Agrippée a lui

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Oui j'avais pas d'idée de titre... désolée 😅

🧐
<|>
_/\_

PDV: shoto

L'homme qui m'accompagne réagit beaucoup plus vite que moi, toujours sur le choque.

Il lui prend son pouls et asseye d'enlever les bouts de verts qui entoure son corps.

Yaoyorozu est entaillé sur tout les bras. Sa chambre ressemble à un champs de bataille. Une personne a dû venir l'agressé, et elle s'est défendu.

Quand je reviens enfin à la réalité, l'homme a déjà appelé les docteurs et infirmiers dû couloir pour venir l'aider.

Je ne savais pas vraiment quoi faire. Devrais aller les aidés ? Ou appelé ses proches ? Ou rester comme ça sans rien faire ?

Non ! J'ai décidé de l'aider, alors je vais le faire dans toutes les situations. Après tout, c'est mon travail.

Je prends comme initiative de la porter sur son lit sans toucher ses blessures graves.

Ne m'étant pas rendue compte que son lit était plein de bouts de verres, je dois la garder dans mes bras jusqu'à ce qu'un infirmier ouvre une autre chambre.

Je rentre dans la chambre 228 alors que la fille se réveille dans mes bras.

-Mademoiselle Yaoyorozu ! S'exclame l'infirmier a mes côtés. Vous aller bien ?!

La fille ne répond pas. Elle regarde le vide en repensant sûrement à ce qui lui es arrivé.

Je la dépose sur son nouveau lit, mais elle s'accroche à mon t-shirt de ville et me supplie du regard pour que je reste.

-monsieur, je vous prierez de partir si vous n'êtes pas dans le personnel. M'informe le garçon.

C'est vrai que vu que je suis arrivé de chez moi, j'ai l'air d'un civile comme les autres et non d'un infirmier.

Je lui explique la situation rapidement tout en étant toujours accroché à la fille.

-Momo... murmurais je. Tous va bien, pas besoin que je reste.

Pourquoi est-ce que je l'es appelé par son prénom ? Peut être pour la rassurer.

Elle me lâche finalement mais je reste quand même avec elle pour voir si tout va bien et lui faire des analyses.

Bakugo arrive ensuite en vitesse après qu'on l'ai appelé de chez lui et je remarque l'amie de momo, Ochaco Uraraka derrière la porte.

Elle semble paniquer pour son amie et à les larmes aux yeux.

Bakugo sort rapidement de la pièce en voyant cela et l'a prends dans ses bras en chuchotant des mots sûrement réconfortant à l'oreille de la fille.

Il lui sourie après que ses larmes ai disparu et retourne voir notre patiente.

Nous nous en occupons pendant encore 20 minutes puis laissons uraraka rentrer la voir. Elle avait appelé son amie kyoka il me semble pour la prévenir et celle ci l'avait rejoint.

J'allais sortir de la chambre pour les laisser parler, mais là blessée me rattrape le pli de la manche de mon t-shirt et je comprends qu'elle serait plus rassuré si je reste là.

Tous le monde sort, faisant en sorte qu'il ne reste plus que nous quatre. Ne voulant pas les déranger dans leur discussion, je reste à l'écart.

Mais j'avais bien remarqué quelque chose, momo Yaoyorozu ne parle plus. Dès que ses amies lui posent une question, elle répond d'un hochement de tête ou pas du tout.

Après quelques minutes, les deux filles sont parties et je m'apprête à faire de même mais encore une fois, elle s'agrippe à mon t-shirt. C'est comme devenue une nécessité.

Après son agression, la police est arrivé et on mit en place une protection rapprocher avec la fille. Deux policiers se tiennent devant la porte, je ne vois pas en quoi elle a peur... Peut être de rester seul ? Ou alors, elle veut juste que je sois là- non ! Pourquoi elle voudrait ça ?! Je m'imagine des choses !

Je lui demande gentiment de lâcher mon vêtement mais elle ne le fait pas, comprenant que si elle le fait, je partirais.

Je n'ai donc pas le choix, je prends une chaise et m'assois a côté d'elle. Mais elle semble gêné du fait que je reste sur cette pauvre chaise et ce décale discrètement sur le côté de son lit une place.

Je comprends alors le message, elle veut que je vienne avec elle.

Je m'assois sur son lit mais n'ose pas soulevé la couverture pour me mettre dedans. Alors elle prend l'initiative de le faire elle même. Elle lève la couverture et passe mes jambes dedans sans que je mis attende. Elle m'allonge ensuite en me poussant contre mon torse mais le lit étant trop petit pour moi, je me cogne la tête contre le mur.

Elle semble d'abord paniquer, plus semble rigoler sans qu'aucun son ne sorte de sa bouche.

Je sourie puis, comme étant gêné, me tourne dos à elle. Je ne vois pas ça réaction, mais je sais au moins que rien que le fait que je sois là la rassure.

Je sens une main sur mon dos. Elle bouge ses doigts le long de ma colonne vertébrale en faisant des petits cercles. C'est assez agréable. Et, alors que j'allais m'endormir, je me rend compte que ses « caresses » sont enfaite des lettres !

Un y, un u, k, i, n, et un o. Yukino ?

Elle continue d'"écrire". Un a, i, de et e. Aide. Yukino l'aide ?

Pensant que c'est fini, je ferme les yeux en y repensant, mais elle continue.

Les lettres forment le mot dangereuse.

Yukino, aide, dangereuse ? Qui est Yukino ? Et pourquoi l'aide t-elle ? Et surtout, qui est-ce qui est dangereuse ?

Toutes ses questions se bousculent dans ma tête alors qu'une partie de moi me dit d'y penser plus tard et de lui demander demain.

Le sommeil me rattrapant, je ferme les yeux et me retourne dans une position plus confortable, me trouvant donc nez à nez avec son visage paisible mais aussi un peu apeuré.

Je lui sourie avant de refermer mais yeux pour de bon. Je sens, juste avant de rejoindre les bras de Morphée, une chaleur agréable contre mon torse alors que je passe mes bras autour de celle ci, comme pour lui faire un câlin.

Quand même, est-ce que c'est la relation que doit avoir un infirmer avec son patient ?

Pense au présent ( todomomo )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant