Joystu : Le nouveau départ [ TERMINÉ ]

Chapitre 3 : Tu t'en remettra vite

J'envoie donc un message à Théo, pour qu'il soit tenu au courant de cette situation médiocre !

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MOI : Théo, tu peux
venir chez moi stp ?
Je me sent vrm pas bien

THÉO : Oui y a
Pas de soucis Jo,
Qu'est-ce qui c'est
Passé ?!

MOI : Viens et je te raconterai
tout en même pas
quelques secondes
aulieu de te le dire
par écrit 😭

THÉO : Ok bro,
Tkt pas je suis là
dans 10 mins.

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Je me sent vraiment pas bien du tout, j'avais tellement construit de choses avec elle, mais il fallait bien que ça s'arrête au bout d'un moment... les sentiments n'était plus les mêmes qu'au début. Je m'étais préparé à tout briser, mais je m'attendais pas à ce que ça me fasse aussi mal... surtout pour une connasse de ce genre !

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6 minutes passent
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j'ai tellement pleuré, transpiré, que même mes affaires, n'en pouvaient plus, elles étaient trempé de A à Z. Je décide donc de me mettre en boxer, vu que j'ai rien d'autres à foutre, et puis je me pose sur le canapé avec malgré tout un plaide pour me couvrir pour éviter de chopper la crève.

J'essaie de dormir, mais impossible... cette douleur psychologique ne fait que me ronger le sommeil, tel un parasite qui réussi à prendre les commandes de mon cerveau. C'est lui qui décide, mais pas moi, je ne suis qu'un simple spectateurs de ma propre vie à ce moment là.

Je fixe donc le plafond... les minutes passent, et je commence vraiment à me sentir seul...

[ TOC TOC ! ]

T- Jordan c'est moi ouvre la porte

Figé depuis un bon bout de temps; en entendant sa voix, c'est comme si mon corps s'était remis à fonctionner de lui même, tel une machine.
J'essaie de sécher mes larmes le plus possible pour éviter qu'il me voit dans cet état, même si il sait à quoi s'attendre au vu de mes messages.

T- Jordan, s'il te plaît, je veut t'aider, j'aime pas te voir dans cet état là, alors ouvre moi cette porte Jo !.... on peut peut-être en discuter et en tirer une conclusion.

J- La.... La porte est ouverte.

Théo fini par ouvrir la porte de lui même, et pose ses affaires plus vite qu'une fusée dans l'entrée.

Il arrive vers moi, en panique, sûrement à cause de l'idée de me voir dans un état pitoyable tel que je le suis actuellement.

Il me voit allongé, avec la couverture qui me couvre à moitié, la tête rouge comme un fer chauffé à plus de 2000°C

T- Hey Jo, ça va si mal que ça ?!

Mes larmes commencent à retomber une à une

J- À ton avis !

Il s'approche vers moi, et s'installe en à ma gauche sur le deuxième canapé juste à côté.

T- Raconte moi tout, tu peux tout me dire tu sais ?

J- Oui je sais... mais ça me fait mal d'en parler...

T- Je peux te comprendre sur ces choses là, cette situation qui je pense est bien celle à laquelle je pense, je l'ai déjà vécu... et c'est pas agréable du tout.

J- Hm...

T- C'est la pute de service c'est ça.... elle t'as tej ?

Je fais signe de oui avec la tête, d'un air fatigué, timide.

Je commence à regarder Théo droit dans les yeux.

T- Qu'est-ce qui a, pourquoi tu me regarde comme ça ?! En plus t'es trop meugnon quand tu regardes comme ça, et de plus t'est en boxer avec un plaid pour te couvrir et puis des yeux grands ouverts comme un chat. Tu veux quoi mon reuf ? Me faire craquer mdr !

J- Je sais que on est des potes mais...

T- Mais quoi ?

J- C'est peut-être bizarre mais, tu peux rester dormir à côté de moi cette nuit ? J'ai pas envie de me retrouver seul... j'aime pas ça du tout et...

T- Y a pas de soucis Jo... je vois pas en quoi ce serait bizarre de faire ça, comme tu l'as dit on est des potes ouai. Et c'est pas parce que je dors avec toi dans un lit pour que tu te sente moins seul que c'est forcément bizarre. Bon c'est sûr que c'est pas très commun mais si ça te permet à toi de mieux te rétablir je suis là mon pote.

J- O... Ok... je te remercie énormément Théo, t'es un homme en or si tu savais...

Il m'accompagne  vers ma chambre et m'aide à m'installer dans le lit sans trop de difficulté.

Une fois que je me suis allongé, il enlève son haut et son pantalon, et fit de même, se posant à ma gauche.

L'orage commence à tomber d'un coup, laissant tomber des coup de tonnerre par ci par là irrégulièrement, ce qui me fait plutôt peur à vrai dire.

Soudainement, par le fait que je suis effrayé de la situation, je me blotti dans les bras de Théo. Malgréque je trouve cette situation très gênante, je me sent quand même plus en sécurité en étant collé à lui.

À suivre :