Bonsoir, exceptionnellement, je sors un chapitre aujourd'hui, plus long que d'habitude, pour vous remercier des 1k de vues ! J'espère beaucoup continuer sur cette lancée. Les premiers chapitres vont être "réécrit" comme je le fais actuellement. Encore merci ! Bonne lecture <33
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Devant la fenêtre carré de la chambre de la clinique, Éden attendait que la jeune femme se réveilla. Il avait passé une nuit très agitée, entre le fauteuil inconfortable et cette dernière qui n'avait cessé de se réveiller cette nuit.
Plus tard, elle commença à émergé de son lourd sommeil, s'approchant lentement d'elle pour ne pas lui faire peur.
- Comment tu te sens ? Demanda-t-il en enroulant une mèche de cheveux autour de son doigt.
- Je..je vais bien, mais j'ai terriblement mal à la jambe. Bafouilla-t-elle.
Au même moment, un infirmier entra dans la pièce blanche.
- Bonjour, je viens pour refaire passer des tests à madame. Dit le blond en direction du mafieux.
Pendant le temps des examens, il s'était réinstallé sur la chaise, en observant les fais et gestes que le jeune homme faisait à sa douce.
Terminant les quelques examens que devait passer la jeune brune, il prit la parole.
- Je pense qu'elle pourra sortir dès cette après-midi, mais faudra attendre que le médecin passe pour lui donner son accord. Dit-il en ce retournant vers l'italien.
Il hocha légèrement la tête pour lui dire qu'il avait comprit, puis l'infirmier repartit aussitôt gêné par le regard aiguisé du mafieux, qui l'avait transpercé pendant tout le long des tests.
- Tu veux manger quelque chose tesoro ? Questionna-t-il à la jeune femme allongée dans le lit.
- L'infirmier a dit quoi ? Demanda-t-elle. Je ne comprends pas l'italien, à part quelques mots.
Un léger amusement prit possession du visage du sicilien.
- Il a dit que tu pourras sûrement sortir, mais qu'il fallait attendre l'avis du médecin. Je réitère ma question, que veux-tu manger ?
- La nourriture n'est pas très bonne dans les hôpitaux.
Un bruit de porte se fit entendre, ce qui coupa leur conversation.
- Bonjour madame Costa, j'ai eus les analyses faites par l'infirmier tout a l'heure, vous pouvez sortir dès aujourd'hui. Je vous ai prescrit vos médicaments que vous devriez prendre, puis pour fini, faudra juste que votre mari signe les documents à l'accueil et vous serez libre. Expliqua-t-il dans un anglais des plus parfait pour que sa patience comprenne.
- Je vous remercie docteur de vous êtes occupé de ma femme. Remercia-t-il en italien
Le médecin fit un signe de tête et repartit de la pièce.
- Ma..madame comment..? Dit-elle surprise.
Un sourire apparaissait sur les lèvres du mafieux à l'entente de cette question.
- Madame Costa. Je trouve que ce nom te va à merveille mia dolce.
- Je..non..je veux retourner chez moi..je veux retrouver mon père et Louise. Marmonna-t-elle en laissant échapper des larmes de ses yeux vairons.
Sans faire attention à la phrase que vient de dire la jeune femme, il la fit assoir sur le rebord du lit en lui donnant de quoi se changer.
En-bas, Éden était entrain de signer les papiers pour l'autorisation de sortie. Alors que la brune était dans la voiture sur la banquette arrière. Il arriva quelques minutes plus tard dans la berline noire, puis il demanda au chauffeur de démarrer, il remonta également la vitre entre le conducteur et les passagers.
Éden voulais prendre la parole quand il se fit couper par Sun-hi.
- Je..je ne veux pas que tu..m'adresses..la parole..tant que je n'ai pas eut quelque à l'appareil. Je veux..au moins..savoir comment va mon père..il me manque terriblement. Dit-elle avec des sanglots dans la voix.
Peinée pour la première fois, le mafieux sortit son téléphone pour passer un appel à Pedro.
La jeune femme avait été intriguée pas les gestes de l'homme aux yeux ténébreux. Mais, malheureusement pour elle, la discussion était en italien,une langue qu'elle ne comprenait pas.
Le reste du trajet se fit dans le plus grand silence.
Arrivez au domaine, Sun-hi avait écarquillé les yeux devant cette architecture. Mais, la complantation a dû se terminer par une porte qui s'ouvrait. Le sicilien la détacha, alors qu'elle retenait sa respiration, puis la prit dans ses bras, pour la ramener dans la chambre. Montant les escaliers, Sun-hi sera les dents pour ne pas crier de douleur pour sa jambe.
Mais, en arrivant en haut, le mafieux ne s'arrêta pas à la porte de sa chambre, il continua le chemin à travers différentes portes, les murs étaient parsemés de tableaux aussi différents des un des autres. S'arrêtant à une porte au bout du couloir, il l'ouvrit. Dans cette pièce se trouvait une chambre aussi sombre que l'homme qui la portait. Une odeur musquée emplit ses narines, c'était le parfum de l'italien qui remplissait cette pièce.
La déposant dans le lit immaculé de gris, il lui prit son menton en coupe.
- Maintenant, tu n'as plus autorisation de bouger, tu resteras ici jusqu'à ce que tu te rétablisse. Je te donnerais à manger, Guilia t'aidera pour prendre ta douche et te vêtir. Et, pour passer un appel avec ton paternel j'y réfléchirai, alors ne fais rien de travers tesoro..
