La gardienne... TOME 1

La mission!

Le soleil se leva, ces rayons lumineux transperçaient les rideaux rouges de ma chambre et je me levais à mon tour. Je regardais mes mains moites, je les essuyaient et ouvraient les rideaux. Le soleil étaient une source de chaleur dont les vampires et les nouveaux nées craignent. Mais moi non. Je ne suis pas humaine mais je ne craint pas l'argent, ni le bois et encore moins la lumière du jour.

J'ouvrais ma fenêtre et partis dans la salle de bain. Je pris une douche tiède et peignais mes cheveux noirs. Enfait j'étais brune mais j'avais tiens mes cheveux, mes yeux marrons-noirs étaient naturelles mais ils étaient sombres. J'ai eut le temps de mettre mes sous-vêtements noires quand le téléphone sonna. Je descendais les escaliers et me rendais dans le salon. Je soupirais en me demandant qui m'appelais un matin pareil pour le travail?

Je répondais l'appel:

- Allô?

- Bonjour Lindya, répondis une voix masculine.

- Oui. Que puis-je faire pour vous?

- Je me nomme Luck, je vis à San Francisco, je suis un maître vampire.

Une maître vampire, c'est un vampire qui domine une ville, il autorisait ou refusait les êtres surnaturelles de venir sur son territoire. Mais s'il refusait et on enfreint la loi, on était sous peine de mort. Mais quand un maître vampire me téléphone comme sa, c'est qu'il y a un problème. Un gros!

- Que se passe-t-il pour qu'un maître vampire m'appelle? Les loup garous vous...

- Non. Non, intervient il. Je voudrais vous proposez un travail et je paierais le prix que vous voulez...

- Et puis-je savoir c'est lequel?

- Il faut que vous venez...c'est privé, je ne peux pas en parler par téléphone. Vous savez comme on dit la technologie est très développé que c'est facile à avoir des infos.

- Vous avez raison, répondis-je en souriant. Alors je prends l'avion maintenant.

- Oui et mon chauffeur vous attendra. Merci Lindya.

Je raccrochais et me changeais: un jean en cuire et un haut moulant noir. Mes bottes noirs et mon manteau en cuir toujours noir, je pris mes couteaux et mon flingue armé de balle en argent et mes munitions pour les vampires. Je préparais mon sac d'arme et ma valise. Je sortais avec mes sacs, je n'avais aucune envie me maquiller. Je mis le tout dans ma voiture de sport et je roulais destination l'aéroport. Quand je pus m'installer dans l'avion, je mis mes écouteurs et destination San Francisco.

Je me suis réveillée, l'avion s'est posé alors je descendais, il fesait nuit, je pris mon sac et ma valise et sortais de l'aéroport. Un homme noir s'avança vers moi, il se pencha.

- Bonsoir Mademoiselle, je suis le chauffeur du Maître, puis-je prendre vos sacs?

- Euh...Oui, tenez! dis-je en tendant la valise et le sac.

- Merci.

J'entrais dans la voiture et on roula, je regardais les gens qui se défilent devant ma vitre. Je me demande s'il y a beaucoup de chasseurs par ici...

- Dîte-moi! Il y a beaucoup de chasseurs dans ce coin?

- Pas beaucoup mademoiselle. Le Maître surveille son territoire très...

- Je vois, je comprends.

On s'arrêta devant une grande maison, le portail s'ouvrit, on voyait deux gardes. On traversa un allée en voiture et il s'arrêta devant la maison. Je sortais de la voiture, un majordome était devant moi, il faisait la quarantaine, mais en réalité, il a environ trois siècles. C'est un vampire, je le sens. Il me disait de le suivre, je le suis.

On entra et on se trouva dans un salon. Le majordome s'en va, je voyais un homme dont son physique faisait dans la trentaine mais je sentais qu'il faisait très très âgé, je peux pas définir précisément.

- Mademoiselle Lindya, heureuse de vous voir, dit -il en souriant dont on voit ses dents blanches.

- D'habitude on me dit le contraire, répondis-je avec une voix neutre.

- C'est vrai, mais asseyez-vous...

- Je préfère rester debout s'il n'y a pas d'inconvénient.

Son sourire s'agrandisse, il se leva et s'approcha. Je ne bougeais pas, je n'avais pas peur. Je pouvais me fier à mes sens développés.

- Alors parlons de votre proposition pour qu'on en finisse, dis-je en regardant dans ses yeux.

- Stricte comme on dit. Alors ma proposition est très simple, sourit-il. Je voudrais que vous protéger le futur héritier de la ville.

Attend! QUOI? Il veut que je fasse la baby-sitter de son fils. Mais c'est une blague j'ai plus à faire.

- Désolée, je ne peux pas accepter.