𝙾𝚗 𝚗𝚎 𝚏𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚕𝚞𝚜 𝚚𝚞'𝚞𝚗 ( en correction )

29. Père dangereux

PDV QIANA

Nous étions rentrés à la maison et j'avais la tête en l'air, Nicky l'avais remarquer et s'approcha de moi , s'assît sur le canapé et me dis :

— Si quelques chose ne va pas tu me dis bébé hein ? *

— Tout va bien. * réplique je indubitablement

Je n'allais quand même pas lui dire que j'ai été menacée par mon père, qui est un type très dangereux pour lui.

Je reste cependant dans une bulle imaginaire a pensé et à me morfondre qu'est-ce qui vas se passer, et quand.

— Aujourd'hui est l'obtention de notre diplôme de fin d'année tu ne vas pas rester comme ça tout la journée* me dis Nicky, Je sais!! tu va sorti avec tes copines. Je ne sais pas aller au spa ou faire les boutiques des trucs de fille quoi qu'est-ce t'en dis ?

— Heuuu j'ai pas envie de sorti. * répond je tout court

— Fais pas la rabat-joie il n'est que midi. * Ajouta Nicky

Ah c'est vrai et on n'a toujours pas encore déjeuner.

— Merci mais je pense que je vais aller préparer quelques chose à manger s'est mieux.

Je me dirigeais vers la cuisine et m'assis sur la chaise comptoir histoire de respirer un peu.

Je fais sorti mon téléphone de ma poche et le déverrouille, je pianote mon téléphone jusqu'à ce que je reçoit un message de Johan Becker, mon père.

Mon sang se glaça d'un coup, je sentir comme une vapeur m'envelopper, des gouttes de sueurs imaginaire pelais le long de mon visage.

Ma main suait, chose qui m'arrive lorsque je suis stresser, mais bon sang papa comprend pas que je l'aime et que je ne veux pas me séparer de lui ?

J'ouvris le message et commence a le lire.

PAPA <<Salut ma chérie toute mes félicitations je suis vraiment fière de toi, si ta mère étais encore en vie. Tu sais tantôt que je viendrai te chercher dans les jours qui suivent surtout n'en parle pas au petit Allan sinon il mourra je fais ça pour ton bien et si tu tente quoi que sa soit j'enlève la petite Allan. Tu sais tu manque énormément à Marie elle a envie de revoir sa petite chérie. je t'aime à bientôt !>>

Mes larmes manquaient de dévaler mes joue, Marie ma nourrice depuis que maman est morte, a pris soin de moi, m'a bercé ma protéger des activités lugubre de mon père, je la considère un peu comme ma deuxième maman.

Même si j'ai pas eu la chance de connaître la première ...

Mes larmes coulaient maintenant qu'allais je devenir sans lui, je ne peux pas me résigner je vais tenter de le raisonné.

Moi <<Papa si tu m'aimes laisse moi rester au près de l'homme que j'aime s'il te plaît, tu voulais être avec maman tu l'a été non alors pourquoi pas moi?>>

J'écris ce message avec une rage profonde quand j'entendis les cris d'enfants provenant du salon

J'essuie vite mes larmes et me mettais à cuisiner le repas.

— Qiana ! Qiana ! * cria les jumelles et Milla

— Ça va les enfants ? Vous avez passer une bonne journée * dis-je

— Oui et même qu'on a terminer l'année aujourd'hui * réplique Lala

— Ah mais c'est super ça du coup vous serrez là toute l'aprem pour nous peter les oreilles c'est ça * dis-je en riant pour oublier mes soucis l'espace d'une seconde