Chapitre 3 : Amitié

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'' Des liens forts''




- Elvira, on va préparer le gâteau de ton frère, vient ma chérie !

Partant de ma partie de marelle avec Ivanna et Alvina, je précipite vers ma maison ou ma mère m'attend sur le porche.

Aujourd'hui c'est l'anniversaire de mon grand- frère, j'ai dit à maman que je voulais l'aider à préparer son gâteau préféré, la tarte au citron.

- Maman, je pourrais aussi lui mettre les bougies ?

- Bien sûr mon enfants, répond ma mère en caressant ma chevelure identique à la sienne.

Mais en entrant dans la maison, ce fut le noir complet....

- Maman ?

Tournant sur moi-même je ne voyais plus rien.

Plus j'entendis des cris.

- Elvira vas t'en !!!!!

L'ordre de ma mère ce compléta avec une forte lumière.

Tout d'un coup, tout était blanc autour de moi. J'étais comme dans une pièce où il n'y avait que des murs blancs, mais aussi...

- Mi nina, c'est ton tour

Le cauchemar du passé...

- Tu m'appartiens aussi, alors tu vas les rejoindre.

Il ricana, essuyant sa grande lame pleine de sang sur son costume également blanc.

Il venait de tous les tuer, en terminant par ma mère.

- Pourquoi tu as tué ma famille! Hurlais-je.

Il continua de ricaner, en s'approchant de moi, je me précipitais à fuir hurlant de toute mes forces par la peur qui pris droit de tout mon corps.

- Au secours !!

Il attrapa mon poignet me laissant hurler de désespoir.

- Elvira ! Réveilles-toi !

Reprenant mon souffle, le visage d'Ivanna apparu devant moi.

Le corps coller de sueur, je prenais conscience que ce n'était qu'un rêve auquel j'avais encore disjoncter.

- Elvira, ça va aller ce n'était qu'un rêve, espère me rassurer mon ami.

Ce n'était qu'un rêve.

- Est-ce que tout vas bien par ici ?

La voix douce de mon oncle siffla dans mes oreilles, durant que mon regard ce perdu dans le vide.

Ce n'était qu'un rêve.

- Elvira, calme-toi, les cauchemars sont douloureux, mais ne les laissent pas te hanter, mi sobrina.

Il hésita un instant, mais finit par me relever le visage afin de croiser le sien.

- Ce n'est pas facile, j'en suis conscient, mais ne résiste pas, laisse ton humanité prendre le dessus.

Certainement pas.

- Je vais aller prendre une douche, dis-je pour fuir au plus vite de ses regards inquiets et peiné.

Elvira PérezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant