Chapitre 18

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Bonsoir tout le monde. J'ai été absente pendant une longue période et je m'en excuse. Trop longue même à mon goût. Je vais en même temps enchaîner avec une autre histoire. J'étais en mode lecture et cours et tout ça rt c'était stressant. Bref, juste pour annoncer les derniers chapitres. Désolée encore, bonne lecture et bonne nuit.

****

Trois jours que j'attends un signe de la police. Mais, toujours rien.

Je ferais tout pour sortir de cet enfer et si cela implique un meurtre, je n'hésiterai pas.

__ Pourquoi tu me regardes comme ça ?

Je lève les yeux au ciel en repoussant l'assiette devant moi.

__ Parce que je sais que tu l'as empoisonné.

__ Et pourquoi est-ce que je ferais ça sauf si je n'ai rien à faire ?

__ Je ne sais pas, devine.

Il soupire.

__ Emilio, range-moi ça ou mange-le. Mais, surtout ne le jette pas, j'ai horreur du gaspillage.

Emilio suit l'ordre de son patron en débarrassant.

__  Si jamais t'oses te plaindre de la faim pendant les trois prochains jours, je te ferai bouffer de la merde pour chien jusqu'à la fin de ta vie. Compris ?

__ J'ai. Pas. Faim.

__ Je ne t'oblige pas à manger ma nourriture. Si tu ne veux pas, c'est ton problème.

Non ! Calme-toi. Tu seras bientôt partie. Il n'empêche, cet homme est un bâtard.

Oui, je tiens à être encore capable de me tenir sur mes deux jambes quand la police viendra me chercher.

__ C'est ça.

Il sort de la pièce en colère comme d'habitude. Je cours vers mon lit où je soulève difficilement le matelas et en sors un paquet de biscuits.

Je les ai caché là au cas où, surtout parce que je n'ai pas envi de voir la tête de Lucas pendant que je mange.

Je mange les biscuits comme si ma vie en dépendait. J'avale aussi vite que je peux pour que ce démon ne me prenne pas sur le fait.

Je vais ensuite me coucher pour récupérer.
***

À mon réveil, j'entends des coups de feu. Je cligne plusieurs des yeux pour m'apercevoir que ce n'étais pas un rêve. Je me redresse à toute vitesse et me couche au sol pour ramper jusqu'à la salle de bain.

__ Alia ! Hurle quelqu'un de l'autre côté de la chambre.

Je ne savais pas à qui appartenait cette voix, je suis donc rester à ma place. Incapable de faire le moindre mouvement.

Soudain, la porte fut défoncée et je vois mon frère entré, accompagné de Lydia.

__ Noah ? Lydia ? Qu'est-ce que-

__ Pas le temps de t'expliquer.

Noah me soulève.

__ Vous- vous avez risqué vos vies pour moi.

__ Bien sûr que oui, t'es ma sœur quand même.

__ Heureuse que tu t'en souviennes encore, ajoute-je sans aucune émotion.

__ Et mon frère est complètement barge.

__ Ça, c'est- tellement vrai.

Un silence inconfortable s'installe entre nous, et Lydia en profite pour me donner une arme. Et alors que nous commençons à marcher Lydia dit :

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