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Anna préparait le petit déjeuné comme tout les matin. Il était à peine huit heure. Elle méttait la table pour Rayan, Camille, Jonas et elle. Sa fille et son petit filles était venue passé la semaine avec elle. Depuis la disparition de son Damien, Anna ne dormait plus, ne mangeait plus. Rayan ne saivait plus quoi faire pour ne pas laissé sa compagne sombré. Camille s'était réinstaller chez sa mère avec son garçon. La présence de Jonas avait redonné de la force à Anna qui ne pouvait pas se laissé dépérire en présence de son petit fils. Rayane avait finit par demande à Camille si elle ne voulait pas rentré chez elle. Camille avait finit par avoué qu'elle était en instance de divorce. Rayane n'avait plus rien demander.

Anna s'arrêta en plein geste. Elle constata qu'allors qu'elle métait la table. Elle avait machinalement rajoué un couvert. Les larme lui montèrent au yeux. Elle ne l'avait pas fait depuis des semaine. Elle s'appréta à retirné l'assiette quand on sonna à la porte.

Camille fixait le plafond de sa chambre d'enfants. Sa mère n'avait jamais eut le courage de retiré les poster de chanteur de pop accrocher au mur. Elle restait étendue sur son lit double assez grand pour lui permetre de dormir avec Jonas. Elle avait hésité un moment à installer son fils dans la chambre de Damien. Sa mère ne l'avait pas proposé non plus, Jonas n'avait pas réclamer à dormir seule. Personne dans cette maison n'avait eut le courage d'ouvrir cette porte.

Cette attente rendait tout le monde fou. Ce moment de suspent où son frêre était ni-viviant, ni-mort. Dans un entre deux, trop vivant pour pouvoir faire son deuil, trop mort pour poursuivre sa vie comme si rien n'avait changer et cette espérance absurde, cette foi de croyant qu'il allait un matin passé la porte. Camille n'en pouvait plus de cette situation. Elle avait pris contacte avec un avocat pour savoir comment elle pouvait faire pour déclarer son frêre mort. Sa mère allait lui en vouloir. Mais elle espérait que cette colère l'oblige à sortir de la létargie dont elle sombrait de plus en plus chaque jours.

L'envis d'aller pissé devenait pressante, pourtant Camille n'arrivait pas à bouger. C'était comme si son cerveau était dans l'incapacité de déclancher l'action. Elle restait là, étendue à fixé le plafond blanc recouvert d'étoile en plastique fluorescente. C'était la même impression que quand on a un mot sur le bout de la langue. Incapable de bouger, elle venait couver aussi une dépression. Son portable vibra.

Camille eut la force de tendre le bras pour regarder qui lui écrivait. Connard lui envoyait un message. « Il faut qu'on parle. » Camille poussa un soupire. Elle avait changer le nom de son future ex-marie par cette insulte, c'était le seul truc qu'elle avait trouver pour garder sa colère intacte. Il n'avait jamais eut son nom inscrit comme contacte, mais toujourd des surnon, Beau gosse, Amour, l'homme de ma vie, Mon chère Marie, le père de ton fils, Connard. Cela couvait depuis un moment, elle aurait du s'en rendre compte. La situation avec Damien avait été l'élément déclancheur de leur séparation. Quand Connard avait apris que Damien était devenue un Lycan, il avait refusé que Jonas s'approche de lui. Il était obséder par cela, thérorisé que Jonas soit contaminé. Camille avait trouver cela complèment absurde. Par la suite, ça avait complètement dégénérer. Il ne voulait plus que Jonas soit garder par sa grande-mère maternelle, qu'il puisse se retrouver dans une pièce ou avait put être Damien.

Camille n'avait jamais été très progressiste concernant les loup-garoux. Elle prennais consience à qu'elle point son ex-marie avait put l'influence dans ses croyances. Tant qu'elle ne connaissait pas de concerné, tout cela restait très floue, sans réelle concéquence. Quand elle avait apris pour son frêre, tout était devenue brutalement réel. Elle ne pouvait plus faire semble, croire que ça n'avait pas d'importance. Damien ne pouvait pas être traité comme un citoyen de seconde zone. Elle ne pouvait plus le supporté. Il n'avait rien fait pour mérité cela. Il était simplement un garou.

Camille se remémora la dernière dispute qu'elle avait eut avec son ex-marie. Damien venait de disparaitre et ce connard ne trouvait qu'a s'en réjouir. De colère, elle lui avait demander comme réagirait-il si Jonas leur apprennait qu'il était un garou. Son regard s'était rétrécie. « Jamais, sous mon toit. » Camille en avait blanchit de terreur, avant de voir rouge. Sa colère avait été telle qu'elle l'avait menacé de ne plus jamais revoir son fils. Elle était monté à l'étage, avait ramassé le sac de voyage qu'elle caché depuis des semaine dans son placard. Il était déjà pleins de ses affaires et de celle de Jonas. Elle était aller cherché son fils endormie et l'avait pris. Son ex-marie avait tenté de s'opposé à leur départ. Camille lui avait dit qu'elle partait cette nuit quoi qu'il arrive. Il avait tenté de l'amadoué, elle n'avait rien lacher. Quand il l'avait menacer pour garder Jonas. Elle avait accepté de lui laissé son garçon en lui rappellant tout ce qu'il fallait faire pour s'occuper de lui. Le père pris brutalement consience de la charge de travail, de l'organisation, du temps pour élever un enfant. Camille avait organisé son temps dès la naissance du petit, lui n'avait rien fait. Ils passait leur week-end ensemble et leur vacances. Il lui arrivait de le déposé à l'école et d'aller le cherché, mais la plus part du temps, il lui faisait un bisous au lit quand il rentrais le soire. Il ne s'était jamais préocuper des horraire d'école pour lui évité la garderie, des entrainement de foot le mercredi après midi, des cours de guitard, de dessin, des rendez-vous chez le médecin, l'ophtalmos, le dentiste, l'orthofoniste. Camille gérait tout ça tout le cotidien, elle lui disait ce qu'il devait faire et il n'avait qu'a obéir. Il ne s'était jamais préocuper des repas, des course, du menage, du linge. En cette instant, cela lui sembla plus simple de laissé Camille prendre Jonas. C'était mieux pour son fils. Le mieux pour tout le monde.

« Il faut qu'on parle. » La lacheté de son ex-marie devait le travaillé. Camille savait que sa ne durerait pas longtemps. D'ailleur, elle avait elle même exager son propre sacrifie auprès de son fils. Sa mère en faisait plus qu'elle pour s'occupper de Jonas et encore plus aujourd'hui que Camille n'était pas en état de sortir de son lit. Il ne faudrait pas longtemps pour que son ex-marie trouve la parade pour s'occuper de Jonas, grace à l'aide d'une autre compagne ou même de sa mère.

ALors que Camille fomantait un plan de vengeance envers son cher Connard et tentait d'oublié son envis de pissé car elle n'arrivait toujours pas à sortir de son lit. La sonnette de la porte resonna dans toute la maison, suivit du rafut de Jonas qui cavala pour l'ouvrir. Il en suivit un grand silence, puis le fraqua d'une assiette brisé sur le carelage. La surprise du bruit fit se redresser, Camille et lui donna l'impulsion qui lui manquait pour se lever. Elle enfilla un vieux t-shirt trop long et un vieux jogging qui trainé au sol et sortir de sa chambre d'enfant. De l'étage Camille entendie sa mère pleurer. Elle descendue les escalier tout doucement le coeur batant.

« Tu es rentré. Tu es là. »

En entandant sa mère prononcé ces mots, Camille manqua d'en dévaler les marches. Elle s'assit, immobile, attendant de se réveillé. Mais le rêve demera. Elle vit Jonas se planté devant elle et agité les bras. Elle ne l'entendait pas. L'instant d'après un fantôme se tenait devant elle, serrant sa mère contre lui. Les yeux de Camille se remplir de l'arme. Il était plus mince et plus musclé que dans son souvenir. Ses cheveux avait poussé et ses yeux ambré semblait rougeoyait. Mais appara ça c'était bien son frère qui se tenait devant elle comme si de rien n'était.

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BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'AmarokOù les histoires vivent. Découvrez maintenant