Le murmure d'Aïdeen

Chapitre 2

Quand Aïdeen mis un pied sur le caillou qu'étais Jorvik, elle le transforma en une île remplie de verdure ou pourrais galoper ses protégés, les chevaux. Rapidement les humains débarquèrent sur sa terre et un accord s'établis. L'île baptisée Jorvik par les explorateur, regorgeais déjà d'humains ayant suivis leurs déesse hors de son monde d'origine, l'Ethera, le monde des divinités, trouvèrent un accord. Les humains dénuée de magie se servirait de leurs mains pour bâtir des choses et les druides, Hommes d'Aïdeen, se servirait de leurs magies pour aider ces Hommes normaux... Plus les années passèrent et plus les alliances se formèrent amenant la création d'enfant à moitié druidique possédant un lien plus puissant avec les chevaux. Mais comme toutes histoires, une guerre éclata pour le pouvoir. Aïdeen dépassée par cette violence ne put qu'assister impuissante au carnage qui fut baptisé la guerre sanglante. Un homme qui voulait la déesse pour lui seul avait trouvé un moyen de la gardée coincé dans son château.

La seule personne, hormis l'homme qui l'avais capturé, qui venait la voir était une jeune servante du palais. La jeune fille aux cheveux couleurs auburn et aux yeux d'une jolie couleur doré, le visage constellé de tache de rousseur, lui apportais les nouvelles de l'extérieur et plus de nourriture que prévue. Un beau jour, cette jeune fille arriva en trombe, son joli visage baignée de larme et s'empressa de libérer la déesse. Aïdeen ne compris pas de suite son geste jusqu'à qu'une flèche vienne se loger dans la poitrine de la jeune fille. Ce jour-là, le courroux de la déesse venant de retrouver sa magie s'abbatie et toute la ville fut rasée. Elle pleura pendant plusieurs jours sur une montagne créant ce que l'on appelle la SilverSong. Un jour, ses frères et sœurs venant de l'Ethera apparurent devant elle pour calmer sa peine profonde. Ils lui promirent de rester avec elle et lui proposa de sauver cette jeune humaine. Alors les dieux prirent leurs formes animales. Un loup pour Luna la sœur ainée de la déesse, déesse de l'eau et la glace. Un ours pour Akerthonn, plus petit frère d'Aïdeen, dieu de la terre et des bois. Un moineau pour Quars, le deuxième frère de la déesse, dieu du vent des montagnes. Pour finir ce fut Achar, l'ainée de la fraterie qui finit par se tranformer en un majestueux dragon. Aidés d'Aïdeen ils réussirent à ramener la jeune servante a la vie mais la transformant en un être mi- humain et mi-divin. Un renard gardien qui protégerait toujours la déesse et ses chevaux.

Les dieux décidèrent de crée leurs propres lignées de gardiens qui veillerait sur Jorvik. Ils devraient s'entre aider. Alors des clans portant comme emblème l'animal de leurs dieux se créèrent. Chaque aîné se verrait attribuer la magie de leurs ancêtres divins les plus puissant pourront monter sur les trônes laisser par leurs ainés. Mais avec les années ils se séparèrent sur tout Jorvik et certains se mirent à se faire la guerre et à se détester. Seul le renard continuait à rester prêt de la déesse et ses chevaux... Il ne fessait la guerre à personne car ses alliés ne le trouvaient pas assez fort pour avoir leurs attentions. Alors les héritiers du Renard formèrent leurs enfants très jeunes à la magie et l'art martiaux. Mais les héritiers se firent de plus en plus rares. A ce jour nous ne savons pas s'ils sont encore en vie. Mais nous savons que le clan des dragons et des loups ont pris la tête de Jorvik déclinant la puissance des ours et des moineaux qui demeurent discret, contrairement au Renard qui ont complètement disparut de la circulation.

Je claquais le livre en soupirant. Je me doutais que ma famille était liée à Aïdeen, mais ainsi... C'était incroyable... Je me levais et me dirigeais face au miroir qui me renvoya mon reflet. Mes cheveux auburn, des yeux verts et des taches de rousseurs sur mon nez et mes pommettes malgré la petite cicatrice à ma mâchoire il n'y avait aucun doute sur mes origines. Je soupirais et jetais un coup d'œil au carnet de mon père. Je le pris et examina sa couverture plutôt abimé. Soudain une petite carte tomba. Je pris le carton ou était juste noté une adresse et un nom. Daras. Je descendis en ayant pris soins de refaire mon camouflage et sonna plusieurs fois sur la petite sonnette du comptoir jusqu'à que le concierge sorte de la petite pièce en gueulant. Quand il me vit il me toisa mais répondis néanmoins à ma question.