Chapitre 13:

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Oui c'est moi sur la photo, regardez comment je suis trop bgette
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Shigaraki passa le téléphone à son collègue et vint vers moi avec un rouleau de scotch en main.
Tout en restant face à la caméra il me ligota, une seconde fois, mais aussi la bouche.

« - Tu parles beaucoup des fois... »

J'essaya de riposter et d'articuler quelques mots mais je n'y parviens pas.

« KAYNO !? TU VAS BIEN ???? »

Ah oui t'inquiète, nice. Je suis juste attachées de partout et dans la même pièce avec deux vilains dont un m'a foutu une droite mais ouais au calme.

A l'entente de ce nom, plusieurs têtes firent apparition sur le petit écran. Il se trouvait qu'All might était déjà au travail dans la salle de pause. Plusieurs de ces collègues regardaient ce petit appareil.

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Attend mais c'est pas logique ???
Il y'a à peine cinq minutes j'étais sur la route en direction de la maison de mon meilleur ami alors comment ce fait-il qu'il travaille déjà ?!

Attend mais déjà on est quel jour ?

Je tenta réouvrir ma bouche mais oublia vite l'idée puisque que je ne pouvais pas parler.

J'entendais des exclamations, des cris et des questions posées en face de moi. La discussion entre les héros et les vilains ce faisait entendre. Ces soudaines attitudes me rappelais chaque mouvements et actes qui se sont passés le jour de l'incident... Tout le monde pleurait pour lui et moi, on ce fichait de ma personne. Un frisson me parcouru l'échine à cette pensée.

Même mort t'arrives à m'énerver !

Je chassa les idées négatives qui c'étaient installé dans mon esprit et releva la tête vers mes kidnappeurs.

« -Si vous voulez récupérer votre chère et tendre élève, vous devez nous vendre All might. »

A donc je suis juste une leurre?
Je suis déçue...

Pdv Aizawa:

Non mais qui va bosser un samedi sérieux !?

On m'appelle pour que je vienne remplir des fiches d'information le WEEK-END !

J'étais entrain de monter les marches qui menaient à la salle de repos du bâtiment Yuei et j'entendais déjà mes collègues crier à l'autre bout du couloir.
J'arriva devant la porte et tourna la poignée.

À peine rentré dans la salle qu'ils se tournèrent tous en ma direction. All might tenait un téléphone. Je ne fit donc pas attention à ce qui était affiché dessus.

« - déjà que je suis pas d'humeur à venir travailler un samedi, vous allez pas commencer à crier dans mes oreilles. »

Ils étaient tous au même endroit. Ils ont entouraient All might.

« alors marché conclu ? »

Il est au téléphone ?

"Le numéro un" était le seul à ne pas s'être retourné après mon entrée dans la pièce. Il fixait son téléphone avec terreur et stupeur. J'haussa un sourcil et prit par la curiosité, je m'approcha du téléphone et l'arracha de ces mains.



Kayno était attachée de la tête aux pieds sur une chaise, impossible de bouger et de parler. Pendant que moi je pensais que l'enfant dormait paisiblement chez un de ses amis, elle,
était sûrement en train de se faire martyriser par ses infâmes personnes. D'où vient le bleu, très voyant, sur sa joue gauche.

"𝑃𝑎𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑚𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝑡'𝑎𝑖𝑚𝑒𝑟..." Dadzawaxoc T.1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant