Numéro 16

20

J'ouvre les yeux, réveillé par le doux bruits des vagues. Je me frotte les yeux, et je me rend compte sur je suis toujours dans la même position. Charles s'est visiblement endormi lui aussi. Je m'assois et prend mon téléphone, il est midi.

Je me décide à me lever et je vais dans la petite cuisine équipée. Charles a fait quelques courses et je me suis dis que je pouvais préparé quelques choses. Il y a de quoi faire une bolognaise, je me décide donc à le faire. J'aime beaucoup cuisiné, cela faisait longtemps que je n'avais pas eu l'occasion de mangé un repas maison.

Je laisse le tout mijoté, et je me décide à rejoindre Charles à l'avant du bateau. Il a une main derrière la tête, et son bras gauche longe son corps. Il porte un ensembles de survêtement gris. Les quelques rayons du soleil viennent épousé les courbes de son visage. Il est si beau me suis-je dis.

Je retourne en cuisine terminé mon plat. Je met de l'eau à bouillir, pour la cuisson des pâtes.

« - Tu fait à manger? ça sent super bon dit le jeune monégasque en s'étirant
-Mais tu dormais il y a deux secondes !
-Je t'ai entendu partir ça m'a réveillé
-Désolé je voulais pas dit-elle en haussant les épaules
-Tu cuisines quoi?, dit le jeune monégasque en mettant ses bras autour de la jeune femme

Son geste me coupe le souffle. Nous étions si à l'aise l'un avec l'autre, j'ai l'impression qu'on se connaît depuis toujours.

-Bolognaise, ça se voit pas?, dit la jeune femme en riant
-T'es intelligente, jolie et en plus tu sait faire la cuisine qu'est ce que tu me réserves d'autre l'infirmière?
-J'ai plus d'un tour dans mon sac, dit-elle en souriant »

Je termine la cuisson des pâtes et je sert les assiettes à table. Nous nous installons pour mangés.

-Incroyable !, dit Charles après avoir pris une première bouchée
-C'est pas grand chose,dit-elle en souriant
-Ça fait une éternité que j'avais pas mangé quelques choses d'aussi simple et bon. Je suis toujours dans des restaurants, c'est lassant à force »

Nous terminons de mangés et nous mettons les assiettes dans l'évier. Nous retournons nous installés à l'avant du bateau. Je prend l'énorme couverture et que je met autour de moi et Charles viens naturellement posé sa tête sur mes jambes.

« -Tu sait Chiara, ça faisait longtemps que j'avais pas pris plaisir à faire des choses simples
-C'est vrai que c'est plaisant, dit-elle en souriant
-Dis moi, t'as déjà eu un petit-ami?
-Pourquoi cette question?
-Comme ça, je me demandais
-À vrai dire, j'ai jamais eu de vrai relation. J'ai eu des petites amourettes, mais c'était jamais sérieux. Ils voulaient tous la même choses au final, et ça m'a repoussé.
-Tous la même choses? Tu veux dire qu'ils étaient tous là pour unique but de te mettre dans leurs lit?, dit-il en s'asseyant face à la jeune femme
-Oui en trotte, au bous d'une semaine ils me parlaient déjà de m'amener à l'hôtel pour.. enfin voilà quoi, dit-elle en haussant les épaules
-Tu n'as jamais?
-Non, jamais. Et toi avoir une petite amie ça doit être compliqué avec ce que tu fait non?
-À vrai dire j'en avais une, on est resté longtemps ensembles mais elle commençait à ne plus être là pour les bonnes raisons. Elle profitais de mon argent, elle ne prenait plus la peine de venir à mes grands prix, elle était là que pour les gala et les inaugurations. J'ai décidé de me séparé d'elle il y a plus d'un an et de me consacré à la formule un.
-T'as déjà pensé à arrêter?
-Pas une seule seconde, c'est plus l'anonymat qui me manque. Tu voit je suis obligé de me cacher et c'est fatiguant. Après je ne crache pas dans la soupe, j'ai une chance énorme et j'ai des fans superbes. »