Chapitre 10

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Pdv de Chinami

C'étaient enfin les vacances j'suis si contente et Chifuyu m'avait demandé d'allez à la plage avec lui .
C'est comme ça que nous passâmes cette journée au bord de mer. On se noyai,nageais et nous nous amusâmes sur le sable jusqu'à ce que le soleil vint se coucher dans l'eau.

J'avais appris que chifuyu avait une moto, je suis assez étonné mais bon aujourd'hui tout le monde peut avoir une moto sans le permis apparemment.

Chinami : on va où maintenant ? Tu me ramènes chez moi..?

Chifuyu : Non je te ramène pas maintenant et là où on va c'est une surprise . Il est quel heure ?

Chinami : 22h30 .

Chifuyu : ok il s'avenca jusqu'à sa moto avant de monter dessus je ne pris pas bien longtemps avant de monter sans attendre .

Chifuyu : oh t'as tout gâcher..

Chinami : hein j-j'ai..tout gâché..

Quand le blond avait dit ça je repensa à ce que senju avait dis...lui aussi pense t'il comme elle et lui ?

Chifuyu : oui..j'avais prévu de te faire un signe de monter et comme t'aurais pas réussi je t'aurais aidée à monter .

Chinami : Tu.Es.Sérieux .

Chifuyu : oui , pourquoi ?

Chinami : parce que t'as imaginé une scène qu'on pourrait mettre dans un livre sur le thème de la romance comme euh..

Chifuyu : DES SHOJOS
(Je tiens à précisé que je sais que tout les shojo ne parle pas que d'amour )

Chinami : oui exactement ! Bon on reste assis sur la moto comme des idiots ou tu démarres ?

Chifuyu : alors déjà,t'es déjà une idiote ça va rien changer à ta vie,ma chère Chinami. .

Dit-il en se préparent à démarrer

Chinami : JE SUIS PAS UNE IDOTE , TRIPLE IDIOT

Chifuyu :hE je te permets pas de m'appeler comme ça .Enfin bref accroche toi bien à moi.

Chinami : c'est pas bon si je m'accroche aux barres ?

Chifuyu : Si , mais c'est juste que si tu l'es laches..

Chinami : ok je vois. J'enlève ma prise des barre et mis mes bras entour de la taille de chifuyu.

Je lui souris et il fit de même avant de démarrer.
Nous roulâmes dans les rues animées par la saison estivale.Les gens s'amusaient et profitaient de la nuit .
Puis nous roulâmes plus je resserrais ma prise sur chifuyu je pose ma tête sur son dos tout en regardant la ville .
J'étais heureuse, aucun sourir n'apparaissait sur mon visage. Mais j'étais heureuse comme je ne l'avais jamais été depuis bien longtemps.

Chifuyu : tu sais Chinami je fais partit d'un gang.

Chinami : tu me dis ça comme ça ?!

Chifuyu : bah oui j'avais jamais trouvé le bon moment.

Chinami : t'aurai pu le dire n'importe quel jour.

Je vous detesteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant