Chapitre 1

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Léa : PAPA !

Sébastien : Quoi Léa !?

Léa : Je viens de gagner deux places pour le match de ce soir Arménie-Paris !

Sébastien : C'est vrai !

Léa : Oui j'ai joué sur chéri FM !

Sébastien : Trop cool, tu vas bien sûr prendre ton cher père.

Léa : Hum... Je pensais plutôt prendre Lucas... Tu sais bien que c'est son rêve d'aller voir un match de foot !

Sébastien : C'est bon t'inquiètes ! Tu peux l'accompagner... Le match est à quelle heure ?

Léa : Ça commence à 21h donc dans 3h.

Sébastien : Va prévenir ton frère ! Et tu fais attention à lui, il a seulement 7 ans !

Léa : Promis !

Je le pris dans mes bras et li fit un bisous sur la joue. Je courra dans la chambre de mon frère. J'ouvris la porte sans toquer et sauta sur son lit.

Lucas : Léa tu peux frapper avant d'entrer !

Léa : Me dispute pas sinon je te donne pas ta surprise !

Lucas : Une surprise ! Pour moi ? C'est quoi !?

Léa : Je veux un bisou !

Lucas : Steu'plait !

Je pointa ma joue avec mon doigt. Il soupira et me fit un baiser.

Lucas : Alors c'est quoi ma surprise ?

Léa : J'ai deux places pour le match de ce soir !

Lucas : Paris-Arménie ?!

Léa : Oui et tu viens avec moi !

Lucas : Je suis trop content ! Merci sœurette !

Léa : Faut commencer à se préparer.

Lucas : Quand je vais raconter ça à Mathéo et Gabin, ils vont être trop jaloux.

Léa : Viens je vais t'aider.

J'ouvris son placard, pris un maillot du PSG du numéro 7,avec un short bleu, je lui maquilla sur les joues le drapeau français et fis de même sur moi. On était accordé, maquillé et habillé par terre.

Léa : Viens on fait une photo tous les deux et je la mettrais sur insta !

Je me pencha et mis ma tête contre la sienne et pris un selfie. On descend tout les deux et disons au revoir à nos parents, qui encore nous prenne en photo et me disent qu'il faut bien que je fasse attention à Lucas et moi et que si j'avais un problème, il fallait que je les appelles. Nous prenons tous les deux un uber.

------------------------------- Devant le stade :

Nous rentrons dans les gradins, nous étions assez bien placés, nous étions assis à la troisième rangé, nous étions très près des joueurs. Mon frère avait des étoiles pleins les yeux. C'est son tout premier match, mes parents n'ont pas trop les moyens de nous financer quelques petits plaisirs...

Lucas : Merci Léa !

Léa : Je t'aime Lu !

Le match commence, j'étais en short en jean avec un maillot du PSG. Depuis le début du match, je sentais quelqu'un me fixait. Pendant la mi-temps, je sentis une main sur mon épaule, je me retourna et vis le jeune homme qui me fixait depuis 20 minutes.

Léa : Je peux vous aider ? Dis je gentillement .

Nick : Oui je m'appelle Nick, je voulais savoir ou étaient les toilettes ?

Léa : La bas, vous descendez des gradins, longez le couloir et voilà !

Nick : Je vois mais vous pouvez m'accompagner non ?

Léa : Non vous allez voir c'est simple à trouver et puis au-cas ou y a des agents. Dis je méfiante.

Il m'attrapa le bras.

Léa : Qu'est ce que vous faîtes ?! Dis je apeurée.

Lucas : Lâchez ma sœur !

Nick : Te mêles pas de ça petit !

Ok, là je commence vraiment à stresser !

Nick : Viens avec moi.

Léa : Non lâchez moi ! J'haussais le ton pour que les gens autour voient que je me faisait agresser, mais personne réagissait, ils étaient obsédé par les joueurs...  L'homme me tira vers lui et m'emmena hors des gradins, je me débattais, mais rien n'y fais, je criais.

Léa : Lâchez moi !

Lucas : Arrêter ! 

?? : Eh ! Lâcher là !

Aussitôt dit, aussitôt fait, il me lâcha le bras, il s'en alla en courant, je ne sais ou. Mon frère avait la bouche grande ouverte, je tourna la tête et vis Antoine, Antoine Griezmann qui avait l'air en colère. Tout le monde nous regardait intrigué pourquoi le grand Antoine Griezmann. Il courra vers nous, et dit quelque chose dans l'oreille d'un agent en bas des gradins.

Agent : Venait, Mr.Griezmann a demandé à vous faire rentrer sur le terrain.

Il m'ouvra ses bras et me porta sur le terrain et il fit de même avec mon petit frère.

Antoine : Ça va ?

Léa : Oui merci. Dis je gênée.

Mon frère ne bougeait plus, il était impressionner, c'était trop drôle !

Antoine : Bein alors bonhomme ça va pas ?

Léa : Vous êtes son idole, il est impressionné. Un coup de sifflet retentit, le match allait reprendre.

Antoine : Attendez ici, je vous ferais une photo.

Léa : Merci beaucoup !

800 mots, 27/03/22



Mon agression m'a mené au bonheur ( Antoine Griezmann )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant