BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'Amarok

☾ 7

« Même si les amants se perdent, l'amour ne se perdra pas,

Et la mort n'aura pas d'empire. »

Ysaline se répéta la fin de la première augure de la Sorcière, la strophe du poème de Dylan Thomas. Et la mort n'aura pas d'empire. Elle sentit son coeur peser une tonne dans sa poitrine. Elle se sentait mourir, son chagrin la noyer. Elle avait perdue pied. Quand la nouvelle avait raisonné à son oreille. Elle en était presque tomber à terre. Beowolf l'avait rattrapé à temps. Elle s'était accrocher à lui de tout ses forces. Elle avait poussé un cris à en faire tremblé la terre. Sous leur pied le béton s'était fissuré. Quand elle avait été capable de bouger, le vampire l'avait conduit jusqu'à la cripte. Elle l'avait suivit comme une ombre.

Elle était resté étendue près du gisant. Elle n'avait pas prononcé un mots. Même mort, elle le trouvait encore beau. Elle regarda le carreau planté dans sa poitrine. Elle ne pouvait pas y toucher sans se bruler profondément la mains, comme tout les surnaturelles, elle était vulnérable au bois d'If dont était fait la flèche, à l'aconnite qui l'enduisait et a l'acier de Damas. Un combot terrible, des flèche pouvait abbatre n'importe qu'elle surnaturelle. Elle n'envait qu'ure de la soufrance, la douleur ne pouvait pas être aussi grande que celle qui lui broyait le coeur en se moment. Elle monda sur le gisant et place son pied sur la cage thorasite de Damien. Il allait lui falloirt de la force. Se n'était pas la peine de cherché à se proterger. C'est fèche était corocive, même avec des gants Ysaline serait bruler. Il faudrait des heure pour rendre la flèche inofencive et elle n'avait pas le temps pour une conjuration. Elle referma sa main sur la flèche, aussi tôt sa peau se mise à bruler. Elle se parsema de cloque et une insupportable audeur de chaire bruler emplit le cavot. Tenir cette flèche se fut comme plonger la main dans un brasier. Ysaline tira de toute ses forces. La flèche sortier dans un bruit mouillé. Un sang épais s'échapa de la plaie. Ysaline lacha la flèche de dégout. Sa main lui faisait un mal de chien. Sa chaire avait été comme ronger par de l'acide.

— Je viens de le retrouver, c'est pas pour le perdre maintenant, murmura la nécromancienne à elle même les dents serré.

Elle n'avait pas laché le visage de Damien des yeux. Elle entra en transe, ses yeux claire devinrent blanc vitreux. Ysaline lacha tout ses barrière, les terre Gaste emplirent le monde. La température devint polaire, car même les vampire ne dégageant pas de chaleur se mirent à caché la brume. Ysaline était de l'autre coté. Elle rassembla toute sa puissance pour ranimé l'âne de Damien, le tiré hor des eau du Styx.

Persephone apparue devant Ysaline.

— Je t'ai demander de ne pas reconnemencer, prévint la faucheuse.

Ysaline vit l'âme de Damien revenir. Les vampires entendirent sont cour battre, son souffle emplire sa poitrine.

— Tu n'as qu'a m'arrêter, grogna Ysaline.

Le regard de Persephone avait des limites et la nécromancienne avait plus de dépassé les bornes. Elle s'approcha de Damien qui ouvrait les yeux et pris une vois solanelle.

— Pour t'être affranchit du royaume des morts, tu devient son chasseur, tu traquera les âme errante, ceus qui nous échappe, déclara Persephone en touchant la poitrine de Damien. Quand à toi...

Elle avait surpendue ses paroles. Avant qu'Ysaline ne puisse bouger, la faucheuse était sur elle. Sa main de sequellette plongea au plus profond de la poirtine d'Ysaline. Une douleur insuttennable se répendit dans tout son être, comme si on lui arracait le coeur. Elle en tomba à genoux. Persephonne se tenait devant elle. Elle tenait entre ses main une boulle de lumière. Ysaline comprit avec terreur ce qu'elle avait entre les mains.

— Pour t'être affranchit des loie de la mort, je te prive de son royaume. Jamais tu ne connaitre son repos. Je te condane à demeuré sur cette terre pour les siècles des siècles.

La nécromancienne vit la faucheuse s'évaporé avec son âme. Elle resta à genoux un long moment en état de choque. Elle poussa un cris. Un hurlement de rage, de colère et de tristesse. Ren ne se produisie. Le son sortit bien de sa bouche, mais la terre ne trembla pas. Elle venait de perdre son âme peut-être même sa magie au passage. Elle avait du mal à comprendre ce qui venait de se produire. Même les vampire concervait leur âme, même après leur mort. Elle restait à l'interrieur de leur carcasse. Quand leur corps était détruit, les faucheuse venait cherché leur âme. Mais que s'ignifiat réellement être affranchit de la mort, sans-âme. Le cerveaux d'Ysaline n'arrivait pas à concientisé cette idée. Elle préféra y pensé plus tard. Elle se releva sur ses jambes. Damien s'était redressé. Il se tenait la tête dans ses mains. La blessure sur son thorse avait guerrie. Ysaline tendit la main pour le toucher. Elle stoppa son geste. Damien la fixait entre ses doigts. Un oeil jaune menaçant était braqué sur elle.

— Qu'as tu fais !

Surprise de l'entendre parler, il fallut un moment à Ysaline pour comprendre ce qui lui était reprocher.

— Je t'ai sauver la vie !

Damien révéla son visage. Il n'avait pas changer. Il était toujour aussi beau, même avec ses cheveux long remplit de feuille et sa barbe épaisse. La colère le rendait terrifiant en revanche. De peur Ysaline recula d'un pas.

— Tu m'as condanée ! Tu m'as torturé ! Tu t'es comporté avec moi comme un joué ! Tu m'as fait me transformé en lycan, tu as réunie mes âmes, j'ai vécue en loup durant des mois et maintenant ça !

Ysaline garda le silence, incapable de répondre à autant de reproche. Ses yeux s'emplirent d'eau. Damien garda le silence un moment. Il fixe ses mains.

— Je crois que je préfèrais être encore mort, murmure-t-il. Ne t'approche plus jamais de moi.

La nécromancienne sent la terre s'effondré sous ses pieds. Les larme déferlèrent de ses yeux. Elle ne pouvait pas bouger, en état de choque.

— DÉGAGUE !

Ysaline prit la fuite hors de la cellule. Elle déboulla dans le couloir. Face à trois vampire médusé, sans prendre le temps d'expliqué quoi que se soit à Dalia. Elle ramassa sont sac et s'enfuit avec Ryoma dans ses traces.

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