Et si je disparaissais ?

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On a choisi un anime qu'aucun de nous n'avait déjà vu, puis je le mis en route.
Serrer l'un contre l'autre buvant notre boisson. Quand le troisième épisode fut terminé, après moulte bâillement, je l'attrape par la main, et le tire à ma suite, j'éteins tout et nous rejoignons la chambre.
Il met son portable sur la table de nuit, je programme le réveil puis après avoir enlevé quelques épaisseur, on se rejoins sous la couette.

Il semble un peu trop sage, ou un peu timide. mais j'ai passé l'âge des enfantillages. Alors à peine la lumière éteinte je me rapproche de lui, il se déplace légèrement vers moi, et je me blotti contre son torse.
Mon cœur se réchauffe, je saisi son visage et l'embrasse. D'abord doucement, une de ses mains se pose au creux de mon dos, l'autre sur ma joue. J'ai les yeux ouverts et malgré la nuit régnant dans la pièce, je perçoit des étincelles dans son regard.
Une de mes mains glisse et se pose sur ses abdos, ma langue passe sur sa lèvre inferieure.

il me laisse totalement mener la danse. avare de son touché, je remonte ma jambe contre la sienne et caresse sa cuise de la mienne, je commence à avoir chaud, et à en juger la respiration du gamin, lui aussi.

il est temps que je me comporte en adulte, ma langue glisse dans sa bouche, contre la sienne, puis ressort suivie par la sienne. j'aime le corps de ce garçon , et il l'a bien compris, puisque à présent je sens une main s'infiltrer dans mon boxer, et venir caresser mes fesses. sans perdre sa bouche, à moitié installé sur lui, ma main descend et glisse dans sont sous vêtement , venant saisir son membre dur et chaud, je le libère de sa prison de tissus, et fait de même avec le mien, les collant ensemble, amorçant les premiers gestes, un gémissement m'échappe, tandis que Eren commence à grogner et mouver son corps contre le mien, en suivant le rythme, en faisant des vas et viens nous réchauffant tout deux un peux plus. je quitte sa bouche le laissant haleter et lèche son cou, puis le lobe de son oreille sensuellement.

il doit avoir mare d'être dominé, car sans me lâcher il vient se positionner au dessus de moi, me faisant lâcher prise. nous ne sommes que souffle chaud. il saisit mes poignets et fait glisser sa langue le long de mon torse me provoquant un long frisson. il met un coup de langue sur un de mes tétons, avant de souffler doucement dessus, me faisant cambrer. j'ignoré être sensible à cet endroit. il le prend en bouche comme une sucrerie, et alors que je me tortille de plaisir, il se redresse sur ses genoux et je le sens m'observer malgré l'obscurité.

E- Livaï, laisse moi te faire du bien

L- Eren... tu me rend fou gamin... apprend moi la passion...

E- en es-tu sur? elle est ... dévorante. mais je dois avouer, frôler la folie avec toi... je veux te dévorer.

L- alors dévore moi Eren.

dans un élan je me redresse et me pend à son cou, haletant d'envie contre sa bouche. puis c'est le choc, la déferlante de plaisir, au moment ou sa langue pénètre dans ma bouche, sa main vient saisir mon sexe et caresser le bout de mon gland provocant une décharge dans toute ma colonne vertébrale, me faisant cambrer instantanément. je le lâche, cherchant désespérément une prise sur le lit, lui se redresse me surplombant.

E- c'est que le début Livaï

de mon côté, impossible de dire un seul mot, mon cerveau est beaucoup trop embué. petit à petit je le sens glisser vers le bas du lit, me couvrant le corps entièrement de baisers plus ou moins fort, me marquant inévitablement. perdu dans les limbes de la passion, mon souffle se coupe lorsque je sens sa langue glisser le long de mon membre.

L- mmh... Eren... mmm...

il souffle, lèche, caresse, monte, descend, mon cœur suit le mouvement, à se rythme j'aurais bientôt un point de côté. petit à petit il intensifie ses mouvements, mes hanches se mettent à suivre aussi le mouvement, mes doigts se perdent quelque peu dans sa chevelure, tirant doucement dessus. Ses deux bras passent sous moi et ses mains empoignent mes fesses, les massant. Tandis que sa bouche s'active seule.