Damien se rappella enfin où il avait vue l'adolescent quand la porte d'entré souvrit sur Suzanne et Franck, aussi grand que gros l'un que l'autre, mais un visage tellement sympathique que l'on avait envie de les apprivoiser tous les deux. Ils s'était rencontré l'ors de la première transformation de Damien au centre de transformation. Ils y en mener leur fil depuis plus de cinqs ans. Tristan avait été transformé à l'age de douze ans. En se remémorant tout cela, Damien comprennait mieux pourquou le louveteaux se sentait plus Lycan qu'humain.
Suzanne ouvrit des yeux terrorrisé en les voyant entré. Il fat remarqué qu'ils n'en menait pas large tout les deux. Même s'il ne restait aucune marque, il était claire que Tristan s'état fait tabassé et Damien était couvert de sang sécher des pieds à la tête.
— Mon dieux, s'écria Suzanne en les faisant entré de force. Qu'est ce qui c'est passé !
Ils se retrouvèrent tout les quatres dans le salon cuisine. La maison des Thiegen était petite mais chaleureuse. Tristan s'affala sur le canapé devant la télé. Damien jeta des regard discret au photos qui couvrait les murs, les meuble et la cheminé. Des photos de voyage, de la familles, des parents, des amis, des défunts, des souvenirs, il y en avait assez pour comblé des dizaine de vie. Tristan tronnais sur la plus pard d'entre elle. Ils y en avait même une sous sa forme de loup. Franck dormait dans son sac couchage et derrière la vitre un énorme loup brun le regardait assit. Suzanne ouvrant grand la bouche et le loup brun baillant de l'autre coté de la vitre. Damien ignorait si sa mère pourrait le supporté de le voir ainsi.
— Je me suis fait attaqué par des vampire en rentrant de chez paul. Damien m'a sauvé, sourit Tristan. Je crois pas qu'ils reviendront m'embêter de sitôt.
— C'est la deuxième fois, cette année. On va porté pleinte maintenant ! rugit Franck en attrapant sa veste.
— Mon amours, je suis pas sur que se soit une bonne idée, répliqua Suzanne en fixa le t-shirt blanc de Damien. Il est dans quelle état le vampire.
— Décapité, lança Tistan, effonté.
— Bon bas, sa règle le problème, soupira Franck.
— Non, sa règle rien du tout, les sermona Suzanne. On ne règle pas les problème avec de la violence. Mais merci de l'avoir tiré de se mauvais pas.
— Alors, on les règle comment avec les vampires et je te parle même pas des louvetiers. On sait tous que Damien c'est fait attaqué, pourtant à la télé, il arrête pas de dire que c'est lui l'agresseur.
Suzanne et Franck gardèrent le silence, géner. La femme posa sa main sur l'épaule de Damien.
— On sait que vous y ête pour rien. C'est pour ça que vous vous caché depuis des mois ?
Damien la fixa sans comprendre.
— Je me cache pas, j'étais bloqué en féérie avec une meute de loup. Très sympas, il te plairait, sourit Damien en regardant Tristant avant de se retourné sur Suzanne. J'arrivais pas à retrouver mon chemin, c'est une terre mouvente, même les montagnes se déplace. En plus on perd vite la notion du temps. On est quel jours d'ailleur ?
— Le 17 déscembre, vous avez disparue depuis plus de six, l'informa Franck.
— Regarde, sourit Tristan. T'es devenue une star.
Damien attrapa le portable de l'adolescent et regarda la vidéo filmé par l'un des louvetier.
Ils était devant la maison de sa mère. Elle se tenait sur le seil, droite digne. La caméra passa dans son dos. Il vit le louvetier s'approcher de son oreille. Il aurait put prononcer les mots qu'il allait craché avant qu'il ne sorte de sa bouche. C'était eux qui avait tout embrasé.
— Après s'être occupé de toi, on va aller voir ta p'tite sorcière. On n'est pas fan des charognes, mais on n'est pas difficile.
La seconde d'après tout devint incohérent. Les hurlement ressonnèrent. La caméra tomba au sol et filma le ciel noir. Des paroles incohérente resonairent. Une main apparue, la caméra bougea trop vite pour que l'on puisse comprendre quoi que se soit, puis elle se figea sur un loup noir gigantesque. Il fixa une seconde la caméra et poussa un grognement sinistre avant de s'enfuire à toute vitesse.
— On va le massacré ! rugit le caméraman en courant vers une voiture.
Il retourna la camera vers son visage haineux.
— On va tuer le loup, si les cabot peuvent se transformé en dehor des pleinne lune, il faut tous les abattres. Il sont trop dangereux. Nous devons protéger les humains !
La vidéo s'arrête. Damien reste silencieux. La gorge sèche. Il rembobine et s'arrête sur l'image de son loup noir. Il avait refuser de voir la photos qu'avait prise de lui Ysaline. Il ne s'était jamais vue sous cette forme.
— En tout cas tout le monde s'est accorder pour dire que vous ètes très beau, sourit Suzanne.
— Je croyait que s'était moi le plus beau, s'insurgeait Tristan.
— Toi tu es mignon, c'est différent, se moqua sa mère.
Damien ne répondit rien. Il resta à regarder l'image flou du loup. Il aurait aimé le connaitre. Il l'avait protéger et lui l'avait haïr. Il n'hosait pas imaginé à quoi ressemblé le monstre sous sa peau.
— Escusez-notre impolitesse, vous avez manger ? demanda Franck.
Le lycan leva les yeux du portable et le rendis à Tristan.
— Rien depuis mon retour de féérie j'ai une faim de loup, blagua Damien.
— Moi aussi j'ai faim ! lança Tristan.
— Allez d'abbord vous lavez, Franck va vous donné des vêtement propre. Je m'occupe du dinnée. La salle de baim est à l'étage Tristan va vous montré et se laver les crocs ! Moi, je m'occupe du dinée.
..........................................................................
Tu aimes cette histoire. S'il te plaît, petit lecteur fantôme 👻 vote et commente. Je touche pas de salaires pour cette histoire et trouver un éditeur n'est pas simple. Donne-lui de la visibilité si tu l'aimes, ça te prend 20 secondes et moi ça fait ma journée.
Laisse un cœur ❤️ en com's et un vote, pour la visibilité de cette histoire.
Encore merci petit 👻(),()
( ' ; ' )
(,,)---(,,)
VOUS LISEZ
BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'Amarok
ParanormaleTome 2, Pensez à lire le tome 1 les augures de la sorcière. Résumé Spoiler TOME 1. Ysaline ne peut plus se voiler la face. Elle est une banshee. Si être une nécromancienne n'était pas simple, devenir une fée de la mort est pire, car les fées n'ont p...