La gardienne... TOME 1

La loi a été violée?

Je marchais vers la voiture, je sentais une présence qui s'approchait de moi, c'était toujours Eric. Comme il peut etre collant! Je me retournais, il était devant moi avec un expression qui me fait un point au coeur. Je repris ma route, j'entrais dans la voiture et le démarrais. Eric entra.

- Je t'accompagne! annonça-t-il avec une voix neutre.

- Je n'ai pas besoin de princesse qui va me déranger, soupirais-je en le regardant.

- Tu ne sais pas ce que je vaux, sourit-il en me regardant.

Ce mec...Je souriais en essayant de garder mon attitude froid envers lui. On prit la route vers l'école. Quand on arriva, je sortais de la voiture, tout les personnes avaient des yeux sur moi, ils chuchotaient entre eux. Je m'avançais dans l'école, je cherchais la meute de loup garou mais je ne trouvais pas. Je vis la meute de fille qui m'a menacé, elle devrait avoir des informations. Eric, toujours à côté de moi me suit.

Je m'avançais vers la fille et je restais polie.

- Tu n'aurais pas vu les loups?

- Je t'ai dit de ne pas le toucher! dit-elle en grondant et en s'approchant de moi.

- Je suis pressée, soupirais-je d'impatience.

- Je vais te tuer, cria-t-il sur le poing de me frapper.

Je regardais Eric qui me fit un sourire. Je voulais qu'il s'occupe de cette tache pour qu'il soit utile pour une fois. Il prit la fille par le cou et lui plaqua sur le mur. La fille choquée me regardait les larmes aux yeux.

- C'est vrai que tu n'es pas une princesse, commentais-je Eric en m'avançant vers la fille.

- Ceresse un compliment? sourit-il bêtement.

- Prend le comme tu le veux, souriais-je à mon tour.

Les filles de la meute fuyaient et moi, je tirais mon arme et braquais sur la fille.

- Je ne voudrais pas toucher à ton corp et encore moins l'abimer. Alors par politesse, pourrais-tu me dire où sont-ils?

- Ils...Ils sont dans la grande salle...

- Merci, souriais-je en rangeant mon arme. Allons-y.

Eric lâcha la fille, nous partons vers la salle mais celle-ci courrait vers moi pour me massacrer. Je me retournais et lui mis mon poing à la figure. Elle tomba dans les pommes, Eric me souriait, il s'amusait ce crétin.

Nous arrivons devant la salle, j'entendais les rires.

- Un fiesta de loup sa me va, dit Eric.

- On doit juste savoir qui veut ta mort et cette guerre.

J'entrais, les rires s'arrêtèrent, Eric entra, le chef Alex se leva de sa chaise et ces quatres compagnons se tenaient près de lui.

- Eric! Quel bon vent t'a ammené ici? commenta Alex. La mort, sourit-il en s'intillant ses yeux.

- Disons que je suis avec Lindya, sourit-il à son tour.

- Les mauviettes comme toi ne mérite pas une fille comme elle, rigola-t-il avec ses amis.

Eric serra son poing. Je ne voulais pas le voir ainsi, je fronçais les sourcils.

- Une fille comme elle ne voudrait pas de toi, continua-t-il.

Et puis merde.

- Qui te dit que j'ai besoin d'un mec débile comme toi, j'aime bien mon petit vampire.

Je m'approchais de Eric, je me collait contre lui, il semblait surpris mais excité. Un vrai coquin. Je regardais les loups.

- Et surtout bon au lit, lachais-je en souriant.

Les loups grondèrent à leurs tours, Alex ne croyait pas. J'embrassais Eric longuement, ma langue caressait ses dents pointues, sa langue rencontra le mien. Ses bras m'entourèrent. C'est trop. Je sentais un loup s'approcher dangeureusement. Je tirais mon arme et pointe sur le loup et tira dans la jambe d'Alex qui tomba. Eric me lâcha, je m'accroupis et pointais toujours mon armes sur Alex les loups allaient m'attaquer mais Eric fit le travail.

- Bon! Passons aux choses sérieux, annonçais-je en reprennant mon sérieux. Qui t'a ordonné de tuer le prince?

- Je ne sais pas de quoi tu parles, sale pute!

Il eut un poing dans la figure mais il semblait rester réveiller. Et bien sur le coup ne vient pas de moi mais de Eric. Je le regardais.

- Il t'a traité de pute! se justifia-t-il l'air innoncent.

- Répond correctement ou...

Je briquais mon arme vers sa partie.

- ... je t'explose et se sera mauvais pour ta réputation, souriais-je en commençant à appuyer sur la détente.

- OK OK, cria-t-il paniquer. C'est mon oncle, il est le chef de l'école.

- Et pourquoi le tuer?

- Il voulait qu'une guerre d'une centaine années soit éclaté.

- Il n'a respecté les lois?!?

Je me levais et marchais vers le bureau du directeur.