Aura Vinci, une jeune fille âgé de 22 ans, qui participe tout les week-ends à des soirées casinos auprès de grands hommes fortunés.
Elle les amadouait pour avoir leurs argents et survivre face à la vie.
Mais savait elle que sa vie changera quand el...
Je suis assise sur l'un des sièges blanc du jet privé. Aaron est devant moi, uniquement une table remplie de bonne nourriture nous sépare.
Son pied touche mon genou ce qui me déconcentre, lorsque je sens son pied remonter, mes joues se mettent aussitôt à chauffer, je toussote et demande à l'hôtesse aéroportuaire qui passe de me ramener un verre d'eau.
Je me retourne vers l'italien celui-ci à un sourire scotché à son visage, je replace ma robe noir avec une fine bande en dentelle blanche à la fin, le haut est tout aussi remplis de dentelle blanche mais uniquement sur ma poitrine, les bretelles sont fines, je réajuste aussi mon petit gilet blanc.
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- Que venons-nous faire à Malte? Demandais-je pour me distraire.
- Aura, dis moi ce qu'il y a ce soir? Me demanda-t-il
Ce soir? Eh bien ce soir il y a... Halloween.
- Halloween.
- Bien, et que faisons nous durant cette fête?
- Les gens se déguisent. Dis-je toujours perplexe de ne pas comprendre où il veut en venir.
- Voilà ce que nous venons faire ici, nous avons une soirée ce soir chez un très bon ami à moi.
- Et pourquoi suis-je ici?
- Tu seras ma fausse petite amie. Dit-il dans le plus grand des calme.
Lorsqu'il prononce ces mots, l'avion atterri, tout le monde se lève alors que moi je reste assise en réécoutant ces mots dans ma tête.
J'allais être la fausse petite amie d'un mafieux.
Cela me réjouit, j'allais pouvoir en profiter pour taquiner l'italien. J'avais hâte de découvrir mon déguisement.
Je me lève finalement, une ferrari 488 pista noir se trouve devant le jet privé, elle était sublime.
Lorsque Aaron s'approche de la porte, côté conducteur je l'arrête en disant:
- Puis-je conduire?
Il s'arrête un moment tout en me fixant, il se lèche la lèvre inférieure avant de me lancer les clés et de partir côté passagers en m'avertissant:
- Tu la casses, c'est toi que je démonterais.
Je souris, heureuse de conduire cette voiture. Je m'installe donc derrière le volant, les sièges sont si doux et confortables.
Je prends le volant dans mes mains, j'appuie sur la pédale de frein et mets le levier de vitesse sur la position D, allume le moteur et relâche doucement la pedale de frein. Nous roulons tranquillement, tellement tranquillement qu'Aaron n'arrête pas de me dire d'aller plus vite.
