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Ysaline est parvenue à se perdre dans le batiment. Elle finit par s'arrêté en bas des marches, incapable davancé. Elle se sent épuisé. Comme si l'abscence de son ames l'imibilisé. Elle entend des pas s'approché et quelqu'un s'assoit à cotté d'elle. Elle ne réagit pas. Elle sent la chaleur qui s'emmane de se corps. Elle n'ause pas tournée la tête.

— Je suis désoler, murmure Damien. Je n'aurais pas du te dire des dire des chose aussi afreuse. J'était perdue et terrorrisée. J'aurais du te remercier et pas te hurlé dessus.

Ysaline resta silencieuse un long moment. Un rire nerveux lui monta dans la gorge, elle commença en secouat des épaule avant que le son ne sorte de sa gorge et qu'elle ne se brise en sanglot.

— Tu veux savoir la vérité, tu as raison, je fais n'importe quoi et plus j'essaye de réparé quelque chose, plus je fais de connerie. Tout est de ma faute. Le cerbère à pris l'âme de madame Ardakamie, j'ai rien put faire. Elle était sur le point de le conjuré et toi avec. J'ai pas réfléchis, je voulais juste l'arrêté, te protéger et le cerbère lui a volé son âme.

Damien resta silencieux, en étât de choque. Son cerveau n'arrivait pas a assimilé l'information. Comme pour appuyé le dire de la jeune femme. Le monstre dans son crâne fit remonté des images à sa mémoire, des flash, Ysaline, la neige, les goules, Madame Ardakamie, le sort de conjuration, la brulure, l'âme brillante entre ses mains. S'il n'avait pas vue son propre reflet monstrueux dans la fenêtre du salon. Il ne l'aurait jamais crue.

— C'est pas possible, murmura-t-il en se prenant la tête entre les mains.

Damien tenta de calmé la panique emballa son coeur. Il ne pouvait pas prétendre à la légitime défence cette fois. Il ne comprennait pas pourquoi Ysaline le couvrait. Même s'il n'était pas conscient de ce qu'il faisait, il n'en était pas moins responsable.

— Pourquoi tu m'as pas dénoncé ? murmura Damien.

Ysaline inspira. Elle sentit son coeur s'alléger.

— C'est moi qui l'ai provoqué, si je l'avait laissé conjuré le cerbère elle serait encore en vie et peut-être que tu ne serait plus maudis, si je ne t'avait pas ressucité, tu n'aurait pas de cerbère, si je n'avais pas lié ton âme à celle de ton loup, si je ne t'avais pas entrainé dans ma chasse à l'érénie, si je ne t'avais pas demandé de venir au cimetière, rien de tout cela ne se serait passé. Tu vivrais une existence tranquille.

Se fut au tour de Damien déclaté de rire. Elle se reprochait littéralement de lui avoir sauvé la vie quatre fois, il était assi responsable qu'elle dans cette histoire.

— Dans ce cas, tout est de ma faute, c'est moi qui ai enclanché le premier dominaux dans toute cette histoire.

Ysaline se retourna sur lui. Elle le fixa de ses yeux claire. Damien remarqua qu'ils devenait argenté. Elle ne comprennait pas ce qu'il voulait lui dire.

— Tu as oublié, la première fois que l'on c'est rencontré. C'est moi qui suivenue t'abbordée, c'était au pot de dépard du chef de la police. Je patrouillais depuis un ans.

Le souvenir fit sourir Ysaline. Tout le monde avait été invité à cette soirée. Elle s'était caché dans un coins pour tenté déchappé au internet en médecine médicaux légal. Damien l'avait trouvé par hazard et l'avait libérer de son ennuit.

— La tête que tu as fait qu'en tu as appris que j'étais une nécromancienne, j'ai bien crue que je ne te verrais plus jamais, se moqua-t-elle.

— J'ai eut la trouille. J'ai jamais été très malin avec les filles, je me suis dis s'il n'y avait jamais rien de sérieux, sa ne pourrait pas faire de mal à personne. Je me suis toujour méfier des sorcières, vous vous protéger les une les autres et ça fait peur au mec. On sait que si on fait le con, vous nous ratterez pas. Dès le départs, il c'est produit un truc. J'ai sue que je pourrais avoir confiance en toi. Je sais pas comment te l'expliqué, mais quand j'étais en féerie, je me suis demandé ce qu'il se serait passé si tu n'avais pas été là. J'en connais des gens qui on été mordue par des garous, si ça n'avait pas été dans ce cimetière ça aurait put être ailleur et je m'en serais pas sortie. Tu n'as pas à te reprocher ce qui m'arrive, je le suis autant que toi. On est ensemble dans cette galère. Tu n'es pas tout seule. Je serais toujours là.

Damien passa son bras au dessus de l'épaule d'Ysaline et la serra contre lui. Ils restèrent ainsi un moment comme si bouger aurait put brisé le monde. Ils s'était retrouvé. Le garou sentit le monstre sous sa peau se calmé, comme si la présence de la nécromancienne le tranquillisé. Il ne comprennait pas bien sa relation avec Ysaline. Cela n'avait rien de classique. Il avait vécue trop de chose violente ensemble, trop risqué leur vie l'un pour l'autre pour s'oublié.

La sonnerie d'un téléphone portable brisa le silence. Les deux compagnons fouillèrent tout deux dans leur poche. Ysaline décrocha à la quatrième sonnerie de Diego.

— Qu'est ce qui t'arrive ? demanda la nécromancienne.

— C'est la maison, elle est devenue folle.

Ysaline garda le silence. Elle n'eut pas le temps de répondre. Diego lui raccrochat au nez. Elle fixa une seconde Damien qui lui sourit. Sans répondre, elle pris la fuite. Le Garou resta un long moment sur les marches à réfléchir. Il se concentra pour tenté d'entendre le cerbère qui resta silencieux. Il n'y avait rien à faire. Il n'aurait pas d'explication. Il allait devoir vivre avec cette mort sur la consience.

Un bruit de pas le fis se redréssé. Il avait entendue Nelia sortir du bureau et longer les long couloir. Il avait du mal à se faire à cette nouvelle capacité. ce n'était pas génant, mais étrange. Il pouvait sentir le monde bouber. Il pouvait prévoir le mouvement de chaque être vivant dans un périmètre de plusieur kilomettre, des rats courant dans les égouts au oiseaux plannant dans le ciel nuageux, à la mousse qui s'étant sur les arbres au plante et au chapignons perçant l'humus, ainsi que l'action de chaque être humains, juqu'à leur battement de coeur. Il suivit la course effréner d'Ysaline dans les couloir du commissariat, d'un mouvement de son corps qu'en elle évita de justesse de percuré quelqu'un. Il l'entendit dévalé à tout allure les marche de la station Kerdraon du Buzug et bondir pour sauté à temps dans la rame. Il remarqua qu'en se concentrant suffisament il pouvait la suivre à l'oreille jusqu'à la station Keltos ou elle d'écenderait pour retrouvé la maison de madame ardakami. Il pourrait la suivre dans tout Mirabilis, peut-être même jusqu'au bout du monde. Ce ne fut pas la main de Nelia se posant sur son épaule qui fit sursauté le Garou, c'est quand il réalisa ce qu'il n'entendait pas chez Ysaline. Son coeur ne battait pas.


BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'AmarokOù les histoires vivent. Découvrez maintenant