La gardienne... TOME 1

Une rencontre innatendu.

Je me lève comme tout les matins, la pluie tombait très forte, je pris mon parapluie, je devais rentrer mes fleurs tout fragile. Oui! J'ai vraiment beaucoup changé, j'ai mis de côté ma violence et je ne veux plus utilisé mes pouvoirs. La pluie força, j'entrais car l'eau fit un grand flac devant chez moi, je rangeais mon parapluie.

Je m'allongeais dans mon fauteil en short mauve et un débardeur noir, j'étais épuisée. Je fermais mes yeux, j'eus un choque, je vis l'eau devenir forte, le renard était en danger. La pluie tombait très forte. Je me levais et courrais vers la cascade pieds nus, j'étais trop lente, je n'ai plus le choix. Je me transformais en loup blanc et courrais plus vite. Quand j'arrivais, je vis la cascade qui jettait l'eau avec brutalité et le courant était forte.

Je courrais le long de la rive, je vis le renard pendillé a une branche, il allait tombé dans l'eau. Je me tranformais en humaine, j'étais en sous vêtements, je suis tous tremper, la pluie tombait vraiment beaucoup. Le renard me vit mais la branche était tellement mouillé qu'il glissa. Je criais son nom en courant vers lui. L'eau lui emportait, je sautais dans l'eau, l'eau était trop violent, je me battais contre des rochers, je gardais toujours l'oeil sur Léo. Je nageais vers lui avec beaucoup de mal.

- Léo, continue à nager, criais-je de tout mes forces.

Léo essayait de nager vers moi. Je tendais ma main et l'attrapais. Je le serrais contre moi. J'essayais de nager vers le bord, je ne devais pas perdre concience pour Léo. Je nageais mais ma tête cogna contre un rocher, je vais lacher prise. Je regardais Léo qui trembler de peur et de froid. Il était aussi inquiet pour moi. Je devais le sauver, je tendais ma main vers un arbre. Tent pis! Je criais pour mes derniers froces, je branche de l'arbre prit mon poignet et me fit sortie de l'eau.

J'étais très essouflée, je regardais Léo qui était en boule, il a froid, je devais le chauffer sinon il mourrait. Je le pris puis je vis du sang sur lui, je touchais son corps s'il est blessé mais aucune blessure, je touchais ma tête. C'est moi qui saignait, je me levais avec mes derniers forces et avec espoirs. Je marchais dans la forêt. Puis je vis un loup, je versais une larme, j'étais à bout, je serrais Léo contre moi.

- S'il vous plaît...aidez le, essayais-je de dire en tombant et tout devient noir.

Je me réveillais avec des douleurs sur moi.

Je m'asseyais et regardais autour de moi. Je suis dans une maison? Mais j'étais dans une forêt, je regardais autour de moi, je cherchais Léo, je ne le vis pas. Je devais le voir et m'assurais qu'il aille bien. Je sortais de la chambre et entendis des rires et des voix. Je suis chez...Je sentais les loups-garous. Je descendais sans bruits, je vis Léo.

Léo me vit et courra vers moi, j'avais les larmes aux yeux, je le pris dans mes bras, puis les personnes dans la salle arrivèrent vers moi. Je m'en fichais Léo est mon seul et unique ami.

- Elle est réveillé! Je ne l'ai pas entendu..

- Comme c'est migon...

J'entas leur commentaires mais je ne voulais pas qu'il me parle, j'ai peur qu'il sache qui je suis. Je me levais et je regardais les personnes avec Léo dans mes bras. Je vis une femme, trois hommes dont deux sont jeune et l'un d'entre eux a le même âge que moi et l'autre collé à la femme et le troisième un peu âgé.

- Merci de nous avoir sauver, dis-je avec le stresse et la panique en moi.

- Oh non! Tu devrais remercié notre Alpha qui n'est pas là... disait l'homme âgé. Oh moi, c'est Mick.

- Moi, c'est Lise heureuse de te rencontrer, sourit la femme.

- Je suis Kaï, dit l'homme collé à la femme.

- Oméga, enchanté!

- Orélie, mentis-je en regardant Léo qui me mord. Aïe! Excusez moi, je dois parler à Léo.

- Léo? demanda la femme.

- Mon renard.

Je montais avec Léo et le posais sur le lit. Il fesait la gueule parce que j'ai pas dit mon vrai prénom.

- Léo, je ne peux pas! Je ne dois rien dire car je serais découverte et je dois retourner travailler par la force et je veux rester avec toi.

Il me regardait et ces oreilles étaient baisser, il se sentait mal et lécha ma main où il a mordu. Je rigolais et on descenda. Bien sûr, je n'ai pas pris Léo dans mes bras parce qu'il avait aucune envie. Je vis tout le monde, je devais sortir d'ici.

- Je dois y aller, annonçais-je alors que tout le monde vient vers moi.

- Déjà, fis le moue Lise. Pour une fois, on a une invitée. Allez reste jusqu'à l'Alpha arrive, dis Lise en faisant les yeux doux.

Je me battais au fond de moi pour lutter mais quand je regardais Léo, lui aussi il faisait les yeux doux. Le traîte! Je vais le tuer un jour. Alors j'acceptais.