour monter mes affaires.

Je commence à monter d'un étage et rencontre mon premier voisin. Il est âgé, surement retraité, de taille moyenne avec le dos légèrement courbé sur lui-même. Le regard qu'il me porte n'a rien de sympathique. Quand  j'ouvre la bouche pour lui parler, celui-ci s'en va sans même me dire bonjour.

 Cette journée s'annonce très longue et épuisante.

Je continue donc mon chemin, enchaînant des allers et retours de deux étages dans les escaliers. 

Une fois le quart de mes affaires montées, je croisa quelqu'un d'autre. Cette fois, c'était un gars un peu plus jeune que moi, les cheveux et les yeux noir, normal. Il portait des vêtements décontracté mais sans trop l'être non plus. Il devait sûrement être au lycée. Je lui dit bonjour et il me le rendit. Au moins une personne est poli ici. Il me demanda mon nom et où j'emménager. On fit connaissant pendant quelques minutes et au moment où je m'apprêtais à lui demandé de l'aide, il reçu un appel lui disant qu'il devait se dépêcher de partir.

Bien évidement, personne ne m'aidera. Je devrais me débrouillais toute seule mais bon ça ne changerais pas de d'habitude.

Une heure après, j'avais enfin fini et quand je remonta une dernière fois, une vieille dame croisa mon chemin avec son chien en laisse. J'ai voulu engager la conversation mais elle passa son chemin sans me prêter aucune attention, comme si je n'existais pas.

Conclusion : je dirais que pour les voisins, c'est pas top, à appart le jeune que j'ai croisé il y a maintenant une heure.

Une fois rentré, je m'apprêtais a commencé de déballer toutes mes affaires quand mon téléphone sonna: c'était ma belle-mère. Je cherche même pas à comprendre que je l'éteins immédiatement. Je ne voulais plus entendre parler ni d'elle, ni de qui que ce soit de mon ancienne vie en France.

Ayant perdu toute envie de déballer mes affaires (même si je n'en ai jamais eu envie), je décide de sortir pour m'imprégner des lieux.

Une fois sorti, je commence par visiter les meilleurs quartiers. Il est maintenant 15 h 30 et c'est bonder. Il fallait que je trouve un boulot au passage. Je sais, je sais, je suis venu ici à l'improviste mais je ne voulais pas resté une seconde de plus là-bas.

Je savais déjà que le meilleur endroit où travailler pour moi été une supérette. Sûrement l'un des seul endroit où il ne fallait pas réellement de CV ou de qualifications particulières.

Je commence par la première que je vis. Une fois rentré, je demande au caissier s'il serait possible de postuler pour le poste afficher à la vitrine. Il m'indique une porte où se trouver le gérant. Je toque et entre quand il me donne son autorisation. Je me présente et lui informe que c'était pour le poste, il me posa quelques questions et accepta ensuite. Je commence dès lundi, autrement dis, après-demain. Décidant que j'en avais assez vu, je rentre chez moi.

Plus tard dans la soirée, j'avais pratiquement tout déballer. Je mange pour partir me coucher tôt, car demain, une longue journée m'attends.