Creepypastas: analyse et fanfiction

Chapitre 16: Compte-rendu de la première CreepyGuerre

Bonjour mes p'tits sucres! Enfin un nouveau chapitre (qui sera en deux parties)! Lisez le message de fin s'il-vous-plaît-merci!

PDV Alice:

Ça va faire cinq jours que le Marionnettiste nous a attaqués.
Et il s'en ai passé des choses, en cinq jours...

Les Creepypastas sont rentrées victorieuses après trois heures à combattre sans discontinuer. Le Marionnettiste s'était révélé être un adversaire de taille qui, en plus, n'est même pas vraiment mis hors d'êtat de nuire. Jeff m'a raconté que le corps était tombé en morceaux sous leurs yeux, se révèlant n'être que le cadavre décrépit d'un jeune de 19 ans qui avait visiblement été contrôlé par le Marionnettiste.
Destiny a annoncée qu'elle resterais ici pendant un moment, on a encore plus de problème de chambre maintenant mais, en attendant, je reste dans la chambre de Sally et elle, dors dans celle de Jane.
C'est une fille relativement sympa même si j'ai un peu de mal à établir le contacte avec elle à cause de Lys qui ne fait que l'envoyer bouler (selon elle, la différence entre un ange et un pigeon n'est pas très marquée).
Elle peut être très gonflante quand elle veut (je parle de Lys)...
Smile a une patte cassée et Destiny s'est froissée une aile, l'obligeant à les garder sorties jusqu'à ce qu'elle soit guérie ce qui est assez encombrant.
EJ est cloué au lit à cause de la manipulation qu'il a subie et qui lui a draînée toute son énergie, il ne peux donc pas soigner les blessés et on a dû faire avec les moyens du bord (Scotch et agrafes. Je rigole...).
LJ est lui aussi cloîtré dans sa chambre à cause du contre-coup de sa guérison accélérée, ce qui le déprime profondément.
Je vais souvent les voir pour leur tenir compagnie (je sers pas à grand-chose donc...). Lys a un véritable don pour faire rire EJ, ce qui est plutôt bizarre vu qu'elle ne le fait pas du tout exprès.
Les visites chez EJ se terminent donc souvent par un claquement de porte rageur.
Mais on revient à chaque fois. Heureusement les proxys arrivent souvent pour prendre la relève à ce moment là donc ça va.
On rend aussi visite à LJ (j'ai réussis à en obtenir le droit après avoir promis à Lys de ne rien tenter avec lui... Genre je vais faire quelque chose. J'suis pas un animal!).
Il est souvent en compagnie de Sally et parfois de Jeff quand je viens, heureusement parce que sinon, il serait encore plus déprimé.
Je pensais pas que Jeff aimait de faire martyriser mentalement par les remarques acerbes d'un clown frustré mais bon, il le supporte assez bien (et même si il repart souvent en insultant la Terre entière, il revient toujours)...
En fait, LJ a vraiment une tête de mort vivant, grosses cernes, un teint frôlant le gris et un visage amaigrit.
En même temps, Slendy lui a demandé de ne plus manger trop de sucre en attendant que ses organes internes guérissent et cicatrisent un peu mieux (quand le tortionnaire se retrouve torturé...).
Et moi, ben je reste au manoir toute la journée. Je n'ai pas voulu mettre un pied dehorq après ce qu'il c'est passé lors de ma première sortie et l'idée de re-tuer quelqu'un me met l'estomac à l'envers... Pourtant, il va bien falloir que je m'y fasse parce que je vais pas passer mes journée à ne rien faire pour le maintient du manoir. Sachant que je refuse de sortir, que tout ce que j'ai déja préparé se résumait à des oeufs aux plats tellement carbonisés que j'ai du les manger à même la poêle en décollant petit bout par petit bout et que la population de vase et de mobilier précieux tremble devant les mouvement incontrôlés de mes coudes quand je nettoie le sol, les possibilités sont plutôt réstreintes.
Voir quasi nulle.

Alors, pour me donner l'illusion que je sers à quelque chose, je vais m'occuper des deux Jacks tous les jours. Heureusement, ils sont capables de se laver seuls parce que sinon... Ouh, je veux même pas y penser.

Je jette un coup d'oeil à l'horloge du salon et décolle du fauteuil où je m'étais lovée, un livre dans les mains, pour me diriger vers la chambre d'EJ.

Je frappais contre la porte de bois verte avant de rentrer dans sa chambre.
Cette dernière était recouverte d'un papier peint bleu et éclairée par une simple fenêtre dont les rideaux gris clair laissait filtrer une grande partie du soleil. Rien ne traînait par terre, toutes ses affaires étant rangées dans les commodes et étagères peintes en gris fonçé placées un peu partout dans la pièce. Un lit deux places en fer noir recouvert par une couverture verte trônait contre le mur de gauche dans lequel Jack était étendu, un livre à la main alors que son masque était posé sur la table de chevet à ses côtés.
Il leva la tête vers moi et me décocha un sourire plein de dents avant de refermer son livre.