BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'Amarok

☾9

Damien errait dans les rue de Mirabilis. Il était sortie de la cripte déboussoller. Les vampire lui avait offert des vêtements. Il l'avait fixé comme un revenant. Ce qui l'était pour ainsi dire. Dalia avait été soulager de le voir partir. Lui ne savait pas vraiment où il allait. Il se laissait divager. Heureux d'avoir retrouver sa cité. Il était mort, cela il en était sur. Maintenant, il ne l'était plus. Il n'arrivait pas vraiment à se rappeller ce qu'il avait vécue en féérie. Tout s'embrouiller dans son crâne. Il aurait du aller retrouver sa famille. Sa mère et sa soeur devait être tellement inquiète. Mais il préférait qu'elle le croivent encore en féérie. Il ignorait ce que lui avait fait la faucheuse, ce que cela impliquait. Il était devenue son chasseur. Qu'est ce que cela impliquait.

Il eut une pensé pour Ysaline. Il n'aurait pas du lui crié dessus, lui dire des choses aussi horrible. Elle n'était pas responsable. Il s'était mis tout seul dans les emmerdes. Qu'aurrez-t-il fait si les role avait été ? S'il l'avait retrouver morte ? Il aurait peut-être même fait pire. Orphée n'avait-il pas franchit le styx, défié Hadès pour sauvé Euridice et finir par échoué. Qui n'aurait pas tout tenté pour revoir une dernier fois son Euridice.

Il hésita un instant à aller la retrouver. Elle s'était surement réfugier chez madame Ardakamie. Il en était sure. Il aurait put. Il connaissait le chemin. Mais quelque chose avait changer en lui. Il pourvait le sentir. Il n'était plus lui même. Il avait récussité tout de même. C'était plus étrange, il avait le sentiment diffut que son loup n'était plus là. Qu'un autre prédateur avait pris ça place. Un monstre ancien. Il le sentait remuer sous sa peau, enfouis au plus profond. Il n'était que latant. Mais il craigné de ce que cette bête pouvait être capable. Elle dormait pour l'instant au plus profond de ses entraille et ça lui allait bien. Il n'était pas présser de la rencontré.

Ce fut à peine si Damien remarqua que la neige s'était mise à tomber. Elle s'aglutinait et rapidement elle forma une épaisse couche au sol. La nuit noir recouvrait le monde. Damien avait oublié qu'on était en descembre.

Il se laissa divager entre les rue vide, jusqu'à rentré dans un coupe gorge. Les main dans les poches. La veste que lui avait donné Dalia ne le protégeait pas du froid. mais il ne le ressentait pas. De sa bouche ne sortait aucune brume.

— Hé Connard ! Dégage !

Damien releva la tête. Il n'avait rien vue. Son instinct l'avait guidé jusqu'à cette ruel, la mort l'appellait, à moins que se fut le hasard. Pourtant, la scène qui se déroulait devant ses yeux avait été prémédité. Un couple de primo-moroï entouraient un louveteau recroquevillé à terre. Les deux vampire avait été transformé à quelques mois d'interval. Ils n'avait pas un ans. Même si la législation française controlait fermemant les transfomation, mais il y avait toujours des dérives. C'est deux jeune n'avait même pas du donné leur consentement. Ils était jeune, tout juste vingt ans, d'origine asiatique, presque semblable, des jumeaux, d'une beauté angélique. Corps atlétique de statue grec, peau safrané, cheveux noir de jais raide comme des lame, court pour le garçon, long pour la fille, des yeux étrois sombre, malveillant, ils étaient ivre de violence. L'ors de leur première année de vie les vampire connaisse une période d'hyperviolence, ils perdent tout controle, toute moralité. S'il n'ont pas un strygoï suffisament puissant et présent pour les contenir ils peuvent ravager de cité enthière, commètre des massacre sordide. Mais en les regardant Damien perçut que se n'est pas la folie qui les animes. Ils n'avait pas choisit leur proie au hasard.

Akira et Misako pouffèrent de rire, en voyant le grand garou se dresser devant. Ce type jouait les dure, mais il avait l'air d'un clochar avec ses dred sale et sa barbe drue. Ils étaient veune cassé du loup. Il pouvit bien le faire à un plus gros. Il n'aitait pas rare que les vampire s'en prenne au loup. Les lycans ne pouvaient pas l'emporté. Il n'était que plus puissant qu'une nuit par mois, ils était trop désorganisé. Ils n'avait pas l'imortalité. Alors le moroï s'en prennait au louvetau et tout le monde s'en foutait.