Colocation Amoureuse

Chapitre 53

⚠⚠ Ce chapitre est un lemon du début à la fin ⚠⚠

Il était trois heures du matin quand la réception du mariage prit fin. Tout le monde était reparti et les garçons décidèrent de tout ranger le lendemain. Enfin, tout à l'heure était plus exact. Le couple marié ferma toutes les portes et monta dans leur chambre. Ils avaient une idée bien précise de ce qu'ils allaient faire. Même si la nuit risquait d'être courte, ils s'en fichaient. Quand ils passèrent la porte de la chambre, Lucas plaqua, avec délicatesse, son mari contre le mur. Le châtain poussa un petit gémissement de surprise mais ne dit rien. Il se laissa faire. Ses mains commençaient déjà à déboutonner la chemise du brun. Durant toute la soirée, ils s'étaient cherchés et « chauffés ». Ils n'en pouvaient plus et voulaient succomber à leurs désirs.

Lucas agrippa les fesses de son amoureux et le souleva tout en laissant son dos contre le mur. Le plus jeune entoura le plus vieux à l'aide de ses jambes et le rapprocha de lui comme il le pouvait. Leurs lèvres ne se quittèrent pas et dansèrent ensemble avec fougue. Lucas descendit ses baisers dans le cou de son mari et ce dernier lui laissa le champ libre. Il lui laissa une multitude de marques et il en était fier. Il marquait son territoire même si personne n'allait lui prendre son châtain. Lucas le fit descendre de ses bras et le dirigea vers le lit où il le fit délicatement tomber. Maël se plaça correctement sur le matelas et son mari vint se positionner à califourchon sur lui.

On pouvait voir tout l'amour et tout le désir que se portaient les deux hommes rien qu'en les regardant dans les yeux. Il n'y avait aucun doute, ils étaient faits l'un pour l'autre et se correspondaient à la perfection. Lucas s'empara, une nouvelle fois, des lèvres délicieuses de son mari tandis que ses mains s'aventurèrent sous la chemise du châtain. Ce dernier se cambra quand son brun lui pinça, gentiment, l'un de ses tétons. Ce qui fit que leurs érections entrèrent en contact et ils gémirent instantanément. Lucas retira la chemise de son amoureux et la laissa tomber sur le sol. Il découvrit la fameuse chaine avec, dessus, l'anneau qu'il avait acheté pour leurs fiançailles. Il le trouva terriblement sexy.

Il décida de retirer sa propre chemise et la laissa, également, tomber au sol. Maël attrapa la chaine que portait Lucas, la fameuse qui ne le quittait pas, et le tira doucement vers lui. Il ne fallait pas casser cette chaine précieuse aux yeux des garçons. Leurs lèvres se retrouvèrent dans une danse endiablée. Le cadet caressa le corps musclé de son mari tandis que le brun enleva la ceinture et descendit la braguette de Maël pour y faufiler sa main droite. Il caressa, tendrement, le membre de son mari à travers le boxer. Cela fit gémir le plus jeune qui en redemandait vu comment il se cambrait. Lucas eut un sourire en coin et continua sa douce torture.

Les mains de Maël descendirent le long du dos de Lucas pour atterrir sur ses hanches. Il les fit glisser sur le devant et, sans prévenir, déboucla la ceinture, baissa la braguette et fit descendre le pantalon de son mari. Lucas fut un peu surpris mais il se redressa pour retirer son pantalon et Maël vit qu'il portait son boxer bordeaux. Théo n'avait pas menti. Le plus âgé décida de retirer le pantalon de son châtain et il sourit en voyant qu'il avait son sous-vêtement bleu. Il observa un moment son beau mari. Il était terriblement sexy.

– Quoi ? La vue ne te plait pas ? S'inquiéta Maël.

– Au contraire. Elle me plait plus que bien. Tu es terriblement sexy.

– Dans ce cas, viens-là.

Le châtain agrippa le bras de son amoureux et le tira vers lui pour plaquer ses lèvres sur les siennes. Les baisers endiablés recommencèrent. Les mains du plus âgé se glissèrent dans le boxer de l'homme qu'il aimait. Il caressa, en douceur, le membre déjà bien dressé du cadet. Ce qui avait pour effet de le faire gémir. Il se cambra tout en redemandant. Lucas ne se fit pas prier et il continua ses caresses délicieuses. Leurs lèvres ne se quittèrent pas une seule seconde. Elles ne voulaient pas se lâcher.