Maria, partie 03

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La journée qui suivit fut d'une lenteur abominable. Je comptais les minutes qui me séparaient de notre nouvelle soirée. On s'était donné rendez-vous chez moi cette fois-ci, elle apporterait à boire et moi j'avais survendu mes talents de cuistot. Je suis rentré du boulot en retard, j'ai foncé dans la salle de bain pour me doucher et me changer ; je n'aurais pas le temps de faire un peu de ménage ni d'aller faire des courses.

Mais Maria ne venait pas pour ça, elle avait son visage de femme fatale lorsque j'ouvris la porte. Merde j'avais oublié de changer mes draps ! Quel connard... Tant pis, on fera ça sur le canapé. Elle me tendit la bouteille de rhum en entrant, me laissant un simple bisou sur la joue alors qu'elle pénétrait dans mon antre, scannant en une microseconde tout ce qui pouvait clocher dans mon appartement.

— C'est fort comme alcool pour un deuxième rendez-vous nan ? ai-je demandé de manière faussement innocente.

— C'est pour mieux abuser de toi quand tu seras saoul, lâcha-t-elle avec son rire d'enfant malicieux.

Je n'avais pas besoin de ça mais j'appréciais l'attention. Une heure plus tard la bouteille vide était posée sur la table à côté de nos assiettes à peine entamées, et Maria était assise sur moi au milieu du canapé, sa langue dans ma bouche et sa main dans mes cheveux. Mon ordinateur passait ma playlist spéciale « soirées coquines », ma main caressait son incroyable cul au rythme des vibes suaves de Beyoncé. Les grosses fesses fermes de Maria étaient tout bonnement prodigieuses, je ne pouvais m'arrêter de les toucher en glissant mes mains sous sa jupe. Je sentais sa peau frémir lorsque mes doigts frôlaient les zones sensibles, les doigts de Maria se crispant dans mes cheveux au moment critique. Puis je suis passé de ses fesses à ses seins. Maria s'est redressée pour sortir sa poitrine généreuse hors de son soutien-gorge, mes mains ont glissé sur ses hanches, puis à la base de ses seins. Alors que Maria remuait pour sentir mon érection montante à travers mon jean, je saisissais ces deux merveilles, lourdes et douces, fraiches. Je plongeais ma tête gourmande entre ses seins, les couvrant de bisous et de caresses. Ma queue commençait à trouver le temps long à se faire frotter par les fesses expertes de Maria, le désir était parfaitement insoutenable. J'ai pris ses tétons dans ma bouche, je les ai sucés, léchés, mordus... J'avais faim d'elle, je ne pouvais plus attendre avant de la prendre !

Maria me plaqua contre le canapé pour me faire comprendre qu'elle prenait la main à partir de là. Elle m'embrassa une nouvelle fois, de toute sa fougue ; puis embrassa mon cou, mordilla le lobe de mon oreille, et commença à descendre. Elle s'attarda sur mon torse, le ponctuant de bisous humides, gardant le bout de sa langue sorti comme pour déceler plus facilement mes zones érogènes à mesure qu'elle descendait vers mon sexe. Comme souvent dans ces cas-là, elle a voulu défaire ma ceinture et retirer mon jean toute seule, mais on a tôt fait de se retrouver face à une boucle récalcitrante. Nous avons ri tandis que je me tordais sur place pour retirer ce jean rebelle et laisser à Maria la dure tâche, ultime, de retirer mon boxer.

Elle passa sa main sur la forme de ma bite, déjà bien dure et tournée – comme d'habitude – sur la droite. Elle laissa le gland sortir, déjà bien échaudé. Pendant que je retirais définitivement ce boxer inutile, Maria se mit elle aussi à l'aise et fit voler son soutien-gorge. Ses tétons étaient encore bien durs, sa peau hâlée contrastait avec mes cuisses blanches. Elle regarda ma queue étendue de toute sa longueur sur mon ventre, puis se pencha vers mon entre-jambes.

En appuyant sa poitrine divine, Maria enferma mon sexe au chaud entre ses seins. Mon gland dépassait légèrement, et lorsqu'elle remuait lascivement ses seins lourds, mon gland se décalottait et se recalottait en douceur... Il était tellement lubrifié, c'était incroyable.

Je fermais les yeux pendant qu'elle me branlait avec ses seins, puis je fus pris de court lorsque je sentis soudainement sa langue agile tourner sur mon gland. Je contractai mon bassin de surprise, électrisé par cette sensation incroyable d'une langue inconnue qui se pose pour la première fois sur mon sexe. Maria se redressa, surprise de ma propre surprise.

LE JOURNAL DE MAXOù les histoires vivent. Découvrez maintenant