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Pour féter son nouveau job, Athina avait donné rendez vous à la place Morriganne en plein centre ville. Elles s'était retrouvé à la station de Buzug. A par la bouche de la rame du train sourtéraint qui était morderne, tout le centre de Mirabilis avait concervé son aprect historique, les immeuble du XIXe siècle contaoyer les batisse médiéval. Les deux femme s'éloignèrent de la place pour gagné les petit rue adgeance, elle évitère la petite rue Dyos surnommé rue de la soif pour trouver un bar plus calme. La place Morrigane était le rendez vous de beuverie de tout les étudiant de Mirabilis. Elles était annimé toute l'année et les fée bacchantes qui tennait les bars ne faissait qu'entretenir le fêtes. On oubliait rapidement le compte des heures, surtout porté par la musique et la boisson.

En antrant dans le café, Ysaline salua le minautor derrière le bar. Il lui répondit d'un clin d'oeil. La présence de la frontière était si forte dans cette partie de la ville que les fée et humain pouvait vivre à proximité. Les deux femme montèrent à l'étage. Le bois de l'escapier était couvert de feuille, il sembla frémir sous leur pieds. Ysaline remarque les jeune émécher au fond de la pièce. Des faunes et des nymphe jouait de la musique pour des étudiantes et étudiants mort de rire. Ils n'était pas près d'oublié la nuit qu'ils allait vivre. Ysaline se rappella ce qu'elle avait put vivre. Les faunes et les numphe était des amants extraordinaire, mais les relation de couple et amoureuse était loins d'être leur forts. Mieux valait évité de tomber amoureur.

Ysaline rejoignit Athina qui s'était installer à une table du fond. Elle n'était pas seul sur la banquette. Valériane la seur benjeamine des trois moir était la aussi. Elle avait remonté ses cheveux aubune en une longe tresse, laissant sa mèche blanche tounoyé le long de son visage. Elle semblait plus rayonnante que jamais. La pyromancienne sourit à la nécromancienne quand celle si s'assit. Ysaline était heureuse quoi que un peu surprise de trouver l'une des soeurs à sa table.

— Tu semble allait bien, déclara Valériane en tentant de brisé le silence.

Ysaline avait joué bien plus que la morte ces dernier temps. Sans les régulier rapport d'Athina, ses proches aurait bien pu la croire disparue de la terre.

— Ça va et toi quoi de nouveaux.

Valériane et Athina échangèrent un long regard, avant déclater de rire. Il fallut une seconde à Ysaline pour comprendre l'évidence. Elle s'était assise tout deux l'une à coté de l'autre. Elles semblait devoir maitrisé leur corps, leur muscles pour ne pas se touché. Athina avait changer ses dernier temps. Elle était plus lumineuse plus enjoué, son monde était devenue enchanté. En voyant les deux femme cote à cote. Il n'y avait plus de doute à avoir sur leur relation. Ysaline se put retrnir l'immence sourir qui étira ses lèvres.

— C'est magnifique, s'émerveilla la nécromancienne. Comme imaginé plus beau couple. On traique à ça !

— Et à ton nouveau jobs, ria Athina en faisant signe à la serveuse, une naïda toute en courbe.

Il ne fallut que quelque seconde à la naïde pour revenir avec des pinte de cervoise mousseuse et dorée. Les trois femme trincèrent dans un belle échange. Après avoir bu un bon tière de son verre, Ysaline posa la question fatidique.

— Ça va faire combien de temps ?

Les deux compagnes se fixèrent un moment avait de formuler une réponce.

— Quatre mois.

Ysaline s'étrangla. Elle avait été dans un sacré coltar pour ne rien voir. Elle vivait dans le même appartement qu'Athina depuis plus de six mois et cette situation lui avait complètement échappé. La nécromancienne avala une groger supplémentaire de bierre pour se donné de courage. Elle fixa ses deux amies qui se picoré le cou tendrement.

— Je pense qu'il serait bon que je me trouve un nouvelle aparte, déclara-t-elle.

Les deux femme s'immobilisère, génnés.

— Non, surtout pas, la rassura imédiatement Athina. Je veux pas que tu parte ou que tu te sente mal à laise à cause de nous. On en à beaucoup discuté avec Valériane et on veut attendre avant d'habité ensemble.

— Je me sens pas encore prettre à laissé Vanda et Violette. On n'a pas finit de remboursé les traitre du magasins. En plus Violette voudrait faire une thèses, elle aura peut-être une bourse l'année prochaine. Mais rien n'est fait, réctifia Valériane. En plus on veut se donné du temps.

Ysaline se sentit quelque peu soulager. Elle promis quand même de cherché un apparement. Les deux amantes se fixèrent un instant et échangèrent quelque messe basse.

— Qu'est ce que vous me cacher ? demanda Ysaline dont le ton révéler l'angoisse montante.

— Allez dit lui, ainsista Valériane.

Athina pris une profonde inspiration et son visage devint très sérieux, expression qu'elle prennait pour annonce à ses cliens que la situation était loin d'être gagné ou les très mauvaise nouvelle.

— Surtout ne te fache pas.

— Tu me fait peur, s'alarma Ysaline.

— C'est au sujet de Ryoma, lança Valériane.

— Mon chat !

— Ne le prend pas mal, tempéra Athina. Mais il nous met vraiment mal à laise. Il a une façon de nous fixé, il gratte à la porte de la chambre le matin, il se cache sous le lit.

— On a le sentiment d'être observé, il serait pas voyeur ou pervers. Pitier ne me dit pas que c'est un sorcier qui ses tranformer et est maintenant bloquer sous la forme d'un chat, suplia Valériane.

— Bien sur que non, se défendit Ysaline qui se sentait attaqué. C'est un nékomata. Il a toujours été bizarre, mais je vais pas l'anbandonné pour une raison aussi idiote.

— On ne te demande pas ça, mais pourrais-tu le prendre avec toi quelque heure. C'est nos cinq mois se soirs et on aimerait, tu vois, répliqua Valériane.

Ysaline vida sa peinte d'une traite.

— J'ai compris, je vais chercher Ryoma, vous avez l'appartement pour la soiré.

— Tu savais ou tu vas aller dormir ? demanda Athina.

— Chez madame Ardakamie, elle prendra Ryoma le temps que je trouve un appartement comme ça, il ne vous embêtera plus.

Les deux amantes semblairent très soulager de cette nouvelle. ALors qu'Ysaline s'en aller, l'ogresse ne peut réprimer la question qui lui bruler les lèvres depuis qu'elle avait rencontré la nécromancienne et son chat démon.

— Au fait tu l'as récupérer comment ce chat.

Elle n'optint jamais de réponce.

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BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'AmarokOù les histoires vivent. Découvrez maintenant