29 août 2015
On est de retour sur Toulouse, ce qu'il s'est passé ce soir la j'ai décidée de ne pas en parler et j'essaye tant bien que mal de l'oubliée, pour l'instant je n'ai pas l'impression que ça m'es réellement traumatisée, je ne fais pas de cauchemars, je ne me sens pas sale, et j'espère que ça va durer. Après cet épisode la, Jey est très présent pour moi et me demande tout les jours si ça va, mais aussi étrange que cela puisse paraître, je vais bien. Je lui ai juste demander de garder ça pour lui. Je veux en parler a personne.
Je pars faire un tour chez ma mère pour voir si elle va bien, dans quelques jours Youness vient en France pour une semaines ou deux. On a décidée de se faire un week-end en Espagne.
5 septembre 2015
09h44
Je rentre d'Espagne, l'appart est crade et Jey n'est pas la, il est au stud' comme d'habitude, je lui envoie un message pour lui dire que je suis rentrée.
Ce week-end m'a fait du bien, de me retrouvée avec mon bras droit, au soleil, et on a ramener de la bonne qualité, je me pose dans mon lit et commence a roulée.
12h03
Jey rentre ce soir, j'ai le temps de faire le ménage et de faire a manger, mais avant je veux préparée un petit cadeau pour lui, je vais vers mon armoire ou j'ai cacher le coquillage, j'écris au feutre noire indélébile « + Kayla », c'est un peu kitsch mais mignon.
19h58
Il rentre, de bonne humeur, en me voyant il se précipite pour me prendre dans ses bras.
-Tu m'as manqué.
-C'est pas réciproque.
Il m'embrasse langoureusement.
-J'sais pas si ta remarquer mais c'est nickel !
-Si, j'ai vu, tu gère ma gueule.
Il s'affale sur le canapé et allume la play.
-On vas manger la, j'tai préparée une surprise aussi.
-Dans le lit ?
-Aller viens manger la. Je souffle.
On entame le repas, il me raconte tout excité le projet qu'il sort dans dix jours avec Farès.
Je lui raconte a mon tour mon week-end.
-Bon aller, je peut pas attendre, je sors vite de la pièce pour rejoindre la chambre ou j'avais ranger le coquillage, je le cache derrière mon dos et me rapproche derrière lui.
-Ferme les yeux.
-Et mai-
-Et ta bouche au passage. Je le coupe.
Je pause le coquillage devant ses yeux.
-Tu peut ouvrir.
Il fausse les sourcils, agréablement surpris j'espère.
-Mais tu l'as acheter ma gueule !
-Et oui !
-Ça tue, il m'embrasse sur la joue puis se lève pour le posé sur l'étagère de la bibliothèque.
Je vais sur le balcon fumer une cigarette, pendant qu'il range la cuisine.
En rentrant il lance de la musique.
-Du jazz ?
-Oui je sais que t'aime bien. Il éteint la lumière, seul les lampadaires de la rue traverse l'appartement pour nous éclairer.