Elvira Pérez

Chapitre 28 : Cauchemar

Hello mes piovra 🐙

⚠️⚠️🔞🔞⚠️Aujourd'hui nouveau chapitre.... Ce chapitre contient des scènes pouvant heurter la sensibilité de certaines personnes ⚠️⚠️⚠️🔞🔞

Ce chapitre a été assez compliqué à écrire pour moi.

Il est assez important pour la suite⚠️

J'espère qu'il va vous plaire. Petit conseil, sortez les mouchoirs....

Je vous laisse avec la suite💓

Bonne lecture 📖

Kiss- Sergueï 🐙

"L'histoire est un cauchemar dont je cherche à m'éveiller."

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 Samaël / César.

Instantanément, le quarantenaire se fige devant nous.

Il est surpris, il ne s'attendait pas à un tel piège.

Mais c'est finit pour lui.

Quand ses yeux marron croisent les miens, il ne fait rien.

Quand il croise les yeux de Luís, il ne fait rien.

Mais quand il croise les yeux de Valentino, il se décompose.

Monsieur a compris, et il ne peut plus nous échapper.

Près de lui, trois hommes commencent à charger leur glock en notre direction, et cela sera une grande erreur de leur part. D'un signe de main, mon sniper me comprend, et touche la main de l'un d'entre eux.

Son arme est dégainée et lui hurle de douleur pissant le sang.

- Baissez vos armes, ordonnais-je froidement.

- Vous d'abord.

Il est con ou quoi.

- Dernier avertissement Orlondo, baisse ton arme.

Un sourire narquois s'affiche sur ses lèvres, s'il croit que c'est malin de sa part, c'est faux. Je sais qu'Elvira attend mon signal, sa loupe doit à cet instant même, viser l'un d'entre eux.

- Sinon quoi ?

Sinon ça.

J'ai levé la main, et en une fraction de seconde, la tête d'un de ses hommes a explosé, son corps s'est effondré au sol, sous les regards surpris des autres.

- Laisse-moi deviner, c'est elle hein ?

Comment il sait ?

- J'étais sûr qu'elle finirait comme lui.

- Baissez vos armes hijo de puta !

Cette fois, c'est Valentino qui commence à perdre patience.

Nos glock 19 sont tous levés en direction de ces trois cabrón, et ce n'est qu'une question de temps, avant qu'Elvira tire de nouveau.

Et elle ne rate jamais sa cible.

- Vous avez trahi notre accord, vous êtes des traîtres, répond le vieux mexicain en directions des japonais.