une odeur de café me reveilla le matin. je regardais sur l'orloge de chevet. il était huit heure. ma tete me faisait super mal et j'avais les yeux qui s'y mettaient eux aussi. je sortais de la chambre en m'étirant. on peut dire que je me croyais vraiment chez moi. Le regard amusé de Josh me le rappela et je me rendis compte qu'il était déja habillé.s'il avait remarqué mes yeux gonflés il n'en fit aucun commentarire. en meme temps c'était un peu difficile de ne pas les remarquer. j'avais vraiment une sale tete. il m'informa qu'il devait s'en aller pour rencontrer son mentor pour discutter de sa thèse. il me lança les clés en sortant. je devais les laisser à sa voisine en bas en m'en allant tout à l'heure.
pour quelqu'un qui ne me connaissait que depuis peu il était très à l'aise. il était soit trop insouciant soit il devait croire que je me mettrais avec lui. je ne voulais pas me poser la question pour le moment. il était charmant et très gentil mais je n'arrivais pas à me projeter ou à penser à autre chose avec lui. je devais avoir une discution avec lui à ce propos. ceci me rappela qu'aujourd'hui je devais voir mes parents ma soeur et Lysandre pour parler. je m'en réjouis d'avance, quelle joie!
je pris mon temps et allait directement chez mes parents. lorsque je sonnais à la porte ma mère ouvrit la porte. j'avais mis mes lunettes pour cacher un peu mes cernes mais elle n'était pas dupe. elle me prit directement dans ses bras. elle était inquiète j'avais rallumé mon téléphone peu avant de partir de chez Josh. j'avais plus de trente appels en absence dont cinq de mes parents. je m'en voulut tout à coup. j'avais du les inquieter.
- où étais tu passée? Lysandre nous a appelé hier. il nous a raconté ce qui s'est passé
- je ne veux pas en parler maman, tu ne me fais pas entrer?
- oh si, bien sur ma cherie. mais tu sais il faudra bien que tu le fasse tot ou tard. il est déjà là. il discute avec ton père.
- allons y. Jenny est là?
- non , elle a décidé qu'elle ne vivrait pas ici. elle est à l'hotel en attendant de trouver un appartement à elle.
- elle compte vraiment s'installer ici alors?
- elle a fini avec l'université. elle m'a dit qu'elle essayerait de se faire prendre dans un cabinet d'avocat ici
- j'espere qu'elle sait ce qu'elle fait.
- je l'espère aussi
nous nous dirigions vers le salon lorsqu'on sonna de nouveau à la porte
- va y, ma puce. je vais ouvrir.
j'entrais dans le salon et mon père me prit immédiatement dans ses bras.
- tu m'as fait peur! ne me refais plus jamais ça
- je suis désolée papa.
- c'est fini. mais préviens nous la prochaine fois. je commence à penser que ta mère avait raison. je n'aurais pas du accepter que tu quitte la maison.
- ne commençe pas papa.
- c'est bon, je ne dis rien. viens t'assoir
tout au long de cet accolade avec mon père, Lysandre était resté en retrait. il ne me regardait pas dans les yeux mais je pouvais sentir son regard peser sur mes épaules. très reconfortant. je me retournais et il essaya de venir vers moi, mais à ce moment précis uen barbie en tailleur belge se pointa et me regarda intesnsément avant de lancer avec sarcasme
- tu as encore plus mauvaise mine qu'hier. tu pourrais essayer d'etre présentable si tu veux te présenter devant des gens.
- Jenny, tu vas arreter d'embeter ta soeur?
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la route du lac
Fantasyaussi longtemps que je me souvienne j'ai toujours été passionnée d'histoires qui font peur . vous savez les comptes pour faire peur aux enfants, ces histoires ont véhiculé mon enfances, l'ont nourri . j'ai grandi en croyant dur comme faire qu'elles...