Ne lisez pas cette histoire ! (en réécriture)

Chapitre 15

C'était apparemment un salon, il était très sale et très délabrés. Tout les meubles étaient fracassés. Les murs et le sol été de couleur brune. J'avais l'impression d'être observé. J'avançais dans la pièce. Et tournais sur moi même. La chose à la capuche était là.

<< Pourquoi n'écoutez-vous donc jamais ?!! Voulez-vous mourir ?!! Etes-vous suicidaire ?!! Si nous vous mettons en garde c'est qu'il y a une raison !!! Part pendant que tu peux ! >>

- Pourquoi ?! Qui a-t-il ?! Il sourit avec un mélange de tendresse et de pitié et s'évapora.

Je sortais du petit salon et entrais dans la pièce d'à côté. La fille était là, assise comme à son habitude sur une chaise. Elle me regardait sans un mot. Je ne la quittais pas des yeux de peur qu'elle ne s'approche.

<< Tu es plus bête que je ne pensais... >> Me dit-elle d'une voix rauque.

- Pourquoi dont ?

<< Tu as vu des fantômes, des cadavres, du sang, cet endroit est très glauque... Et tu t'obstines à continuer... Je me demande si tu es courageuse ou... Vraiment très bête... >>

- Mmh... Le deuxième je dirais !

<< Tu ne peux pas t'empêcher de provoquer les gens ? Même les spectres ! >>

- Je te répond juste !

<< T'ai-je demander de me répondre ?... >>

- Non, mais...

<< Il n'y a pas de "mais" je ne t'ai rien demandé... >>

- Oui maman. Ses yeux devinrent noirs.

<< Dégage !... >>

Je partit très vite. Plus vite que je n'étais venue. La porte suivante était en fer. Elle avait l'air épaisse et dur comme la pierre. J'essayais de l'ouvrir, sans y parvenir. Alors je donnai de grands coups de pied près de la serrure pour la faire céder. Quoi ! Vous pensiez qu'on défonçais vraiment une porte avec son épaule ? C'est le meilleur moyen de se la déplacer ! Il faudrait avoir une épaule en béton et croyais moi, même les acteurs de film n'en ont pas. Au bout d'une trentaine de coups, la serrure céda enfin. Et la porte claqua contre le mur à l'intérieur de la pièce. Une femme était assise en tailleur sur un lit. Elle ressemblait à l'autre fille. Elle se mit à hurler. Je refermais la porte et elle cessa. Mais quelques secondes plus tard, je l'entendais gratter  à la porte et donner des coups. Elle cria soudain :

<< Meurs !! Profanatrice !! Meurs !! >>

 Je l'ignorais et rentrais dans la pièce suivante. Sur une table recouverte d'un drap blanc à droite de la pièce, il y avait un marteau et un pied humain qui reposait dans une auréole de sang. Devant moi,  siégeait contre le mur une banderole avec écrit dessus avec du sang frais : Vous ne m'échapperez pas. Et des outils étaient accrochés sur un fil au dessus de la table. Des scies, des couteaux des ciseaux... Je ressortais écœurée. Dans la pièce d'après, il y avait deux lits vieux et sales. Il ne me restait qu'une salle. La porte était la même que celle de la chambre de la femme folle qui criais. Je l'ouvrais et tombais sur une salle avec un lit dans le coin droit et une personne assise dessus la tête baissée. Je la refermais immédiatement. J'étais au bout du couloir. Soudain, la porte d'entrée claqua. Astrée ! Je me retournais mais... Le couloir avait changé, il été plus sombre, plus étroit. Et au lieu du parquet, au sol, se trouvait un carrelage délabré. Les portes grincèrent et s'ouvrirent devant mes yeux ébahis. J'étais effrayée. Je décidais de courir à l'autre bout du couloir pour échapper aux fantômes. Quand soudain, la première porte s'ouvrit et laissa apparaître Astrée. Ses pupilles étaient maintenant blanches. Elle me regardait.

<< Tu n'aimes décidément pas les règles Yua ! >> Dit-elle d'une voix sifflante.

- Astrée ? Que ?...

<< Que t'arrive-t-il ? Je t'avais prévenue ! Maintenant tu vas mourir ! >>

- Qu'est ce que cet endroit ? Tu es morte ? Peux-tu m'expliquer avant de me tuer ?

<< Tu es dans la maison de mes parents. Nous avons étaient victimes du même démon que tes petit amis et toi ! Tu as sans doute vu ma sœur, la fille aux cheveux noirs et à la robe blanche, mon frère, avec sa "fameuse" capuche, ma tante dans la première cellule fermé. Mon père, il aime bien la salle de bain, avec son peignoir noire. Mon neveu, dans la deuxième cellule. Le cadavre de mon oncle Jacob, dans la cage, et le pied de mon oncle Bryan. En effet, nous sommes tous morts y compris moi. >>

- Mais pourquoi avoir essayé de nous aider ?

<< Je veux que ce démon paye ce qu'il a fait ! >>

- Si tu me tues, j'aurais du mal à lui faire payer !

<< Oui mais il reste Elliot ! Et toi petite sotte tu t'es aventuré une fois de plus au mauvaise endroit ! >>

...