Chapitre 12

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Nous entrâmes directement dans un séjour très sombre. Le parquet au sol était en chêne noir, et les murs étaient en pierres beiges et apparemment anciennes. A notre droite, un mur de couleur noir comportait une ouverture. A gauche, une porte fermée. Dans la pièce, absolument aucun meuble hormis un petit téléviseur des années 80. Cette pièce bien que je ne puisse dire en quoi, me mettait extrêmement mal alaise.

- Voici mon séjour. A droite, il y a la cuisine, et à gauche, il y a un couloir, n'y va pas, c'est mieux pour toi. M'expliqua-t-elle d'une voix dure.

- D'accord.

- Tu veux boire quelque chose ?!

- Euh... Oui, je veux bien.

- Va te servir dans la cuisine !

- D'accord.

J'allais dans la cuisine et appuyais sur l'interrupteur, mais la lumière ne s'alluma pas, après plusieurs essaie, j'abandonnais et utilisais mon téléphone. Je détaillais alors la pièce. Au sol, le même parquet que dans le séjour, les murs étaient marrons, La seule fenêtre de la pièce était condamné de l'extérieur par des planches en pin. Quant à la cuisine en elle-même, elle ne comportait pas d'électroménager à part un réfrigérateur noir à gauche de la pièce. A part cela, il y avait des placards très abimés en chêne et un plan de travail en marbre noir était fracassés à plusieurs endroit. Je me dirigeais vers le frigidaire et l'ouvrais. Soudain, une odeur nauséabonde envahis la pièce. Je cachais mon nez avec ma manche et reculais.  Les effluves pestilentielles qui émanait me piquait les yeux. Après une à deux minutes, je réussi à les rouvrir. Le frigidaire n'était pas éclairé. A l'aide de la torche de mon téléphone, j'y découvrit un spectacle immonde. La nausée m'envahit pendant que je reculais à l'autre bout de la pièce. Mes yeux pleurait à cause de l'odeur. Ma gorge était serrée et menaçait de rendre son dernier repas. Les hauts le cœur m'envahir. Là, se trouvaient des aliments, ou se qu'il en restait. Je n'arrivait même pas à deviner ce qui se trouvait avant dans ce frigidaire. De grosses taches jaunes, vertes ou même brunes, des bouts de je ne sais quoi noirs, rouges, marrons, jaunes, et surtout, de grosses mygales qui se dépêchaient de s'échapper de leur prison. des mouches, des vers, des cafards, des perce-oreilles et pleins d'autres insectes dont je ne connaissais pas les noms Tous gigantesques

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Ne lisez pas cette histoire ! (en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant