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. Elhadj

Elle : Accorde-moi juste cinq minutes le temps de me rafraichir. Fait comme chez toi.
Moi : okay
L'appartement de Dialika n'est pas très loin de la boite de nuit. C'est un logement très accueillant et magnifique. Je m'assoie sur le canapé le temps qu'elle me rejoigne. Quinze minutes après la voilà qui sort d'une pièce vêtu d'une petite robe transparente toute riquiqui. She 'll kill me before my time (elle va me tuer avant mon heure).
Je l'attire contre moi et commence à l'embrasser. Sa langue suave s'enroule contre la mienne, ses doigts agiles s'égarent et défont les boutons de ma chemise un à un tout en me regardant avec ses yeux de prédatrice. Ses mains glissent sous ma chemise et se pressent sur ma poitrine. Chaque muscle de mon corps se raidit. Je la sers contre moi prenant tout ce qu'elle m'offre, son corps se moule dans le mien et la manière dont elle se frotte à moi ...oh my god (oh mon Dieu). Ses lèvres s'arrachent à ma bouche pour se coller à ma peau et je la sers contre moi, allant à la rencontre de se anches qui me cherchent, frottant contre elle la bosse dure qui gonfle mon pantalon. Sa langue s'enroule sur mon téton durci tout en pressant ma poitrine, puis lentement elle passe les mains sur mes épaules et fait glisser ma chemise le long de mes bras jusqu'au sol. Elle s'attaque à mon autre téton et je glisse mes mains dans ses cheveux, des frissons me parcourent l'échine quand je sens ses ongles griffer mes abdominaux.
Moi : oh damn you're wild girl (tu es féroce)
Elle : shuut let it go (laisses toi faire)
Elle fait sauter le bouton de mon jean et enfonce sa main dedans.
Moi : oh my godness soufflé je quand sa main frôle mon gland.
Elle : da nga kodal ba sa koy bi khadiatoul ci sa toubey bi (tu bandes tellement que ta bite est étroit dans ton pantalon) gémit-elle dans mon oreille.
Elle enlève sa main de mon pantalon et tire dessus pour l'enlever, je l'aide et une fois fait elle s'agenouille devant moi de sorte que ma bite soit pile en face de ses lèvres pulpeuses. Sa bouche brulante se jette sur le bout de mon sexe et le dévore avidement.
Moi : ooh shiit
Elle pose sa main sur la base de ma bite et la serre, elle pousse sa tête en avant et l'engloutit encore un peu plus tout en allant et venant en cadence. Je grogne et m'enfonce complétement jusqu'à toucher le fond de sa gorge puis enlace mes doigts dans ses cheveux puis imprime à sa tête un lent mouvement de va et vient. N'en pouvant plus du plaisir que me donne cette petite coquine je pose un pied sur le canapé et accélère la cadence et je grogne à chaque mouvement
Moi : i knew since i saw your apetizing little mouth that you're good, you'll make me cum (je savais depuis que j'ai vu ta petite bouche. appétissante que tu es douée, tu vas me faire jouir)
Je continue à la besogner, je tiens fermement sa tête et m'enfonce profondément dans sa bouche jusqu'à toucher de nouveau le fond de sa gorge. Un grondement sourd m'échappe tandis que je jouis, je jouis tellement fort que tout mon corps en tremble. Elle me lèche jusqu'à la dernière goute de sperme puis libère ma bite et s'essuie les lèvres avec un sourire coquin.
Moi : oh god that was a wonderful blowjob (oh mon Dieu s'était une magnifique fellation). A ton tour maintenant, j'ai envie de voir ce trésor caché entre tes jambes.

Dialika
Sans attendre ma réponse il m'embrasse avidement tout en m'allongeant sur le canapé. Il m'embrasse tout le long de mon cou jusqu'au-dessous de l'oreille et soulève ma petite robe par-dessus ma tête et l'envoie rejoindre sa chemise par terre. Il prend mes seins dans ses mains, les soupèse, les pétris et les suce un à un.
Moi : hum li ngay def nekh na (c'est bon ce que tu es en train de faire).
Il descend sur mon ventre, s'attarde sur mon nombril et continu à descendre, il effleure mon sexe mais ne s'y attarde pas. Je pousse un grognement de frustration mais il pose des baiser mouillés sur mes cuisses tout en continuant à me caresser les seins, me donnant l'impression de me toucher partout dans sur mon corps et en même temps et putain que c'est bon. J'étouffe un cri quand il commence à titiller mon clitoris.
Lui : this is what you want? (c'est ce que tu veux)
Moi : ooh oui je gémis.
Il glisse deux doigts entre mes lèvres ruisselantes de cyprine et je gémis plus fort en écartant mes jambes encore aussi loin que me le permet ma position. Il me regarde intensément tout en continuant à me lécher la chatte et en enfonçant encore plus loin ses doigts.
Lui : putain sa data bi rafet neu as smooth as i like(ta chatte est trop belle toute lisse comme j'aime)
Moi : plus fort s'il te plait. Dama beug nga kate ma (je veux que tu me baise) là tout de suite.
Il se redresse, prend son sexe entre ses mains et frotte le gland sur ma fente, puis l'appuie sur mon clitoris tout en faisant tourner ses hanches. Il le fait glisser jusqu'à ma chatte comme pour me pénétrer puis recommence son manège et je n'en pouvais plus, je voulais sa bite dans ma chatte.
Moi : please Cheikh
Lui : please what. Dit-il avec un sourire démoniaque. Da nga beug ma kate leu (tu veux que je te baise)
Je hoche la tête et me mord la lèvre haletante et c'est là qu'il appuie son gland sur ma fente et me pénètre lentement. Ensemble nous gémissons de plaisir d'être enfin unis et je ne peux m'empêcher d'en vouloir encore plus. Il se retire complétement et je peux voir son sexe qui ruisselle de ma cyprine et il revient s'enfoncer entièrement en moi encore plus loin, encore plus fort, oh que c'est bon.
Moi : tu es tellement épais, tellement dur, j'adore la sensation de ta bite en moi.
Il se retire et s'enfonce à nouveau d'un seul coup.
Lui : like that (comme ça)
Moi : Ooh yes. Faster please (plus vite s'il te plait)
Il m'offre cinq coup de reins rapide avant de s'immobiliser en moi totalement enfoncé et tourne ses hanches et les ondule pour masser mon clitoris.
Moi : ooh oui comme ça, oh mon Dieu, boul arrêter (ne t'arrête pas)
Il est partout, en moi, sur moi, partout. A chaque mouvement il s'enfonce plus loin et plus violement, jusqu'à ce que sont front et ses cheveux soient trempés de sueur. J'ai les yeux révulsés et l'impression d'être véritablement possédée, mais cela ne se peut pas. Comment quelque chose d'aussi bon, d'aussi délicieux pourrait être mal. Je jouis et j'enfonce mes ongles dans son dos sans me soucier de le blesser, je sais seulement qu'il que je me cramponne et ne la lâche plus et c'est exactement ce que je fais, même après que Cheikh ai joui en moi en laissant échapper un rugissement de fauve qui devrait me terrifier. Il reste le visage collé contre ma poitrine, les bras ceignant ma taille. Il ne se donne pas la peine de se retirer. Il ne dit rien. Seul résonne dans la pièce l'écho de nos halètements tandis que nous redescendons sur terre.
Lui : i think this was the best fuck i've ever had (je pense que c'est la meilleure baise de toute ma vie)
Moi : lol, ravie que ça t'es plus. Manit dh douma wakh dara sa koy bi saf na sa ndigg bi nekh na (moi aussi je n'ai rien à dire, ta bite est délicieuse et tes reins sont merveilleux)
Lui : i don't understand much but i know these are sex words and i like the way you say these naughty things and i'm not done with you yet (je ne comprends pas grand-chose mais j'adore ta façon de les dire et je n'en ai pas encore fini avec toi)
J'éclate de rire et recommence à l'embrasser moi aussi parégouma ci mom (moi aussi je n'en ai pas fini avec lui)

Pendant ce temps de l'autre côté de la ville...
Abdou Khadre était en train de ramener les filles à la maison. Le silence régnait dans l'habitacle du véhicule car personne n'osait émettre un seul bruit tellement Abdou était en colère et cela se voyait à travers ses gestes, il se cramponnait tellement au volant qu'on voyait les veines de ses mains. En effet, ils ont dû quitter la soirée à cause d'une très grosse altercation qu'il a eu avec un homme qui rodait autour d'Adja jusqu'à lui toucher les fesses et Abdou n'a rien raté de la scène. Arrivée à la maison il demande à Awa de rentrer à l'intérieure car il devait s'entretenir avec Adja. Cette dernière ne l'a pas écouté et descendu de la voiture mais Abdou a été plus rapide que lui en lui saisissant sa main avant qu'elle n'entre dans la maison.
Moi : ne m'as-tu pas entendu quand j'ai dit que je voulais te parler
Elle : maleu gueuneu degg (je t'ai bien entendu) mais je ne suis pas obligée de t'écouter et d'ailleurs je n'ai rien à te dire.
Moi : dans ce cas tu n'as qu'à m'écouter parler. Yaw Nicole werr nga (est-ce que ça va dans ta tête) comment tu as pu te laisser tripoter par cet imbécile
Elle : moi? moi je me suis laissé tripoté? tu as bien vu que le gars m'as surpris et que je lui ai donné une bonne paire de gifle. Et puis je me fais tripoté par qui je veux. Tu n'es pas mon petit ami, dou diakka, dou mairie, dou église nga beug ma fatt (on est pas allé à la mosquée, ni à la mairie, ni à l'église et tu veux m'empêcher de respirer)

Adja

Après ma petite tyrannie, il s'avance dangereusement vers moi et je recule jusqu'à me cogner à la voiture et il me fixe du regard avec ses yeux de lynx mais comme que dama wow beut ma fixer ko rek manit (comme que je suis sans vergogne je le fixe aussi)
Lui : Nicole man damay sa ndey goordjiguéne ba goor di laal sa tate yi may wakh nga may youkhou (suis-je ton putain de pd jusqu'à ce qu'un homme vienne toucher tes fesses et que tu me hurle dessus quand je t'en parle), hum réponds moi comme tu joues à la grande gueule quand je te parle.
Elle : si tu penses me faire peur dh yakk nga ko man ragalou mala, faléwou mala ngay def ak sa guouday nga may saf asperge (si tu penses me faire peur tu te trompes, je n'ai pas peur de toi, je m'en fou de toi, avec ta longueur on dirait une asperge).
Dama doon féne dh (je mentais), j'avais tellement peur en ce moment mais wallay ma grande gueule me perdra un jour. Mais contre toute attente les traits de son visage se radoucissent et il sourit d'un sourire tellement sexy oh. Wa man koumay mbéth khana dou ma ko done khass légui fi (mais moi qui va me gifler ? n'est pas moi qui était en train de lui dire mes du n'importe quoi tout à l'heure ?) Adja reste concentrée me sermonnais je.
Lui : Nicole, Nicole je ne sais pas ce que vais bien pouvoir faire de toi petite insolente. Bref je viens te chercher chez toi vers 17h
Moi : pour dem fann (pour aller où) ?
Lui : takhawalou ji khana et s'il te plait ne soit pas en retard je déteste qu'on me fasse poireauter.
Moi : ey waay ndaw samba mala wakh damay gneuw ba ngay exiger heure nak (c'est moi qui t'ai que j'allais venir et tu m'exige l'heure en plus)
Il m'embrasse sur le front et me dis
Lui : A ce soir bébé
Je retourne pour le voir entrer dans la voiture et démarrer toujours avec ce joli sourire qu'il arbore alors que moi je reste bouche bée.
Moi : c'est ce qu'on va voir me suis-je dis avant d'entrer dans la maison. Comme je l'avais deviné Awa m'attends dans ma chambre installée confortablement sur mon lit.
Elle : alors qu'est-ce qu'il te voulait. ?
Moi : rien, juste m'inviter à sortir ce soir.
Elle : quoi ? jure ? yaw ki kaffoul dh (il ne blague pas le gars)
Moi : je n'irai pas à cette sortie , et puis sort de ma chambre je tombe de sommeil lui dis-je en me déshabillant.
Moi : d'accord je vais m'en aller mais tu iras c'est moi qui te le dit. Bonne nuit madame SY
Je lui lance ma chaussure et elle l'esquive en sortant de la chambre avec ses rires. Après avoir pris une bonne douche, je mets mon pyjama et vais me coucher même si je sais d'avance que je ne vais pas dormir...

Adja Nicole GueyeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant