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Le soleil se couche sur la capital tandis que la brune elle se réveiller doucement. Ses draps étaient vides à ses côtés, mais elle ne se sentait pas seule. Le vide qui lui manquait ce boucher petit à petit et quand elle remarqua sa silhouette dans l'encadrement de la porte elle ne pu s'empêcher de sourire intérieurement. Théo était là, des sachets de viennoiseries en main et un large sourire au visage. Le chant des oiseaux a l'extérieur et la lueur oranger des rayons du soleil tapant sur le jeune basané rendait la scène encore plus belle. Elle se leva et avança vers lui d'un pas rassurée, elle voulait le toucher, sentir sa peau chaude contre la sienne, sentir son odeur de plus près. Elle aimait ça, cette vision, cette sensation qu'elle n'avait pas eu depuis des années maintenant. Elle leva les yeux vers lui en espérant croiser les siens, et quand ce fut le cas une sensation étrange la parcouru, une sensation qu'elle ressentit jusque dans ses tripes et elle aimait ça. Il admira ses lèvres puis ses yeux et laissa tomber les sacs sur le sol avant de l'embrasser et de la soulever du sol. Il s'approcha du lit dans un élan de fougue s'asseye dessus et retira le débardeur de la brune, elle se trouvait dénudée, la poitrine en évidence et montrant l'excitation qu'elle ressentait. Il ce mordit les lèvres avant de poser une main sur l'un de ses seins et de l'embrasse dans le creux de son cou.
Mais avant de continuer, un bruit assourdissant ce fit entendre et Julie se réveilla en sursaut.




8h23, Paris.
Julie.

Mes yeux se posèrent sur mon réveil matin et je ne pu m'empêcher de sortir un juron d'entre mes dents. Encore et toujours le même rêve et encore et toujours là même raison de mon réveille en sursaut. « La prochaine fois j'te débranche! » me dis-je intérieurement en maudissant ce foutu radio réveil. Je m'assoie sur mon matelas qui était à meme le sol malgré les cartons du tour de lit et du sommier qui était juste à coter. Je n'avais rien monter par flemme, et surtout que personnes ne pouvait m'aider à faire cette tâche ingrate. Lock étant retourner à Malte et Lucas étant en tournage depuis deux jours, je n'avais personne. En soi on est jamais mieux servis que par soi-même mais la flemmardise était bien plus grande que mon courage. Je regarde le plafond en quête de motivation quand des bruits retentisse à ma fenêtre. Comme des ricochets, un bruit qui me fit sursauter. Je me lève et ouvre la dite fenêtre quand un petit caillou frôla ma tête. En regardant en bas, avec un regard bien énerver, j'aperçois la chevelure dreadlocker de mon meilleur ami. Un sourire se dessina sur mes lèvres assécher.


-Tu fout quoi ici?
-Je viens voir ta tête de mioche là!
-Vas-y, cause toujours!
-Hé Manu, tu descends!? Me dit le brun avec un accent sortit tout droit des cités parisiennes.
-Hé pourquoi faire?
-Bah j'sais pas vas-y viens descend. Dit-il en me regardant un œil fermer dû au soleil.
-Vas-y monte toi!
-Vas-y la miss au cheveux supra lisse j'arrive!

Je ris et ferme la fenêtre avant de courir en direction de la porte d'entrée. Cela faisait des semaines que l'on ne s'était pas revu, je dirais même des mois. Il caresse ma chevelure tout en resserrant mon corps fin contre le sien. Et un souvenir refait surface à ce moment là. Un soir pas longtemps après le décès de ma mère, je me suis retrouver seule sur Paris. Quand j'avais disparu une première fois je m'étais réfugier quelques temps sur la capitale et j'étais seule. D'ailleurs, c'est ce que je voulais : être seule et loin de tout le monde.
Et si une personne l'avais bien compris, c'était Theodort. Il était le seul à ne m'avoir envoyer aucun message jusqu'à ce soir là.


Dodor d'Hossegor: Salut mademoiselle! J'ai ouïe dire que tu étais sur Paris. Je me suis dis que ce serait cool de ce capter! Si tu veux je suis sur les quais de Seine tout seul.
Julie : Hey! Pas de soucis, j'y suis aussi.



Je n'eut pas le temps de répondre que des mains m'attrapèrent les épaules et me secouèrent de tout les sens. Je ne pu m'empêcher de rire, il ne changera jamais. En tout cas j'espérais qu'il ne change jamais. Et ce soir, assis sur un banc avec lui, nous parlions de tout et de rien mais aucunement des problèmes qui m'entourer. Et c'est là que j'ai su que Theodort était mon meilleur ami.
Mais aujourd'hui notre amitié allez ce confirmer.
Nous rions de tout et de rien comme à notre habitude quand Théodore me regarde déstabiliser.



-Julie, rit-il faiblement, tu saigne du nez.
-Oh merde! Roh la galère! Riais-je en relevant la tête.


Ma tête commença à tourner pendant que mon ami lui couru jusqu'au toilette récupérer du papier, mes paupières devenaient lourdes. Theodort arriva peut être pile au moment où il le fallait. Ma vue devint flou j'essaya de me lever et black out. Le dernier visage que je vue avant de tomber était celui de Théo ainsi que des bruits de vagues et de mouettes.
A mon réveil, il faisait nuit et je n'étais plus dans l'appartement que j'occupais quelques heures plus tôt. J'étais brancher de partout et une infirmière était dos à moi.
J'essaie de me relever mais je n'avais aucune force ce que l'infirmière du remarquer vue qu'elle ce retourna vers moi.

-Mademoiselle il faut vous reposer, ne forçait pas. Dit-elle en m'attrapant le bras.
-Pourquoi je suis ici?


L'infirmière décide de tout m'expliquer enfin plutôt tout ce que Theodort et les pompiers lui on expliquer, jusqu'aux examens qu'ils ont fait. Les résultats n'étant pas encore arriver il est préférable de me garder en observation.
Je regarde la jeune blonde dans les yeux et je ne saurais l'expliquer mais je savais que quelques choses dans leur soupçons n'était pas bon.

Energie Sombre #2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant