Parce que ce soir-là, j'avais eu une idée en tête. Nous nous ne connaissions pas vraiment, mais assez pour savoir que notre sexualité ne ressemblait pas à celle de Monsieur et Madame tout le monde. Non, elle est plus... Piquante ? Audacieuse ? Fougueuse ? Vulgaire ? Non pas vulgaire décidément pas vulgaire.
Nous savons tous les deux que le soir venu, lorsque nous serons dans une chambre nous ne serions plus les même personnes et peut-être ce depuis le restaurant ou ton regard m'avait brûlée. Là-bas, il y avait toi, moi et une bonne bouteille de vin blanc parce que notre amour était bien meilleur avec un bon cépage dans la gorge, mes yeux avait pétillé de leurs impatiences et mes lèvres rouge n'avait cessé de te sourire grâce aux vapeurs du raisin.
Nous venions de goûter à des mets d'exceptions : nous avions cru mourir d'envie pour un Tartare de saumon, fermés les yeux de bonheur pour une viande tout juste bleue comme nous l'aimons tout deux et soupiré d'extase pour une touche de chocolat à la fin de ce délicieux repas. Nous avions discuté pendant que nos couverts s'entrechoquaient sur la porcelaine de nos assiettes que nous dévorions, mais pas autant que nous prévoyons de nous dévorer par la suite. Et ça est une affirmation. Mais même si nous aimions nous faire plaisir, nous donnerions tout pour un simple plat de pâtes à la carbonara si à la clef, nous n'avions pour seul luxe de se nourrir de notre luxure.
Quand nous étions remontés pour une suite qui nous le savions ne serait pas de tout repos, j'avais regardé le bracelet à mon poignet gauche scintiller. Tu venais de me l'offrir et celui-ci n'était pas gage d'amour... Enfin pas vraiment. Il était gage de notre passion particulière. Si ma bague était signe de mariage et d'engagement, celui-ci était signe de ma soumission à chaque fois que nous en aurions envie le soir venu... Signe pour nous que je m'offrais à toi corps et âme, signe que je choisissais d'être ta soumise qui parfois te défie pour que la punition n'en sois que meilleure.
L'ascenseur avait mis un temps infini avant d'arriver à notre étage. J'avais été surprise que toi d'ordinaire galant étais passé avant moi à l'intérieur, mais j'avais vite compris que c'était pour mieux faire balader ton regard dans mon dos et mes courbes. J'étais triste que le couloir soit fait de moquettes, car j'aimais à cet instant me sentir femme et les talons m'aidaient énormément, je dois bien avouer.
Tu avais refermé la porte pendant que moi, j'avais déposé ma pochette sur le bureau non loin du lit. Tu étais venu contre moi et je pouvais déjà ressentit ton désir pour moi. Tu ne me déshabillerais pas encore, je le savais : tes mains aiment trop parcourir mon corps sur le tissu et ainsi, tu pouvais te faire une idée des fins tissus qui était cachée dessous ce fourreau.
La soie de ta cravate était venue m'obstruer la vue et un rien de temps ma robe avait glissée à mes pieds pour te laisser entrevoir mes sous-vêtements juste fait de ficelles et d'une fine dentelle couleur lila. J'étais allongée, les bras levés au dessus de ma tête : offerte. Je ne m'étais jamais sentie aussi bien qu'à ce moment, car j'étais tienne, il n'avait que nous-même sinon n'étions plus les mêmes à ces moments précis. Je sentais ma poitrine se soulever plus intensément sous le plaisir que je ressentais même sans tes doigts sur moi. Tu laissais tes doigts parcourir ma poitrine, tes lèvres sur mon cou avant qu'elles ne rencontrent les miennes pour un ballet endiablé.
Pour toi, le moment de t'attarder sur ma poitrine avec ta langue alors que je sentais tes mains ouvrir ta chemise et la retirer. Ta langue était si fraîche comparée à mon corps qui s'embrasait un peu plus a chaque coup de langue sur mes tétons dressés pour toi. Tu avais décidé de me laisser mes bas fin et mes talons, car je savais que ce serait ton petit pêché mignon que cette vue te plairait. J'ai eu raison, car tu n'as pas hésité à mon complimenter dessus.
Puis tu as fait rouler le petit de tissus qui couvrait mon désir sur mes chevilles. J'ai senti ta langue se frayer un chemin sur cette vulve déjà humide. Puis tu as ouvert le sac de la luxure pour attacher mes poignées à mes chevilles. Ainsi, je serai plus ouverte à ta langue.
Alors que mes soupirs devinrent des gémissements puis des cris de plaisir. Je me suis débattue sous le plaisir, j'ai essayé d'aller te retrouver pour que mon orgasme soit le notre, mais tu en avais décidé autrement évidemment : tu es le maître de la situation. Après ma jouissance, enfin, tu t'étais permis de finir de te déshabiller avant d'entrer en moi.
Puis ensuite, tu m'avais laissé te faire plaisir. J'avais eu droit de te prendre enfin en bouche. Je ne peux dire pourquoi, mais j'adore t'entendre ainsi soupirer d'extase face au plaisir que je te procure à l'instant T. Je souris et m'applique à te faire toujours plus plaisir, à trouver ce petit rien qui te rendra plus sensible à moi, ce qui te fera tressaillir entre mes lèvres. Pendant que toi, tu prends plaisir à voir rougir mes fesses qui te sont présentées puis entre un doigt joueur. N'en pouvant plus tu t'étais couverts puis nous avions tout deux criés notre plaisir mutuel a quatre pattes ou presque.
Nous le savions ; maintenant, que les hostilités étaient lancées, nous ne pouvions plus rester aux corps de l'un et de l'autre. Alors ils n'ont fait qu'un. Ils se sont rencontrés parfois plus durement que d'autres : nos bassins s'entrechoquaient sèchement sous le rythme de nos respirations plus haletantes l'une que l'autre. Nous avons assouvi ce besoin d'amour dans les positions qui nous faisait plaisir avant de terminé épuisés par nos corps qui venaient de se faire tant de bien par un baiser. Un vrai baiser d'amour, pas un baiser de luxure.
VOUS LISEZ
Lux
RomansaLe monde entier à découvert une nouvelle façon d'aimer et de faire l'amour grâce ou à cause de Christian Grey. Pourtant, nous étions sur la fiction. Et si la fiction était bel et bien inspiré de la réalité d'une communauté de personnes qui vivent l...