Jusqu'où irait-on ? [Ayanokoji × Reader]

Chap.3

Voici la suite !
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PDV T/P

- Hein ? S'exclama la classe en coeur.

Des chuchotements commencèrent à s'élever dans la salle.

- Pourquoi on a pas eu nos yens madame !

- Oui j'avoue...

- C'est le site qui beugue ?

- *Bande d'idiot 100.000 yens par trimestre, même l'Etat ne pourrait fournir sa légalement.* Pensais-je en mordillant le bout de mon stylo d'un air désintéressé.

Notre prof nous expliqua alors qu'à cause de tout les absents en classe, les mauvaises notes du contrôle de fin de trimestre ect... des yens nous avaient été retirés et qu'en plus de ça, la punition s'appliquait à toute la classe. Conclusion nous n'avions plus de yens.

- Quoi ? Je dois vivre en tant que pauvre jusqu'à la fin du trimestre alors ? Demanda un élève qui semblait légèrement paniqué.

- Absolument. Travaillez bien pour le prochain contrôle de fin de trimestre ! S'exclama la prof. La sonnerie retenti soudainement, cassant les chuchotements de panique de certains.
BIEN ! vous avez quartier libre jusqu'à la fin de la journée.

C'est comme ça que notre très chère professeure nous laissa. Étant donné qu'il faisait encore chaud et que le soleil était toujours là, nous décidons d'aller tous à la piscine pour détendre l'atmosphère. Étonnamment tous le monde accepta de venir.
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Ayanokoji sortit des vestiaires des hommes et s'asseya à côté de moi et Horikita sur le rebord de la piscine sans un bruit.

- Tu fait quoi comme sport ? Demandais-je après un long silence.

- Moi ?

- Non le pape, à ton avis ? Je répondis en ricanant légèrement.

- Je fait de la calligraphie et du piano. Il répondit en ne souriant même pas un peu à ma réponse. Comme d'habitude j'ai envie de dire.

- *Il se fout de ma gueule. À quelle moment il peu être sculpté comme sa et faire du piano ?* Pensais-je confuse.
Horikita il se fout de ma gueule la ? Je lui demanda.

- ...

- J'avais oublié à quelle point vous étiez sociable. Je chuchota à moi même en roulant légèrement des yeux, mais ce détaille sur son corp ne m'échappa pas.

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1h plus tard.

- Bon nous on y va, on commence à avoir froid. Une fille de la classe me dit avant de disparaître dans les vestiaires avec le reste de la classe. Je me tourna vers Horikita.

- Horikita tu restes avec moi ? Demandais-je, ne voulant pas partir tout de suite.

- Non je dois faire des courses. Elle me répondit froidement avant de prendre sa serviette et de partir.

- Ho... Ayanokoji alors ?

-...

- Même pas un tout petit peu ?

- Ouais d'accord... Il répondit après une petite réflexion.

PDV AYANOKOJI

Quand je fis sûr qu'Horikita ait disparue dans les vestiaires, je poussa Tp dans l'eau. J'avais envie de m'amuser un peu pour une fois.

PDV TP

- Pourquoi ? Je dit en fronçant des sourcils, sortant ma tête de l'eau.

- Pourquoi pas ? Il me répondit, j'ai même crue voir un léger sourire sur son visage, probablement mon imagination.

Ce fut la réponse de trop et, sans pitié, je le tira dans l'eau.
Je le regarda couler vers le fond puis m'appuya sur le rebord de la piscine pour sortir de l'eau et fêter ma victoire mais soudainement, je sentis une main agripper ma cheville et me tirer vers le fond.

- HE ! Laissais-je échapper dans un dernier effort pour m'agripper sur le rebord de la piscine, ce qui aboutit à un échec.

Je me sentis couler vers le fond de la piscine et commença à nager de nouveau vers la surface, lorsqu'une forte douleur me lança au mollet.

- *Putain j'ai une crampe, J'ARRIVE PAS A NAGER*

Je tapa l'épaule d'Ayanokoji sou l'eau, lui faisant comprendre que j'avais besoin d'aide en urgence. Par chance il compris rapidement, m'attrapa par la taille et commença à tirer son corp et le mien vers la surface.

- *J'vais m'évanouir... je peux pas mourir avant d'avoir vue la fin de one pièce * Pensais-je en sentant mes paupières se fermer.
*Mais c'est long la, elle est profonde cette piscine.*

Soudainement je sentis de l'air passer dans ma bouche alors que j'étais toujours dans l'eau. Le temps de comprendre ce qu'il ce passait j'étais déjà la tête en dehors de l'eau.

- KOFKOF ! Je toussa légèrement en respirant fortement. Je sortis finalement de l'eau.

Ayanokoji sortis rapidement et alla dans le vestiaire des hommes sans même se retourner. Je reste la, allonger sur le dos et regardant le plafond, mes neurones se connectant enfin.

- *Il m'a embrassé pour me passer de l'air ? Huuu... c'était ce une technique de manipulation ? Attend quoi...? C'est forcément une technique de manipulation ou... Oh bref. Laissons ça de côté, je devrais aller me changer.* Je pensais réellement confuse.

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A la sortie des vestiaires je vis qu'Ayanoki m'avait attendue. Je marcha silencieusement vers nos chambre, toujours confuse par son action et aussi le fait qu'il n'en parle pas. Alors qu'il se dirigeait vers sa chambre, je le retenu en disant.
- Merci pour tout à l'heure tu m'a sauvé la vie.

- ... T'inquiète.

- Demain, on devrait discuter avec la classe pour trouver des idées pour augmenter nos notes.

Il aquiesa et disparu dans sa chambre.

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Le lendemain, à la fin des cours, dès que la sonnerie retentis, la prof nous annonça.

- Bien c'est la fin des cours, avant que vous partiez je tenais à vous dire que les examens du 2e trimestre sur les 4 sont pour bientôt.
Par conséquent la personne qui aura la moindre note en dessous de la moyenne de classe se fera définitivement renvoyer.

- *On devrait vraiment monter certaines notes de certains élèves, sinon 3 vont être renvoyés ... Bon, autant proposer quelque chose.*
On pourrait des groupes de révisons pour augmentez nos notes. J'annonca en levant légèrement la main (comme Baldwin VI).

- Oui c'est une bonne idée. Me répondit le délégué après un moment de réflexion.

- Ouais j'avoue. Aquiesa un autre pnj.

- Non sans moi, c'est trop chiant. Coupa un des trois qui risque d'être renvoyé. Les 2 autres suivirent.

- *J'étais sûr que des idiots allaient refuser, mais alors c'est exactement ceux qui en on besoin...* Je souffla légèrement. *Tant pis, c'est pas comme si c'était moi qui allait être renvoyée.* Bon Horikita, Ayanokoji, bonne nuit, je rentre en première ! J'annonce avant de me lever de ma table et de partir.

- Ouais.

- Hum.
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A suivre