Elvira Pérez

Chapitre 53 : Hadès et Perséphone

Ça vous dit un petit arbre généalogique de la famille Perez.... 😏

'' La haine donne une raison de vivre''.

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Gabriella Perez.

C'est quoi encore cette histoire.

Même si mon visage est couvert de sang, et que je peine à parler, elle comprend que je ne vois absolument pas de qui elle est.

J'ai même pas envie de le savoir d'ailleurs.

- Tout ça, c'est la faute de ta mère. Si elle n'avait pas fait le caprice que ton père vienne en Colombie, on aurait tous pu grandir ici, au Mexique. Comme une grande famille.

S'en était assez. D'où cette pétasse se permet de parler de cette façon de ma mère. Qu'est-ce que j'en ai à foutre qu'elle soit une Perez.

Personne ne parle de ma mère.

- Je suis la fille de Rosalia et Mario. Ma mère était la fille de Valentina Perez, la sœur de ton abuela Christina.

Mario et Rosalia.

Papa m'avait vaguement parlé d'eux, quand j'étais petite. On ne les a jamais connus, Valentina en a toujours voulu à sa sœur d'avoir rejoint ses fils en Colombie et de l'avoir laissé. Ce qui était égoïste de sa part, en vue qu'elle avait encore son mari et des enfants non mariée.

Mais pour l'instant, si je comprends bien, cette pouffiasse devant moi, et donc ma.... Cousine ?

Hors de question.

Je ne pouvais pas l'accepter.

- On aurait pu devenir de meilleures amies. Les meilleures cousines du monde. Alessandro et Alejandro auraient pu être mes cousins préférés. Peut-être que j'aurais couché avec Alessandro, seulement parce que ce type était mouillant comme une falaise, mais ça aurait été parfait. Jamais tout ceci ne serait arrivé, si ta mère n'aurait pas fait le caprice de forcer ton père à venir dans ce merdeux de pays, la Colombie.

Que son âme, et tout le reste de son corps soit brûlé en enfer.

Comment osait-elle tenir un discours pareil. Parler de mes parents de cette façon était une grande erreur.

Mon envie de lui arracher la tête s'envahit dans mes organes, déjà assoiffer de meurtre.

Vouloir coucher avec son propre cousin, mais quelle folle attarder ce trouve devant moi. Si c'est la petite fille de Valentina Perez. Le pouvoir, la célébrité. Si elle avait la moindre empathie, elle ne penserait pas ce qu'elle vient de dire. Or, elle me semble tout à fait satisfaite de ses paroles.

Je vais brûler ton cœur, idiote.

- Moi aussi je fais partie d'un cartel. Moi aussi je tue des gens Elvira- Alba. Tu n'es pas la seule à savoir faire tout cela. Je sais magné le sabre comme une véritable professionnelle. Regarde un peu ça....

Elle bascule la tête en arrière. Je ne l'avais pas encore aperçue, faut dire que mon état me paralyse de pas mal de chose, mais maintenant je le vois bien.

Exactement, comme les Perez de Medellín.

Tout ceci, est une finalement une histoire de famille.