LE JOURNAL DE MAX

Laura, partie 02

On rigolait bien, et on se cherchait en même temps. Époque insouciante. Pendant qu'elle me racontait ses dernières aventures sulfureuses, je l'imaginais, elle, petite jeune femme toute mignonne dans son t-shirt Hello Kitty, remuant ses fesses rebondies sur les sexes énormes qu'elle se vantait de faire jouir bien trop facilement.

— Jvais finir par t'imaginer faire tout ça... ai-je lâché.

— J'espère bien ! me répondit-elle en levant son sourcil de satisfaction.

— Tu cherches à me faire de l'effet ?? ai-je demandé de manière faussement naïve.

— J'y arrive ?? écrivit-elle rapidement, sentant que notre discussion pouvait basculer à tout moment.

À cette question rhétorique, j'ai levé à mon tour un sourcil, puis j'ai orienté ma webcam vers mon boxer pour un coup d'œil rapide sur la forme que mon sexe laissait le long de ma cuisse gauche.

— À toi de me dire ? lui demandai-je avec cette fausse assurance qui m'est propre.

En réponse à mon geste osé, Laura ne dit rien, elle se contenta de sourire, puis mima une fellation en remuant sa main en direction de sa bouche ouverte, déformant sa joue avec sa langue pour représenter mon gland qui viendrait la pénétrer.

Nous avons ri face à notre bêtise commune. Mais je n'avais pas perdu le nord, j'étais lancé.

— C'est là que tu la veux ?

Non, pas seulement là. La belle Laura avait compris que la nuit allait être longue et humide, et qu'elle pouvait commencer à se lâcher complètement. Elle se mit donc en tête de me montrer les zones de son corps où elle aimerait voir ma queue... Elle pressa sa poitrine à travers son débardeur, formant une fissure incroyable dans laquelle je rêvais d'enfermer mon sexe chaud. Puis elle se tourna légèrement afin que j'admire la cambrure de son dos et la fermeté de ce cul qu'elle palpa avec malice.

Ma webcam était toujours orientée vers mon visage, et c'était bien ainsi. Je voulais qu'elle me demande de « la montrer » si telle était son envie. Elle avait pris l'initiative depuis le début, et là elle faisait tout pour que je craque. Nous allions jouer encore un peu.

Je commençais à bander, et mon regard s'attardait de plus en plus sur ses seins. Je rejetai un coup d'œil sur la photo qu'elle m'avait envoyée : bon sang qu'est-ce qu'elle était sexy. Ses tétons semblaient tout aussi parfaits que le reste. Je n'ai pas pu m'empêcher de témoigner de mon admiration et commençai à lui dire à quel point elle me faisait de l'effet.

Laura commençait à s'impatienter, elle me demandait de tout expliciter. Tout ce que j'aimais sur son corps, qu'est-ce qui me faisait bander chez une femme, et si ELLE me faisait bander d'une manière ou d'une autre. Mais ma webcam restait braquée sur mon visage désemparé face à tant de sex-appeal.

— Hey ! Cadeau !

Pour me faire réagir, Laura souleva son t-shirt d'un geste brusque et me montra sa poitrine en coup de vent. Ce flashboobs ne fit que confirmer la perfection de cette jeune femme. Elle m'excitait au point que je n'avais déjà plus envie de jouer au chat et à la souris avec elle, je voulais faire l'amour avec elle. Je voulais coucher avec elle ce soir même. Je voulais qu'elle me baise jusqu'à l'aube s'il le fallait. Je voulais goûter ses lèvres douces et pulpeuses, passer mes doigts sur la petite constellation de taches de rousseur qu'elle avait sur le haut des joues ; saisir sa poitrine à la base et agripper ce petit cul bombé pendant que je l'embrasserais.

Laura avait réussi si facilement à me donner envie d'elle que je voulais tout de suite connaître la texture de sa langue lorsqu'elle lécherait mon sexe, et le goût de son sexe humide sur ma bouche.