Tout le monde attend le printemps et le beau temps
Mais moi, je fonds en catastrophesNuancée, aussi sublime qu'atroce
Pas trop noire ni trop blanche
Un peu de doré et d'émeraude
l'Antiquité dans mon amour, le passé lointain où réside toujours ma passionUn spasme étreint mon cœur
Je perds le contrôle
Ma vie balance, mon souffle se saccade
Je bloque sur l'instant
Car d'un coup comme une fusée je vise hors temps
Je fais le tour de mes pensées
Et je fais l'erreur de franchir les frontièresJe me blâme
Mais si le temps danse à l'envers, je ferai les mêmes pas
À part mes désastreuses tragédies sucréesQui prendrait ma main, délicatement, et me murmura des vérités douces ?
Je me dissimule et ça me convient
Ils me heurtent de flatterie, mais jamais d'honnêteté
Parfois, je veux changer et d'autres fois, je les maudis
Je m'embellis de nuages et de brume aveuglante
Les sentiments validés
C'est le comportement qui dérape
Je m'agace en compagnie frivole
Et j'éclore en solitude
Trop petits pour venir s'asseoir avec ma raison, mon vécu et mon essence
Je m'oublie et c'est ce qui est bon pour ma santéJe l'ai dit, mais ce n'est plus le cas
Je disais que je serai là, même si on ne se parle plus
Mais j'ai grandi et j'ai compris
Si tu me vois, ce n'est pas vraiment moiJ'en ai vu assez
Ils commencent tous uniquement, mais tous finissent de la même manièreÉduquée dans la simplicité et dans la haine de l'opprimé
On m'a injecté de poison, chaque minute de mes années obliquesJe me suis régalé dans le miroir et je me suis appris la gentillesse
Trop perdue dans mes pensées
Une stratégiste sans terrain de guerre
Toujours en action sans jamais se bougerJ'en ai vu assez
Et si tu me vois, ce n'est pas vraiment moi
J'ai dit que je t'aimais alors que je ne le pensais pas, le pire, je ne le ressentais pas
Le venin s'était déjà propagé, c'était facile de s'absenter
Je ne suis pas acquise à ta guise
Quand ton ego s'abaisse, ce n'est pas ma main qui tremble
Et quand ta raison s'immisce dans mes affaires, c'est ma silhouette qui te hanteJ'ai dit que je t'aimais, ne t'y accroche pas, j'oublie aussi vite que je connais
C'est ainsi quand on veut un esprit qui cherche l'absolu
Je ne t'en veux pas de ne pas être à la hauteur
Juste de ne pas essayer de l'êtreJ'essaye d'ignorer, mais je me faufile entre les pensées comme un nuage des tempêtes
On m'idéalise puis on cherche mes défauts
Comme s'il m'était impossible d'exister
Quelle ironie quand je les vois si clairement
Pas même un chapitre d'une page, ils ne feront
Quelle stupidité quand ils m'adorent quand je les insulte poliment, mais me détestent quand ma politesse est sauvage.
VOUS LISEZ
«12 𝑺𝑨𝑰𝑺𝑶𝑵𝑺 𝑫𝑬 𝑴𝑰𝑵𝑼𝑰𝑻.»
Poetry"𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑎𝑟𝑡 𝑎𝑚𝑏𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡." { 𝑅𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑥𝑡𝑒𝑠 } Au milieu d'un océan étranger, une bouteille en verre couverte de vagues agitées, traversait l'inconnu, voyageait sous les...