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Dialika
Je suis rentrée chez moi depuis longtemps maintenant di khaar sama ngoor ci (j'attends mon homme) qui est sous la douche pour manger et peut être plus tard faire une 4éme ou 5éme round j'ai arrêté de compter au deuxième round. En effet j'ai rencontré Elhadj à la maison de ma tante quand je m'apprêtais à rentrer il s'est proposé de me déposer mais ce n'est pas exactement ce qui s'est passé. Dès que mes fesses ont touché le siège auto de la voiture il à commencer à m'embrasser, heureusement que la voiture était garée un peu loin de la maison sinon ma cousine nous aurai vu. Il a pris ma main pour la poser sur son érection et me dis :
Lui : look at the effect you have on me (regarde l'effet que tu me fais)
Moi : c'est l'effet que je fais à tout le monde.
Il me regarde profondément puis me dis ou m'ordonne plutôt :

Lui : Attache ta ceinture.
J'obéis, mais lui ne bouge pas pendant quelques secondes avant de démarrer en trombe. A peine deux minutes plutard il se gare dans un parking souterrain vide, dans un coin à l'abri des regards
Moi : Tu ne me raccompagne pas ? Ou est ce qu'on est ?
Il ne me répond pas. Puis il se relève et, vivement, prend chacun de mes poignets dans ses deux mains. Il se penche au-dessus de moi et glisse mes bras dans le foulard de soie que j'avais posé sur moi à cause du soleil. En un geste, il le passe devant mes bras et derrière mon dos. J'ai à peine eu le temps de broncher ou de m'en rendre compte qu'il m'a attachée solidement et je suis incapable de faire un geste de mon corps ou de mes bras. Complètement immobilisée contre la banquette arrière. Mon cœur s'emballe, je frissonne mais ce n'est pas de peur... Je tente un mouvement vers la droite, impossible. Elhadj prend son temps, il me regarde calmement mais son regard a changé. Je ne sais pas ce qu'il attend de moi mais j'ai hâte de le découvrir là au milieu de nul part avec le seul homme qui sait comment faire monter mon désir... Ses mains s'avancent vers moi, lentement, méthodiquement, il déboutonne mon chemisier en commençant par le haut. Je sens ses doigts faire glisser à chaque fois le bouton à travers la boutonnière. Le tissu tire sur ma peau et mon chemisier laisse passer petit à petit un peu plus d'air. Ma peau frissonne. Je sens ma poitrine se gonfler et mes seins prendre plus de place dans mon soutien-gorge. Le visage d'Elhadj est à vingt centimètres du mien. Ses cheveux noirs exhalent un parfum enivrant. Son regard est fixé au mien. La corde la plus solide est celle qui me relie à ses yeux. Plus bas, ses pommettes saillantes et enfin ses lèvres, entrouvertes... Je veux les croquer ! J'avance mon visage, j'avance ma bouche, je lutte avec le foulard mais je suis sans pouvoir. Il arrive au dernier bouton et dégage les pans de ma chemise. Puis, sans encore me toucher, il approche son visage de mon ventre. Il sort sa langue et, doucement, la passe sur mon nombril. Je sens la douce chaleur moite et chatouilleuse. Des frissons me parcourent le corps depuis mon nombril. Puis il monte, doucement, me léchant le long de mon buste, vers ma poitrine. Arrivé entre mes seins, il s'arrête. Ma respiration est profonde, chaque centimètre de ma peau est en excitation, en attente de lui. Puis il redescend, doucement, et revient au nombril. C'est un vrai supplice ! Je n'ose dire un mot pour ne pas troubler la tension sexuelle qui nous étouffe et nous étreint. Cette sensualité nous enivre. Il n'y a dans l'air que nos respirations tendues et les bruits de la circulation au loin. Il remonte alors ses mains sur l'extérieur de mes cuisses, sous ma jupe. Il attrape les bords de ma culotte et la fait doucement glisser le long de mes jambes, sur le sol du véhicule. Je suis attachée et ma seule liberté est prise par lui. Il écarte d'un geste sûr mes genoux. Ma jupe lui cache encore mon sexe. Malgré moi, mon bassin fait de petits gestes en avant, comme pour l'inviter, comme pour lui demander de venir. Plus vite, de venir en moi. Mais je n'ai pas le pouvoir. Pour l'instant, c'est lui qui commande. Il joue de sa langue sur l'intérieur de mes cuisses, remontant délicatement, en prenant son temps, en faisant durer, et monter le désir. Au fur et à mesure, ma jupe se relève et mes jambes s'écartent. Elhadj s'approche, encore un tout petit peu. Oui, vas-y. Il ne manque presque rien. Puis sa langue me goûte. Goûte en moi, je ne peux empêcher un gémissement, un gémissement qui s'éternise. Un autre coup de langue, plus fort, plus long c'est si bon. Mon bassin tente encore de s'approcher de lui, en vain. Mes bras sont toujours immobilisés et mon corps va exploser de désir. Mon cœur est à cent à l'heure. C'est alors que je lève ma jambe pour la passer sur son dos. Je fais de mon mieux pour le tirer vers moi, qu'il vienne plus, mais il est strict, il ne déroge pas à la règle qu'il a édictée : il veut me rendre folle. C'est alors que sa langue prend plus de vitesse. Il la passe depuis le bas de mes lèvres jusqu'au clitoris plusieurs fois, sans me pénétrer. Il me mordille alors les lèvres de côté et je pousse un petit cri. Sa langue reprend et me pénètre, oh, un tout petit peu. Il reste à un centimètre. Il me lèche et me goûte en montant et en redescendant, tout en tournant à chaque fois autour de mon clitoris. Ses allées et venues font monter une chaleur torride dans mon corps. Je me rends compte que j'essaie de me détacher. En vain. Je remue, je me déhanche mais la contrainte ne fait qu'amplifier mon désir. Mon immobilité attise les flammes. Je geins. J'ai les yeux clos et le visage tourné vers le ciel. Il passe de moins en moins de temps sur mes lèvres et de plus en plus sur mon clitoris. Il tourne autour, il me mordille légèrement, sa langue est si ferme, si puissante. Je sens des bouffées prendre tout mon corps. Ses mains puissantes prennent mes fesses et me maintiennent. C'est alors qu'il me pénètre de toute la longueur de sa langue, et je crie de plaisir. Sa langue entre en moi et ressort puis il continue par à-coups, me goûtant au plus profond. Oh oui, c'est tellement bon ! Li nékh na waay. Je geins maintenant presque en continu, tellement il m'emporte. Il revient alors sur mon clitoris et s'affaire en le titillant à une vitesse folle. Sans s'arrêter. C'est dur, c'est bon et je perds le contrôle. Je crois que je ne sens plus mes jambes. Le reste étant attaché, mon esprit est fixé aux sensations que Elhadj me donne. Soudain, une de ses mains quitte mes fesses, passe par dessous ma jambe et il fait entrer deux doigts en moi tout en léchant mon clitoris intensément. J'ai un cri qui résonne haut et loin. Son index et son majeur vont loin en moi. La moiteur de mon sexe est telle que ses à-coups vont avec fureur. Je vois sa chevelure entre mes cuisses et referme encore les yeux, me laissant emporter, yeux clos et serrés, bouche ouverte. Je suis dans le plaisir, telle une mer. Et les vagues montent et s'agitent comme des couches successives, elles me submergent, à chaque fois faisant se superposer les niveaux de ferveur. La mer est maintenant déchaînée, démontée. Je suis un bateau emporté dans la tempête et il le sent. Il fait aller et venir ses doigts si vite, si fort et si bien, sa langue joue tant avec moi...
Moi : Oh ça vient... Oh Elhadj , oui... Plus vite ! Encore un tout petit peu. Ah... Je crie si fort que les oiseaux se taisent un instant. Je jouis. Les doigts de Elhadj sont encore en moi, et sa langue ne m'a pas quittée. Mon bassin bouge en soubresauts, des secousses de plaisir inimaginable wayé nopé guouma dh (ma voix ne s'est pas encore tue). Puis le silence. Notre respiration se mêle, lui et moi, je suis hébétée, puis il se relève. Il défait la ceinture de son pantalon d'une main, ouvre le bouton mais ne cesse de me regarder et de me caresser. Il sort son sexe. Énorme. Tendu vers moi. Il me regarde droit dans les yeux, sort un préservatif et le met. Je ne peux toujours pas bouger. Je suis à sa merci. Mes jambes sont encore écartées, Elhadj les maintient fermement ouvertes avec ses mains. Il vient entre mes cuisses. Son sexe vient tout contre le mien, il s'appuie contre mon pubis. Sa verge se caresse contre mon clitoris, encore endolori de plaisir. Je sens toute la longueur de son sexe glisser contre mes lèvres. Il me cueille, après m'avoir fait exploser, pour faire monter le plaisir de nouveau. Doucement, il fait glisser sa verge contre l'ouverture de mes lèvres, de haut en bas. Son gland vient allécher mon clitoris à chaque fois. Comme le vent qui se lève, le désir revient m'envelopper. Il se baisse pour venir m'arracher un baiser, mais je l'agrippe avec les lèvres et l'arrime à moi. Je prends sa langue dans ma bouche et la suce, et le mordille. Ma langue vient dans sa bouche, et mes dents le croquent et le dévorent. De ses mains, il fait glisser mon soutien-gorge et dégage mes seins. Le corps contraint et la poitrine libre et frissonnante, prête au plaisir, je veux me donner entièrement. Il prend ma poitrine à pleines mains tandis que nos bouches s'enfièvrent. Puis, d'un geste expert, il me pénètre, d'un coup, tout au fond. Il va et vient, ses mains passant alternativement de ma poitrine à mes fesses. Je sens sa respiration accélérer, sa voix pointe derrière son souffle. Je geins également, nos plaisirs se répondant. C'est tellement bon. Il va vite. Il me possède entière. Soudain, je sens des nœuds se desserrer, il me libère mais il me maintient toujours aussi fort. Ses mains à mes fesses, il prend mon bassin et se l'attire si fort et si loin sur son sexe que je manque de me laisser emporter par le plaisir. Sa verge est si longue que je ne sais si je pourrai en supporter encore. Mais c'est si bon. J'en veux plus, encore plus. Mon sexe moite l'invite à continuer.
Moi : Ne t'arrête pas, babe, jamais. I don't want you to stop (Je ne veux pas que tu t'arrêtes).
Lui : i didn't mean to, you're so good (j'en avais pas l'intention, tu es tellement bonne)
Maintenant que mes bras sont libres, je ne me gêne pas pour les utiliser. Ma main gauche prend ses cheveux et je commande sa tête sur ma bouche, tandis que ma main droite descend sous son sexe, et attrape ses bourses douces, que je caresse follement. Je l'entends gémir. Nos regards se parlent, nos regards savent. Mes mains prennent ensuite ses fesses fermes et musclées. Elhadj se dégage alors doucement et m'invite à me retourner. Il m'accompagne dans le mouvement et je me retrouve passant la tête par la fenêtre ouverte, les mains se cramponnant sur la portière. À l'intérieur de la berline, j'ai un genou posé sur la banquette arrière et l'autre jambe sur le plancher. Il prend de ses mains puissantes et athlétiques ma taille et le haut de mes hanches. Je lui offre mon sexe par derrière. Il me pénètre doucement. Dans cette position, je sens sa verge appuyer fort à l'intérieur de moi. Cela m'excite terriblement. Puis il entre plus loin, et mon bassin est pris en étau entre ses poignes de fer et son sexe ardant. Mon regard se perd au loin, dans le paysage. Je ferme à demi les yeux, et nous ne sommes que deux sur terre. Je me sens prise et tenue, et tout mon corps ne repose rien que sur son sexe massif. Elhadj va de plus en plus vite.
Moi : C'est si bon, mais je ne tiens plus, je veux revoir dans les yeux ! Je veux te voir, dis-je alors que le plaisir menace de me submerger. Je rentre le buste dans la voiture et le pousse doucement qui s'assied sur la banquette. Je prends quelques centimètres de distance et prends mon temps pour l'observer. C'est un corps digne d'une statue grecque que je vois assis devant moi, tout offert à mon bon plaisir. Et au milieu de tout cela, son sexe, immense, dardant vers le ciel. Il m'attend, je vois le désir dans ses yeux. Puis, tout doucement, ma bouche remonte vers la sienne et naturellement je l'enfourche comme je sais qu'il le désire. Le plaisir est tel que je fais aller et venir mon bassin comme une damnée. Ses mains parcourent mon corps et accompagnent chacun de mes mouvements. Les miennes caressent ses abdominaux si fermes et ses pectoraux extraordinaires. Notre plaisir monte de pair, nos yeux sont liés. Encore. Encore juste un peu. J'ai l'impression que le monde pourrait disparaître, je suis sur le bord du ciel et de l'abîme. Puis soudain, ça y est. Nous sommes tous deux tendus en arc, nos jouissances s'entremêlant et se répondant. Nous jouissons pendant ce qui me semble des minutes. Nous avons les yeux fermés et je me couche sur lui, encore en moi. Peau contre peau, corps contre corps. Après cette étreinte passionnée on 'est allé chez lui vu que son père est en voyage et que son frère est retourné dans son appartement. Nous avons la maison à nous seuls et comme que nous ne manquons pas d'imagination on ne risque pas de s'ennuyer puisqu'on a toute la nuit devant nous.
Tay la yaram yeup di daw.

Adja Nicole GueyeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant