Julie, partie 05

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J'ai l'habitude de me faire sucer par des lèvres pulpeuses, et la sensation de ces lèvres charnues qui glissent le long de mon sexe, est pour moi la plus délicieuse qui soit dans le domaine de la fellation. Julie n'avait pas de lèvres pulpeuses, elles étaient toutes fines, discrètes. Tout comme sa langue, petite et peu agile. Je m'attendais très honnêtement à une pipe sans intérêt, juste à lubrifier mon sexe avant de passer aux choses sérieuses. Mais comme à chaque fois qu'on change ses longues habitudes, on se retrouve surpris d'apprécier ce qu'on trouvait autrefois sans saveur. Et je ne saurais dire si c'est parce que mes goûts avaient subitement changé, ou si c'est justement parce que ça faisait bien longtemps que je ne m'étais pas fait sucer par une fille comme Julie, mais je prenais mon pied en sentant cette petite langue tourner sur mon gland, emprisonné par ces lèvres de petite blonde. Mais Julie ne m'avait pas tout dit, elle m'avait caché un petit secret : c'était une pro de la gorge profonde. Je fus surpris de la voir enfoncer ma queue dans sa gorge aussi facilement. Ses lèvres étaient pressées contre mes couilles tellement elle me pompait profondément. Et elle gardait le rythme malgré cette performance hors du commun. Elle lustrait mon sexe avec application tandis que je caressais cette poitrine incroyable. Je n'avais même pas pensé à reprendre mon téléphone pour capturer ce moment de plaisir nouveau. Malgré une petite langue qui ne pouvait pas faire des miracles et me surprendre par sa capacité à s'aventurer partout sur mon sexe, Julie parvenait à faire monter la sève par son rythme soutenu et sa capacité dingue à l'engloutir au plus profond de sa gorge. Elle sortait régulièrement ma queue dégoulinante de salive pour me branler nerveusement, le temps de reprendre une respiration normale. Je continuais de caresser sa poitrine pendant qu'elle glissait sa main dans son slim pour malaxer son propre clito. J'avais envie de la foutre à poil et d'admirer le sexe humide de la belle étudiante que je croisais dans le bus et qui était actuellement en train de me tailler une superbe pipe.

— Putain j'en peux plus j'ai trop envie de te baiser ! ai-je gueulé.

J'ai retiré mon t-shirt et commencé à virer le froc qui me restait sur les pompes. Manière détournée d'inviter Julie à retirer son petit jean serré.

— T'as des capotes ? m'a-t-elle demandé.

— Dans ma chambre je pense, ai-je répondu alors que j'avais vérifié plusieurs fois dans la journée qu'il m'en restait dans le tiroir de ma table de chevet.

Julie se releva et retira son jean. Elle n'avait plus qu'un petit string noir qui mettait en valeur son petit cul bombé. Elle se dirigea toute seule vers ma chambre, sans m'attendre.

Je restai là, à poil, La bite dure et brillante de salive. J'avais encore mes chaussettes. Mais pourquoi avais-je encore mes chaussettes ?? C'est toujours la merde à retirer quand on doit se lancer dans une bonne partie de jambes en l'air. Mais comme j'étais tout seul dans le salon, je n'aurais pas à tenter une pose improbable pour les retirer sans passer pour un gros con de mec à poil qui se penche la bite à l'air pour virer ses chaussettes Asos.

Lorsque j'entrai dans la chambre, Julie était déjà allongée sur ma couette. Son string trainait sur le sol au pied du lit. Elle avait les jambes légèrement écartées et avait commencé à se doigter en m'attendant. Son sexe était intégralement rasé. Déjà qu'elle faisait plus jeune que son âge au quotidien, là j'avais vraiment l'impression de tomber en plein jailbait. Je me revoyais lors de mes toutes premières expériences sexuelles à l'époque du collège, les gestes approximatifs, les anatomies bourgeonnantes, les innombrables premières fois qui brisent les mythes et construisent en même temps les goûts. Voir le corps juvénile de Julie me fit curieusement prendre conscience du temps passé. C'est peut-être ça qui me plaisait chez elle, plus que le fantasme vampirique du besoin de chair fraiche ; juste le plaisir de se replonger dans une époque où la vie était plus simple.

LE JOURNAL DE MAXOù les histoires vivent. Découvrez maintenant