Chapitre 16

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Nous sommes arrivés rapidement dans la salle des employés, je lui dis qu'elle peut s'installer et je me dirige vers le frigo pour lui donner une bouteille d'eau. Je lui demande son âge ainsi qu'un numéro pour joindre ses proches pour qu'ils viennent la chercher. Elle panique un peu en disant que cela ne sert à rien car ses parents s'intéresse pas à elle et j'en passe des meilleures. La petite à treize ans et elle m'avoue qu'elle s'est disputée avec son copain mais que personne la soutenu. Elle commence à pleuré et je lui tends un mouchoir, je lui dis qu'elle ne doit pas pleurer car il ne la mérite pas mais elle me cri dessus en disant.

- Mais vous pouvez parler ! Vous êtes un robot et vous vous venez de vous mariez en plus !

Je rigole en disant qu'elle a vu avec qui, je me suis mariée, je lui dis qu'on a tous nos défauts comme mon mari qui a deux personnalités mais que j'aime ces défauts et puis je lui demande.

- Ton ex, aimait-il tes défauts ? Est-ce que comme mon mari, il te disait que ces défauts fessaient ta personne ou est-ce qu'il se moquait de toi ?

Je pense que ces simples mots l'ont fait réfléchir puis elle m'a avoué qu'il se moquait souvent d'elle et qu'elle se dispute souvent avec ses parents à cause de lui. Je lui caresse doucement la tête en disant si elle veut bien que je laisse un message à ses parents. Elle hoche la tête et elle me donne un numéro de téléphone auquel j'envoie un message, leur informant que leur fille est dans un état assez maussade car elle vient de quitter son copain. Un animatronique essaye de calmer et de l'aider pour qu'elle puisse aller mieux. Je leur propose de demander à aller dans la salle de pause des employer pour venir la chercher.

Je me reconcentre sur la jeune fille en lui demandant si elle veut faire quelque chose en particulier mais je lui interdis de se morfondre. Elle rigole un peu, puis je lui propose de faire des masques fruits et ma proposition semble la surprendre mais elle accepte. Je lui demande d'attendre quelques minutes, pour que j'aille chercher ma boite où j'expose mes masques. Je reviens vite pour voir qu'elle avait mit ses jambes près de sa poitrine et je la salue rapidement en disant que j'ai trouvé ce que je cherche.

Je lui ai fait un masque et alors qu'elle me parlait, je lui fais les ongles des mains. Après que je lui ai attaché les cheveux et posé le masque sur son visage, elle s'est ouverte à moi. Je l'écoute en lui donnant des informations sur moi aussi mais je passe plus de temps à l'écouter. Elle semble un peu plus à l'aise et quand on toque à la porte, je dis "entrer" car je suis occupée avec ses ongles. Je souffle un peu sur les ongles tandis que la porte s'ouvre sur les parents qui arrivent en panique.

Je me lève tandis qu'elle salue ses parents en rigolant et ceux-ci semblent surpris de la voir heureuse. Ils se regardent puis s'approchent de leur fille, elle leur explique qu'elle se sent un peu mieux depuis qu'elle est avec moi et ses parents se lève pour me remercier. Ils me prennent dans leurs bras et me remercie de leur avoir rendu leur fille. Je leur dis que c'est normal de prendre soin des enfants et leur fille demande à rester un peu plus longtemps avec moi mais ces parents lui disent que je dois surement être occuper. Elle semble un peu triste mais accepte quand même, je les guide vers la sortie en leur souhaitant une bonne fin de journée.

C'était amusant de la voir retiré le masque avant de sortir car si je lui avais pas dit, je pense qu'elle l'aurait oublié sur son visage.

Une fois cette situation régler, je me suis dirigée vers la garderie, même s'il est l'heure de la sieste, je voulais voir comment se débrouille Moon depuis l'ouverture. Je connaissais les rumeurs alors je suis un peu curieuse à vrai dire. A peine, j'ouvre la porte en bois que je vois des petits corps dormir sur le sol au vu des respirations que je peux voir de loin, j'entre discrètement mais je suis vite arrêtée par Moon qui descends du plafond. Je l'entends ricaner puis il me demande ce que je fais la mariée dans la garderie et pour le taquiner un peu, je reste de dos en ricanant.

Renter à la maison...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant