Energie Sombre #2

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A ce moment précis je ne savais pas ce que l'avenir aller me réserver. Je ne pensais pas devoir rester encore quelques jours en observation. Mon corps ne voulant plus manger quoi que ce soit j'ai du être brancher, je devenais faible et je maigrissais encore à vue d'œil. Je ne me reconnaissais plus, je pleurais la plus part du temps. En faite je dirais même tout le temps. Au bout de deux semaines on me dit que l'on doit me faire plus d'examens mais que pour l'instant je peut rentrer chez moi. Je prépare mes sacs pour ma sortie quand la porte de ma chambre s'ouvre derrière moi. Je soupçonne une énième infirmière de venir me demander une photo avec Theodort étant donner qu'il m'a rendu plus de visite que n'importe qui faisant partie de ma famille. Je souffle et ferme ma petite valise avant de me tourner.

-Mademoiselle Durand, je..
-Écoutez, c'était très gentille d'avoir était au petit soin avec moi durant tout ce temps mais Theodort n'est pas là et je ne voudrais pas le déranger juste pour des photos.
-Julie.

Je me retourne et croise des yeux bruns, des yeux que je connaissais par coeur. Ses taches de rousseurs, son nez et son sourire, tout m'appelait à lui mais ce qui me surpris le plus, c'est de voir que c'est lui qui venu jusqu'à moi. Il serra ses bras autour de moi si timidement comme si il avait peur de me casser en morceaux. Une odeur boisé entra dans mes narines, je reconnu le parfum « La nuit de l'homme » de chez Dior. J'adorais ce parfum sur lui car il lui aller parfaitement. Après ces retrouvailles, il prend une photo avec l'infirmière car bien sûr, elle ne pouvait pas passer a coter d'une photo avec le célèbre youtubeur dis Mastu. Mais que voulais vous? Sans ses abonnés, Théo n'aurait peut être pas était aussi loin dans son aventure YouTube.
Je rends le téléphone à l'infirmière qui après l'avoir pris enlace Théo une dernière fois et part.
En les regardant un sentiment étrange fit surface, j'ai penser un court instant qu'il sera sûrement mieux sans moi. Il a une joie de vivre qui tape au visage et un coeur immense. Je ne le mérite et en vérité personne ne le mérite, le monde lui même ne mérite pas d'un garçon aussi parfait.
Je me trouve indigne de lui et pourtant il est là malgré tout ce que j'ai fais, tout ce que je lui est fais vivre il est encore présent à mes côtés.
Peut être finalement que ce qu'il m'arrive a eu un déclic sur moi. Peut être que c'est le message pour me dire de vivre cette aventure avec lui. Et que j'aurais dû la vivre depuis le début avec lui. Mais le passé est écrit et rien ne peut changer les erreurs que j'ai commises.
Théo attrape mes valises et me souris l'air de rien, comme si je ne lui avait jamais briser le coeur.

-On y va? Me dit-il avec toujours ce même sourire.
-Oui, rentrons. Souriais-je à mon tour.

Il me laisse passer en première sûrement pour que je lui ouvre la porte de blanche de la chambre et nous sortons ensemble.
Le couloir était long et blanc, comme dans tout les hôpitaux parisien je pense. Une odeur comme on les connaît, une odeur médicale même si je ne pourrais pas nommer le produit.
Quand j'aperçois la porte de sortie la cadence de mes pas s'accélère bien trop presser de sentir le soleil sur ma peau et le vent soufflant sur mon visage. Les portes automatique s'ouvrirent devant moi et me voilà enfin dehors, je marque un temps d'arrêt et lève la tête au ciel en fermant les yeux.
L'odeur de l'herbe couper me chatouiller les narines et le vent souffler sur mon visage faisant voler mes cheveux, il faisait frais et beau.
Une main ce pose sur mon épaule droite, je regarde d'une part la main qui était immense comparer à ma petite épaule et je lève la tête vers Théo. J'avais oublier à quel point il était grand.
Il regardait devant lui avec toujours en main l'une de mes valises. Il ferme les yeux et respire un coup, je le regardais faire. Je pourrais même dire que je l'admirais. Je voyais Théo d'un autre œil, peut-être que je devenais folle ou peut-être que je redevenais petit à petit moi-même.
Il ouvrit les yeux et tourna sa tête vers la mienne. Il fixa mes yeux puis fixa mes lèvres un instant avant de m'embrasser sur le frond.

-Rentrons à la maison.