Laura, partie 04

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J'en avais déjà discuté avec Laura lors de nos nombreuses nuits sur MSN, et je voyais dans ses yeux qu'elle savait que j'étais dorénavant dans cet état, et qu'elle exigeait de moi que je lui montre sur pièce ce qu'elle avait pris pour une promesse.

Alors je l'ai baisée. Je l'ai baisée et je lui ai parlé mal. Et elle me le rendait comme je le voulais, avec force et agressivité. Je la prenais sans faire de pause, parce que je ne contrôlais plus ma queue. Tant qu'elle était dure, je pouvais continuer, mais si on la laissait se ramollir, j'aurais été bien incapable de la refaire bander. Alors il fallait baiser jusqu'à ce que je perde le souffle ou qu'elle me fasse éjaculer en faisant apparaître devant mes yeux des images toujours plus obscènes et gourmandes.

J'avais commencé la levrette à genoux sur le lit, et voilà que j'étais à présent debout – toujours sur le lit – en lui tenant fermement les hanches et la pilonnant par au-dessus, en bulldog. Mon sexe s'enfonçait jusqu'à la garde, de plus en plus vite, et je voyais le sexe de Laura ouvert entre deux pénétrations. J'avais faim, j'étais gourmand. Gourmand de son sexe, de ses gémissements, son odeur, et gourmand de ses mots.

— Hmm putain défonce moi plus fort !

— T'aimes te faire défoncer comme ça hein, comme un chienne ?!

En m'entendant lui parler comme ça, Laura lâcha un énorme gémissement et commença à se frotte le clito en plus de ma bite qui allait et venait en elle.

— Démonte moi la chatte une comme une grosse pute !

— T'es une grosse pute ?

— Oui j'suis ta pute, j'suis une grosse salope !

Bordel, elle savait comment me faire péter les plombs. Je sentais ses ongles frotter mon sexe à chaque fois que je la pénétrais pendant qu'elle malaxait son clito. Elle était dans le même état de transe que moi, nous n'avions plus aucune limite. À cet instant nous respirions pour le sexe et le pur plaisir sensoriel du sexe.

— Lâche-toi, crie bien fort, que tout l'immeuble t'entende crier, qu'on sache comment tu te fais baiser !

Laura s'est lâchée, elle gémissait à gorge déployée, pour que tout l'immeuble l'entende. Et en remarquant la fenêtre entrebâillée de ma chambre, m'est avis que pas mal de passants dans la rue ont également profité de la mélodie.

J'ai retourné Laura sur le lit, pour qu'on soit face à face. Elle a enserré ma taille avec ses cuisses pour me maintenir fermement, et a enfoncé ses ongles dans mon dos pour accompagner mes coups de reins. Ses seins battaient le rythme de nos ébats, et Laura voyait bien que j'étais totalement absorbé par les mouvements de sa poitrine.

— Bouffe-les ! Suce mes gros seins qui te font tant bander.

— Serre les l'un contre l'autre, comme si tu voulais me faire une branlette espagnole...

— T'aimerais me voir branler une grosse bite avec mes seins pendant que tu me baises, pas vrai ?

— Hmmm oui continue à me parler comme ça...

Je me suis penché pour sucer les seins de Laura, et comme elle enfonçait ses doigts dans ma peau avec encore plus de force, je la pénétrais toujours plus fort. Mais elle venait d'ouvrir le fantasme du pluralisme, et continuait de gémir ce qu'elle ferait si un autre homme s'invitait à notre partie endiablée. Elle me disait qu'elle voulait qu'on la touche pendant que je la prenais. Qu'elle voulait qu'on la mate, qu'elle puisse voir des érections grimper autour d'elle, et que la tension monte si fort qu'elle ne pourrait faire autrement que de libérer ces queues solitaires et les soulager de l'excitation qu'elle avait – seule – provoquée. Je serrai le sein droit de Laura pour pomper son téton le plus sensible, pendant qu'elle me décrivait comment elle voulait qu'on lui baise la bouche pendant que j'aurais été occupé à l'enculer... Nous n'avions plus aucune limite. Elle sentait bien qu'elle allait me faire jouir, alors elle me prit la main, et suça mon pouce comme si c'était un autre sexe. Je sentais sa langue tourner autour de ma phalange comme si elle cherchait la grosse veine d'une queue. Je sentais l'orgasme monter, j'étais sur le fil.

LE JOURNAL DE MAXOù les histoires vivent. Découvrez maintenant